Ni d'Ève ni d'Adam

tubes, 2000 [pic] Cosmétique de l'ennemi, 2001 [pic] Robert des noms propres, 2002 [pic] Antéchrista, 2003 [pic] Biographie de la faim, 2004 [pic] Acide sulfurique, 2005 [pic] Journal d'Hirondelle, 2006 [pic] Ni d'Eve, ni d'Adam, 2007 [pic] Le fait du prince, 2008 Contes & nouvelles : "Légende un peu chinoise", 1993 "Électre", nouvelle de 14 pages, 1996 "Le Mystère par excellence", nouvelle de 39 pages, septembre 1999 "Brillant comme une casserole"

porte pour le futur musée des Arts Décoratifs. Il y travaillera jusqu'à la fin de ses jours sans jamais la livrer ni la fondre en bronze. | 1881 | 41 ans | L'État français lui achète une épreuve du Saint Jean-Baptiste en bronze. Premier voyage en Angleterre durant lequel il apprend la gravure auprès d'Alphonse Legros, à Londres. | 1882 | 42 ans | Il exécute les figures d'Adam, d'Eve et du Penseur. | 1883 | 43 ans | Il rencontre Camille Claudel, alors âgée de 19 ans. Décès de son père. |

l'homme se donne des choses de la vie : il motive un mystère (Michel Butor). C'est parce que l'homme ne comprenait pas les origines de son espèce qu'il a inventé une histoire destinée à satisfaire sa curiosité. Telle est la fonction du mythe d'Adam et d'Ève dans la Bible, celui de Deucalion et Pyrrha chez les Grecs. Le déplacement du soleil dans l'espace embrasé est expliqué par le mouvement d'un char à timon d'or, à roues de feu, que conduit d'une main sûre un dieu resplendissant : c'est le mythe

récurrente dans l’œuvre d’Amélie Nothomb, qui qualifie la Bible, dans ses récits autobiographiques, de « texte-fantôme » (Nothomb, 2004 : 63), car lu à l’insu de ses parents depuis son plus jeune âge (Nothomb, 2000 : 111). Évoqué dans le titre Ni d’Ève ni d’Adam (Nothomb, 2007), l’Éden, associé à la chute imminente, apparait aussi notamment dans Hygiène de l’assassin (Nothomb, 1992), Métaphysique des tubes (Nothomb, 2000) ou encore Cosmétique de l’ennemi (Nothomb, 2001). Ce dernier livre met en scène

récurrente dans l’œuvre d’Amélie Nothomb, qui qualifie la Bible, dans ses récits autobiographiques, de « texte-fantôme » (Nothomb, 2004 : 63), car lu à l’insu de ses parents depuis son plus jeune âge (Nothomb, 2000 : 111). Évoqué dans le titre Ni d’Ève ni d’Adam (Nothomb, 2007), l’Éden, associé à la chute imminente, apparait aussi notamment dans Hygiène de l’assassin (Nothomb, 1992), Métaphysique des tubes (Nothomb, 2000) ou encore Cosmétique de l’ennemi (Nothomb, 2001). Ce dernier livre met en scène

suivante en 2001. Dans le 'Robert des noms propres (2002), Amélie Nothomb romance la vie de son amie chanteuse, Robert. Elle publie ensuite Antéchrista (2003), Biographie de la faim (2004), Acide sulfurique (2005), Journal d'hirondelle (2006), Ni d'Eve ni d'Adam (2007) et enfin Le Fait du prince sorti en 2008. Tous ses livres sont des best-sellers ; Amélie Nothomb suscite la polémique. En effet, elle compte de très nombreux fans (certains sont appelés les péplautes en référence à son livre Péplum

récurrente dans l’œuvre d’Amélie Nothomb, qui qualifie la Bible, dans ses récits autobiographiques, de « texte-fantôme » (Nothomb, 2004 : 63), car lu à l’insu de ses parents depuis son plus jeune âge (Nothomb, 2000 : 111). Évoqué dans le titre Ni d’Ève ni d’Adam (Nothomb, 2007), l’Éden, associé à la chute imminente, apparait aussi notamment dans Hygiène de l’assassin (Nothomb, 1992), Métaphysique des tubes (Nothomb, 2000) ou encore Cosmétique de l’ennemi (Nothomb, 2001). Ce dernier livre met en scène

récurrente dans l’œuvre d’Amélie Nothomb, qui qualifie la Bible, dans ses récits autobiographiques, de « texte-fantôme » (Nothomb, 2004 : 63), car lu à l’insu de ses parents depuis son plus jeune âge (Nothomb, 2000 : 111). Évoqué dans le titre Ni d’Ève ni d’Adam (Nothomb, 2007), l’Éden, associé à la chute imminente, apparait aussi notamment dans Hygiène de l’assassin (Nothomb, 1992), Métaphysique des tubes (Nothomb, 2000) ou encore Cosmétique de l’ennemi (Nothomb, 2001). Ce dernier livre met en scène

puis universel (monothéisme). Création d’Adam [MICHEL-ANGE, 1508-12] Lecture : Genèse, ch.2 & 3, “Création de l’homme & Chute” • Adam, le premier homme, est installé dans le jardin des délices ou Eden (Paradis = “verger” en persan). Dieu lui joint la première femme. Mais ils sont chassés du Paradis (Gén., 2 sq)pour avoir goûté, sous la tentation du serpent (= le Diable) aux fruit de l’arbre de la connaissance du Bien et du Mal (d’où la “pomme d’Adam” des hommes, un morceau étant resté en travers

s’amusent avec le puzzle que ton frère Messaoud, leur avait offert l’Aïd dernier. » (p.12). «  Tout les hommes descendent d’Adam et d’Eve, expliqua encore mon père à Mazigh, et Mazigh lui répliqua que la science dit le contraire, que l’homme descend du singe. Au village, ma grand-mère avait sa propre théorie sur l’origine de l’homme et des espèces. Elle ne connaissait ni Darwin ni prophètes auxquels elle croyait comme tous les autre vielles femmes de son village. Ma grand-mère disait en fait que le