Nietzsche Echange

plusieurs philosophes. Dans cette analyse, je vous présenterai donc, en premier, une description de la série et la conception de l’Homme véhiculée dans la série. Ensuite, je comparerai cette vision avec celle de deux philosophes étudiés : Montaigne et Nietzsche. Pour conclure, je donnerai mon opinion sur la vision de l’Homme que l’on présente dans la série. PREMIÈRE PARTIE En premier lieu, la série Harry Potter raconte l’histoire d’un jeune garçon qui se croyait normal, bien que ostracisé par sa

trouve que ce livre ne saurait être accepté à une publication officielle. Je tiens aussi à ce que vous sachiez que ma fuite précipité ne sera pas une entrave à notre relation, car ma sincérité et mon dévouement constant à votre cause ainsi que nos échanges de passion l’un envers l’autre témoignent et restent en gage de mon retour assuré. Je tiens à vous dire que vous me portez de l’amour or l’amour donne du bonheur donc vous me procurez du bonheur, mais je ne me laisse point ici allez au jeu de libertin

donc qui a pour but de créer des débats tout en étant ironique et sarcastique. ( rappel : sarcasme = blesser qqun et ironie = rire ). Il peut heurter les personnes car il affirme que les gens ne comprennent rien du tout à tout ce qui leur arrive. Nietzsche est le premier philosophe qui pense que nous devons nous comprendre nous-mêmes avant d’acquérir de la connaissance. Ce qu’il va faire c’est rechercher ce savoir. Il veut scruter ce que nous somme au plus profond de nous-mêmes. Il va questionner le

Préface: Amis lecteurs, vous n'avez sans doute pas l'habitude de fréquentés des recueils poétiques faisant partis du surréalisme. Francis Ponge fût l'un des auteurs qui va, à travers sa vie, expandre ce mouvement littéraire. Dans cette anthologie vous allez vous posez des questions, conaître des sensations, mais tel est le but de ce mouvement et de cet auteur. Mon but, dans cette préface sera de vous donner envie de vous aventurer dans ces poèmes. Ils ont tous été écrits par Ponge(extrait du

Le témoignage de Saint-Exupéry sur la vie des pilotes de ligne est dépouillé de toute littérature. Il retrace une expérience vécue et il montre comment lui-même et ses camarades aviateurs étaient prêts à renoncer à tout ce qui les touchait individuellement pour défendre une cause qui leur semblait légitime. Dans cet ouvrage, Saint-Exupéry a défini deux types d'hommes : le chef qui forge des volontés (le personnage de Rivière, inspiré par Didier Daurat, une figure « mythique » de l'Aéropostale) et

Nietzsche entend mener à bien dans ce texte ce qu'il a nommé ailleurs la généalogie de la morale : il s'agit d'élucider l'origine et le fondement de nos systèmes moraux, c'est-à-dire de se demander pourquoi tel comportement est valorisé, nommé « bon » et récompensé par le corps social tout entier, tandis que tel autre est jugé « mauvais » et, en tant que tel, châtié ou puni. Pourquoi par exemple disons-nous que l'altruisme est une vertu, et l'égoïsme un vice ? Pourquoi sommes-nous tous convaincus

des Européens qu'ils sont capables d'un repos plus long et plus profond que ceux-ci ; leurs narcotiques même agissent plus lentement et exigent de la patience, à l'encontre de l'insupportable soudaineté de ce poison européen, l'alcool. Friedrich Nietzsche, Le Gai Savoir

Texte « Dieu est mort ! » de Nietzsche Dissertation L’expression « dieu est mort » permet une série de questions : « si dieu est mort, qui l’a tué ? De quoi est-il mort ? Comment est-il né ? Qu’est ce qu’il l’a remplacé ? » La phrase de Nietzsche « Dieu est mort » est provocante. Cela parait absurde dieu est un être divin, comment pourrait-il être mort ? Nietzsche n’implique t-il pas que dieu n’est pas, n’a jamais été qu’une illusion rassurante ? Si dieu se définit par sa fonction sociale,

dépendance il s’en rendrait tout de suite compte. Le texte de Nietzsche est donc paradoxal et nous invite à dépasser ce préjugé que les hommes peuvent avoir en nous mettant dans une position de « si on se rendait compte de nos dépendances ». Que peut-on qualifier de libre arbitre ? Cela peut être une notion comme le justifie Descartes dans Lettre à Mesland ou alors même une illusion comme Spinoza a démontré dans Ethique. C’est le problème que Nietzsche va trait é dans Le voyageur et son ombre. Nous analyserons

La conscience de soi est elle connaissance de soi ? Il semble que je sois le mieux placé pour me connaitre moi-même, et que la connaissance de moi-même soit la plus sure et immédiate de mes connaissances. Pourtant, il arrive parfois que je ne comprenne pas mes propres pensées et réactions ou, plus encore c’est parfois autrui qui devine mes sentiments, émotions. Comme l’affirmerait Socrate, la connaissance de soi-même est nécessaire à la sagesse. Mais peut-on réellement se connaitre soi même