Nobilitas

familles. ╘> dès XVIème s. Nantes: distinction de «dynasties» ou «météores». Question des rapports ville-noblesse. 2 extrêmes à écarter d'office: ╘> Situation 1: cas des cités-États Italie où pouvoir presque entièrement réservé à «nobilità». ╘> Situation 2: cas des villes où exclusion radicale noblesse en vigueur (XVIème s. Porto). Ailleurs, élites municipales provenant bourgeoisies locales donc relativement ouvertes. Cas du Saint-Empire: capacités anoblissement TRES attirantes

fortune qui vient avec la conquête et provient de moins par le fait d’avoir de vastes territoires mais par le commerce. D’un coté il y a les chevaliers et les sénateurs. Sachant qu’une minorité seulement de la population monopolise le pouvoir, la nobilitas. On retrouve à Rome les citoyens les plus riches. La plupart des sénateurs étaient aussi chevalier et disposait donc d’une grande fortune. Néanmoins que Rome c’est enrichi des personnes a craint que l’argent ne corrompe le monde politique. Il y a

royauté et ne se réunissent quasiment plus à l'époque républicaine. C) Le Sénat Conseil aristocratique de la cité constitué de 300 membres qui réunit les chefs des grandes familles patriciennes, puis par la suite va se recruter dans la nobilitas (nouvelle classe sociale, nouvelle noblesse née du déclin de l'ancien patriciat et de son ouverture notamment par les alliances, des mariages avec des membres des plus riches familles plébéiennes). Le Sénat c'est l'assemblée majeure même si

perdu’’, qui considéra l’aristocratie comme supérieure, fut fasciné par elle, lui vouant une admiration béate, ne demandant que de pouvoir vivre dans son ombre, s’était donc révélé un snob au sens littéral du mot qui vient de ce « s.nob. » [« sine nobilita »] qui, dans les registres des collèges anglais, signalait les roturiers. Beaucoup d’entre eux voulant s’agréger à la caste supérieure qu’était l’aristocratie, en l’imitant, en étalant des manières, des goûts qu’ils lui empruntèrent sans discernement

la plèbe et patricia, conflit qui donne naissance au tribunat. P ne s’intéresse pas du tout à ce conflit, il ne voit pas bien que Rome en réalité en une oligarchie, le rôle des commis est tous a fait secondaire. Le gvt de Rome est assuré par la nobilitas (presque nobles) c’est la fusion des élites patricienne et plébéienne, 10zaine de famille (300 pers) qui se partage le pvr. (Ça tourne) P ne voit pas non plus en 150 (époque ou Rome a construit cet immense empire et la crise va se manifester qq

sénatorial                                                     ● Ordre des chevaliers                                              ● La plèbe (le peuple)                                        Notons que l’ordre sénatorial + l’ordre des chevaliers = la nobilitas (la noblesse). Cicéron aime à dire que c’est un homme nouveau (home novus) c’est-à-dire qu’aucun membre de sa famille n’a été élu à une haute place de la magistrature (cursus honorum). Il va parvenir au 1er rang de Rome par son seul génie d’orateur

populares, cela ne veut pas dire que les dirigeants de ce courant politique sont eux-mêmes issus de ces classes dites populaires. En fait, on trouve des nobles romains à la tête des deux partis. Il y a donc une scission qui s’est produite chez les nobilitas. Il y ceux qui voulaient s’appuyer sur les citoyens les plus modestes ( plèbe urbaine et plèbe rurale ) et ceux qui allaient à l’encontre de ce courant et qui se voulaient être les défenseurs de l’aristocratie sénatoriale. Ils défendaient le système

chercheront à accaparer le pouvoir. Entre grandes familles patriciennes et plébéiens riches s'opère alors un rapprochement. Des intérêts communs, des mariages mixtes favorisent l'apparition d'une aristocratie nouvelle, la noblesse patricio-plébéienne : la nobilitas. L'afflux à Rome des richesses, provenant des conquêtes, favorise le développement des sociétés commerciales : sociétés de banquiers ( argentarii ), chargées du change des monnaies, qui prêtent à intérêt, pratiquent l'usure, reçoivent des dépôts

là que se retrouvaient tous les nobles d’Angleterre pour étudier. Comme les Anglais sont démocrates, les fils de commerçants ou de fermiers pouvaient aussi étudier dans cette grande maison, mais sous leurs noms était marqué « SNOB » (du latin Sine NOBilitas, c’est-à-dire « sans titre de noblesse »). Pour ceux qui préfèrent les définitions du Petit Robert, ce mot serait apparu en 1857 avec le livre The Book of Snobs (1848) d’un certain William Thackeray1. En 1796, ce mot désignait, à l’université de Cambridge

que se retrouvaient tous les nobles d’Angleterre pour étudier. Comme les Anglais sont démocrates, les fils de commerçants ou de fermiers pouvaient aussi étudier dans cette grande maison, mais sous leurs noms était marqué « SNOB » (du latin Sine NOBilitas, c’est-à-dire « sans titre de noblesse »). Pour ceux qui préfèrent les définitions du Petit Robert, ce mot serait apparu en 1857 avec le livre The Book of Snobs (1848) d’un certain William Thackeray1. En 1796, ce mot désignait, à l’université de