Niani

Laurent Gbagbo, Soundjata Ceda, Abidjan Raphaël Chauvancy, Soundiata Keïta, Le lion du Manden, L'Harmattan, Paris, 2015, (ISBN 978-2-343-05920-4) Résume de l’œuvre Sogolon Diata Keïta, plus connu sous le nom de Soundiata Keïta6, né le 20 aout 1190 à Niani dans la région de Siguiri (au Royaume du Manding, en actuelle Guinée) et mort en 1255, est un souverain mandingue de l'Afrique de l'Ouest médiévale, fondateur de l'Empire du Mali. Fils du roi Naré Maghann Konaté et de sa seconde épouse Sogolon Kondé

au roi du Manden. Sogolon Kèdjou est le double ou la réincarnation de Dô-Kamissa, d'où son surnom de Femme-buffle. Les chasseurs obéissent et vont offrir la jeune fille à Naré Maghann Konaté, aussi appelé Maghan Kon Fatta, roi du Manding, réside à Niani, dans la région de Siguiri, dans l'actuelle Guinée. C'est ainsi que Naré Maghann Konaté épouse Sogolon, qui lui donnera plusieurs enfants dont Soundiata. Naissance et enfance de Soundiata Naré Maghann Konaté épouse donc Sogolon Kèdjou. Mais la première

batailles qui se soldèrent par de cuisantes défaites, entre 1228 et 1235: La bataille de Kounkounba (Kounkounba="jour des cris terribles") La bataille de Bantamba (Bantamba= "le jour de la grande tuerie") La bataille de Niani-Niani ("le jour des grandes souffrances"). Pour information, Niani était la ville où le père de Soundjata avait régné. La bataille de Kama Siga ("le jour du grand doute") Soundjata comprit qu'il ne pourrait battre Soumaoro sans intelligence, et à en croire certains griots, il

au roi du Manden. Sogolon Kèdjou est le double ou la réincarnation de Dô-Kamissa, d'où son surnom de Femme-buffle. Les chasseurs obéissent et vont offrir la jeune fille à Naré Maghann Konaté, aussi appelé Maghan Kon Fatta, roi du Manding, réside à Niani, dans la région de Siguiri, dans l'actuelle Guinée. C'est ainsi que Naré Maghann Konaté épouse Sogolon, qui lui donnera plusieurs enfants dont Soundiata. Naissance et enfance de Soundiata[modifier | modifier le code] Naré Maghann Konaté épouse donc

pays et c’est le début d’un mouvement de population d’une dispersion des Mandingues et conséquemment l’implantation peul au Kabou et dans le fouta. Ainsi la chute de Kansala prélude un exode vers la Casamance, la Gambie, le Kanton, le Wali et le Niani. On peut comprendre des lors pourquoi la tradition donne tellement d’importance à la chute de Kansala. C’est le début d’une nouvelle histoire. II- LES ENTITES POLITIQUES NEES DU DECLIN DU GABOU Dans le contexte de la Sénégambie, le Gabou situé entre

représentant, puis prend le pouvoir. Son fils, Mansa Magha deviendra aussi roi du Mali grâce à cette tradition. Moussa fait construire de nombreuses mosquées et madrasas à Tombouctou et à Gao, son œuvre la plus connue restant la médersa de Sankoré. À Niani, il fait construire une salle d'audience, un bâtiment communiquant par une porte intérieure avec le palais royal. L'édifice "construit en pierre de taille est surmonté d'un dôme décoré d'arabesques colorées. Les fenêtres de l'étage supérieur sont ornées

empereurs qui contribuèrent à la consécration, au rayonnement et à la renommée de l’empire furent sans conteste Soundiata Keita et Kanka Moussa. Après avoir battu Soumangourou Kanté le roi Sosso en 1235 à Kirina, Soundiata transféra la capitale à Niani. Il mourut en 1255, laissant l’empire solidement établi dans la paix, la prospérité et la sécurité. Ses héritiers (Aboubacar II et l’usurpateur Sakoura) ne surent pas conserver l’hégémonie de l’empire. C’est Kanka Moussa qui porta ce dernier à son

parsèment le sol de l’Afrique occidentale, il cherche à les confronter aux traditions transmises dans les villages par les griots. Dans l’attente des travaux des archéologues sur les grands sites d’Aoudaghost, de Koumbi Saleh (empire du Ghana) et de Niani (empire du Mali), il recueille le geste de Soundiata Keita, fondateur de l’empire du Mali, qui est publiée en 1960 (Soundiata ou l’Épopée mandingue). Chercheur rigoureux aventuré dans les méandres de la mémoire collective, il se situe à mi-chemin des

Enfance S-T4 S-T5 Le retour Noms ds héros Exil S-T6 S-T 7 Le Roi socrier S-T8 Feuilles bamban Histoire S-T9 S-T0 Friban et B. fasséké S-T11 S-T12 Krina S-T13 S-T 14 L’émpire Partage du monde Nianie S-T16 Manding Eternel S-T17 S-T18 b) Les relations proleptiques et analeptiques. S-T1 S-T2 S-T3 S-T4 S-T5 S-T6 S-T 7 S-T8 S-T9 S-T10 Prolepse S-T11 S-T12 S-T 13 ST 18 Analapse Nous constatons

l’aristocratie guelewar, nés de l’union entre les sérères et les Mandingues venus du Gaabou qui partagent des origines avec les Mansa du Gaabou. Le Gaabou avait également de bonnes relations avec les royaumes wolofs et les petits états mandingues du Niani et du Wouli. C’est avec le Fouta-Djalon qui entretenaient de bonnes relations avec le Gaabou au départ que le Gaabou allait entrer en conflit au milieu du XIXe siècle, notamment avec Alphayaya Mollo et les almamys du Fouta-Djalon : Alpha Ibrahima