Nietzsche Homme Machine

première de toute conscience et le fond sur lequel tout acte de conscience prend naissance. Descartes le formule ainsi clairement dans le Discours de la méthode (1637) : cogito ergo sum, « je pense, donc je suis ». La conscience, L ’homme, dans la mesure où il est conscient, c’est-à-dire capable de se prendre lui-même pour objet de pensée, n’est plus simplement dans le monde comme une chose ou un simple être vivant, mais il est au contraire devant le monde  : la conscience, c’est

Texte 4 : de Bachelard : La formation de l’esprit scientifique. Où se situe l’obstacle épistémologique ? Les obstacles épistémologiques se situent chez le chercheur lui-même. Le chercheur est humain, trop humain cf. Nietzsche. Tout homme a des préjugés, des besoins. Tout homme résonne en termes d’utilité et de plaisir. Or ce sont des obstacles à la constitution de la vérité. Souvent on aimerait bien que la connaissance nous serve, nous soit utile, que la vérité vienne confirmer nos préjugés..

fallu que nous percevions la multitude des vagues qui le compose. Pourtant, nous sommes incapables de distinguer chaque vague de cet ensemble. Nous les avons perçus sans en prendre conscience. Ainsi est notre conscience : en partie obscure à même. Nietzsche « ce dont nous avons conscience est peu de chose » Synthèse sur la conscience Problématique : Qu’est-ce que la conscience ? La conscience est une notion ambiguë ; elle peut se définir comme la connaissance qu’a l’homme de ses pensées, de ses

............................................................................................................................ 25 ANNEXES ..................................................................................................... 26 NIETZSCHE - ZARATHOUSTRA - Des poètes NIETZCHES P 155............................ 26 EXTRAITS DU POINT DU DIABLE - JULIEN BLAINE EDITIONS AL-DANTE .......... 28 EXTRAITS LE PHARE DES EAUX ET DE LA TERRE - JEAN PAUL CURNIER ............ 31 LE VIADUC LE CORBUSIER

causes, c'est se donner les moyens de le conduire vers la liberté, vers la plus grande puissance possible de penser et d'action, vers l'épanouissement. Le programme de Spinoza est étonnamment moderne. Par son refus de la morale, il s'apparente à Nietzsche. Par son souci de donner à l'homme une maîtrise de lui-même qu'il n'a pas de prime abord, il s'apparente à Freud. Spinoza nous a appris à dissocier la morale de la recherche du bien individuel et collectif. Il est légitime que sa devise : « Ne pas

restituant chacun à lui-même, anéantir l'obstacle que la royauté fait à l'immense concorde universelle, remettre le genre humain de niveau avec le droit, quelle cause plus juste et, par conséquent, quelle guerre plus grande?". Ce témoignage d'un grand homme du XIXème siècle présente un intérêt de trois ordres dans une réflexion sur l'articulation des notions d'Etat, de Nation et de souveraineté: d'une part, il nous rappelle que la mise en parallèle de ces trois termes est un produit de l'histoire et qu'elle

du pasteur activiste George W. Lee et du militant des droits civiques Lamar Smith. Le 1er décembre 1955, lorsque Rosa Parks, une femme noire, est arrêtée pour avoir violé les lois ségrégationnistes de la ville en refusant de céder sa place à un homme blanc, il mène le boycott des bus de Montgomery avec l'aide du pasteur Ralph Abernathy et d'Edgar Nixon, directeur local du National Association for the Advancement of Colored People. La population noire soutient le boycott et organise un système de

divinatoires ou magiques. C'est-à-dire, cela fait des millénaires que les plantes susceptibles d'élargir le champ de la conscience sont une partie intégrante du bagage culturel de l'humanité. Des traces découvertes par des chercheurs témoignent du fait que l´homme a, depuis toujours, cherché à percer leurs "mystères intérieurs", tentant par de nombreux moyens d'accéder aux sphères inexplorées qui leur conféreraient une dimension inédite. Aujourd´hui les approches sont aussi abondantes que les objectifs qu'elles

n se font rechercher : on entend de partout la contestation de l’exploitation, de la chosifixation et de la déshumanisation de l’homme par l’homme. Toute ce bataille, on le voit bien, est faite pour envisager un mieux être de l’homme de tout homme et de tout l’homme. Cette bataille nous stimule, nous aussi à pouvoir repenser le fait réel de la relation entre « Je et Tu ». E n outre, e n ce XXI siècles où la technologie prend des allures effrayantes pour l’univers et plus encore parce que

joueront plus demain car les affrontement seront entre les 3 peuples : islam, chrétien, asiatique. c) La vision russe Point de vue principalement militaire. Les soviétiques étaient contre la vision géographique. Le communisme soviétique était une machine de guerre au service des slaves. Avec le changement du système, apparaissent des théoriciens. Douguine (http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Douguine) retrouve le thème Eurasiatique et slavophile, devenant théoricien panslavisme. Il promeut la réintégration