Niqab

installée en France (5 millions de personnes), pose la question de la visibilité de cette religion. Les mosquées peuvent poser problème pour certains (nuisances sonores) Il faut penser au foulard islamique : Hijab (porté sur la tête), tchador (en Iran), niqab ou burkah (en Afghanistan), il existe trois façons de porter le foulard : - La façon traditionaliste : ce sont les femmes ne pouvant sortir de chez elle sans foulard - La façon identitaire : c’est l’affirmation de sa différence - La façon combative

il y a la burqa qui couvre tout le visage et dissimule les yeux derrière une grille. Ce voile couvre tout le corps certaines burka comme les pakistanaise ou indienne peuvent laisser paraitre le visage ou les yeux. .Le troisième voile s'appelle le niqab celui ci couvre le visage mais pas les yeux. Un peu moins religieux il y a la djellaba aussi appelé jilab, c'est un vêtement en forme de longue robe. Il en existe deux types une étant pour les femmes et l'autre pour les hommes. La djellaba est

agents de l’Adm ne doivent pas montrer des signes religieux. La loi du 15 mars 2004 interdit le port de signes religieux ostensibles ds les écoles pub. La loi du 11 octobre 2011 interdit de masquer son visage en public (interdisant donc le port du niqab). b) Les principes discutés par la doctrine Il n’y a pas de principe de gratuité. Cependant certains services sont nécessairement gratuits, par ex le service départemental d’incendies par les pompiers. Le principe de transparence de l’Adm est également

des petites et moyennes entreprises3. C’est « un cavalier législatif »4, et donc un problème de forme ! Cet article 16 était adopté pour compléter l’article 2011 du code civil par une disposition de portée générale5. Il aurait permis la penser du niqab ? Le Monde des Religions, septembreoctobre 2009, p. 10. 3 Conseil constitutionnel, 14 octobre 2009, Décision n° 2009-589 DC, http://www.conseilconstitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/lesdecisions/acces-par-date/decisions-2009/2009-589dc/decision-n-2009-589-dc-du-14-octobre2009

bâtiment, se faufilant entre les voitures agglutinées dans l’avenue Alemdar. Les trois autres lui emboîtèrent le pas. À l’entrée de la citerne, la porte était bloquée par une poignée de personnes impatientes d’assister au concert – trois femmes en niqab, un couple main dans la main, un homme en smoking. Tous se pressaient sur le seuil pour s’abriter de la pluie. Soudain des notes de musique montèrent du sous-sol. Du Berlioz, peut-être, songea Elizabeth. En tout cas, entendre une symphonie romantique

portent la burqa dans la voie publique de raviver les sentiments dits laïcs2. Pour résoudre le 1 Le Monde, La finance islamique menace la laïcité, Point de vue, 20 novembre 2009. 2 « Pourquoi est-il difficile d’accepter que la burqa, ou plutôt le niqab, dont on observe la recrudescence, réponde à un désir d’enracinement, à la recherche de balises ? Ces jeunes femmes ne sont pas, pour la plupart, dans la version passive que l’on a d’elles, des épouses soumises à la dictature masculine et ruinant la

bâtiment, se faufilant entre les voitures agglutinées dans l’avenue Alemdar. Les trois autres lui emboîtèrent le pas. À l’entrée de la citerne, la porte était bloquée par une poignée de personnes impatientes d’assister au concert – trois femmes en niqab, un couple main dans la main, un homme en smoking. Tous se pressaient sur le seuil pour s’abriter de la pluie. Soudain des notes de musique montèrent du sous-sol. Du Berlioz, peut-être, songea Elizabeth. En tout cas, entendre une symphonie romantique

le droit d des étudiantes à porter le niqab. «Cet incident grave a provoqué un mouvement de terreur et de panique dans les rangs des étud diants et des enseignants», a ajouté le doyen. En réaction à cette «irruption islam islamiste», plus de 200 femmes répo répondant à un appel lancé sur p les pages des réseaux sociaux du web ont manifesté samedi pou pour dénoncer «les forces rétro trogrades et les fanatiques». Sc Scandant des slogans hostiles au port du niqab qui «porte préjudice à l’identité de

voies publiques, les transports en commun, les commerces et centres commerciaux, les établissements scolaires, les bureaux de poste, les hôpitaux, les tribunaux, l’administration... Sont notamment interdits les cagoules, les voiles intégraux (burqa, niqab...), les masques ou tout autre accessoire ou vêtement rendant impossible l’identification de la personne. ̈ La laïcité à l’hôpital ne reconnaît pas à des maris le droit de refuser que leur femme soit accouchée par un homme obstétricien. ̈ La laïcité

bannir. La mode ethnique a le vent en poupe et parfois arrive à se substituer à une approche rigoriste. C’est ce qui explique peut-être le succès des kaftans* et autres vêtements traditionnels permettant aux femmes d’éviter de porter des burqas ou niqabs. Même en Afghanistan, un pays qui a évidemment banni toute mode pendant le régime des talibans, la mode revient timidement dans les rues. De rares marques sont présentes sur le marché comme Tarsian & Blinkley. Sur son site1 cette marque propose des