Nessos

appel aux sens. L'atmosphère apparaît également étouffante, envahissante, avec le feu, la fumée, la multitude de couleurs. Le kimono noir sur lequel la sorcière semble jeter un sort rappelle le manteau d'Hercule, empoisonné par le sang du centaure Nessos, souillé par le poison de l'Hydre de Lerne. La sorcière est présentée comme maîtresse de nombreuses civilisations : japonaise avec le kimono, égyptienne avec les symboles sur son tablier, romaine et grecque avec la mythologie des Parques (Moires)

des conséquences pour l’humanité en faisant allusion à la mythologie (ligne10) et Hercule, l’héros grec qui se déchirait de ses mains pour se défaire de la tunique empoisonnée qui lui a été donné par sa femme Déjanire. En réalité, Déjanire a cru Nessos que ce vêtement lui assurait la fidélité éternelle de son époux. Au contraire cette tunique qui était empoisonnée s’est attachée au corps d’Hercule et lui a causé d’atroces souffrances. Incapable de s’arracher de cette tunique il s’est donné la mort

et en homme à tête de taureau. Après la victoire d'Hercule et son mariage avec Déjanire, qui lui donna un fils, Hyllos, les époux demeurèrent assez longtemps à Calydon, puis, en voulant quitter la ville, ils trouvèrent sur leur chemin le centaure Nessos. Ce dernier fut tué par Hercule, pour avoir tenté de violer Déjanire. Lors du combat, Hercule arracha une de ses cornes. Recueillie par les naïades du fleuve, la corne brisée d'Achéloos, remplie de fruits et de fleurs odorantes est à l'origine

puis d’un véritable trésor (112-129). - L’objet magique est un thème fréquent dans les « contes de fée » (109) : robes de Peau d’Ane, bottes du Petit Poucet... - On trouve aussi des objets surnaturels dans les récits mythologiques : la tunique de Nessos, l’anneau de Gygès, la ceinture d’Aphrodite... L’intrusion du surnaturel  II. Le fantastique : évolution psychologique du narrateur 1. L’enrichissement du narrateur semble reposer sur des tragédies (cambriolage meurtrier, incendie mortel

Héraclès va retourner dans le royaume d’Augias pour réclamer son dû. Là-bas il tuera Augias et après cette expédition il fondera les Jeux Olympiques. Bien plus tard, Héraclès se maria avec Déjanire (fille d’Oenée, roi de Calydon). Un jour, le centaure Nessos attaqua Déjanire pour la violer : Hercule le blessa avec une des flèches empoisonnées par le sang de l'Hydre. Malheureusement, le centaure, en mourrant, conseilla à Déjanire de prendre un peu de ce sang : c'était, lui dit-il, un puissant philtre d'amour

culture. Il est un meurtrier car il assassine ses enfants et sa première femme Mégare dans un accès de folie. Il meurt dans d’atroces souffrances car sa deuxième femme Déjanire qu’il délaisse pour Iolé, lui offre une tunique empoisonnée par le sang de Nessos et il meurt étouffé par cette dernière. Il est cependant accepté à l’Olympe et reçoit l’immortalité en épousant Hébé après avoir accompli ses douze travaux. * Thésée : Fils d’Egée (ou de Poséidon) et d’Aethra, fille de Pitthée. Roi légendaire

tue Eurytos et prend Iolé comme concubine. Sa femme, Déjanire, s’inquiète : son mari veut-il la quitter ? Elle se rappelle alors les conseils du Centaure et, quand Héraclès lui fait demander une tunique neuve, elle trempe le vêtement dans le sang de Nessos, persuadée que cela lui ramènera son mari. Héraclès, qui se prépare à accomplir un sacrifice à Zeus, revêt la tunique qu’un messager vient de lui apporter. L’effet est immédiat : un poison violent infectait le sang du Centaure, et le héros ressent

enchaîna Cerbère, le chien à trois têtes gardant les Enfers. > Voir l'article détaillé : Travaux d'Héraclès Amours : Hercule se maria avec Déjanire. Mais un jour, Hercule tomba amoureux de la princesse Iole. Déjanire en ressentit de la jalousie. Nessos le Centaure, autrefois vaincu par Hercule, en profita pour se venger : il donna son sang à Déjanire en lui faisant croire que c'était un philtre d'amour. Elle mit le sang sur la tunique d'Hercule en espérant qu'il retomberait amoureux d'elle. Quand

Musée du Louvre. • La mort d'Hippolyte, Peter Paul Rubens (Siegen, 1577 - Anvers, 1640). Huile sur cuivre (50,2 x 70,8 cm) vers 1611. Londres, The National Gallery. • Phèdre et la nourrice, Pompéi, IX, 5, 18 (Maison de Jason, Maison d'Héraclès et Nessos, Maisons des amours fatals), vers 25 après J.-C. Naples, Musée archéologique • Phèdre, la nourrice et Hippolyte, Herculanum, vers 75 après J.-C. Naples, Musée archéologique. Pour chacune des œuvres, identifier le support, l’époque, et les éléments

sottolineare l’importanza del concetto. GENERATIM = avverbio in –im. Il suffisso –tim indica distribuzione. [vd. pag. 354] SAECLA = forma usata da Lucrezio in luogo di saecula. PROPAGENT = la forza centrifuga è resa evidente dal preverbo pro-. v. 21 QUAE = nesso relativo QUONIAM = anastrofe. Introduce una causale. SOLA = per Lucrezio l’unica forza che governa l’universo è quella dell’amore. Venere è identificata con il principio fondamentale che governa la natura e che muove tutti gli esseri. v. 22 Ritornano