Nobilitas

qui comprend aussi des dispositions d'ordre économique, autorise désormais l'accès au consulat pour les plébeïens. Licinus et Sextus furent les deux premiers consuls plébéiens. On assiste à la naissance d'une nouvelle catégorie, qu'on appelle la nobilitas : fusion des élites plébéiennes avec les patriciens. Les consuls sont les principaux administrateurs de la cité. Ils ont des pouvoirs militaires. Ils dirigent les opérations militaires, ils gèrent les affaires extérieures, ils président les comices

toujours pas démocratique, car si les magistratures sont ouvertes aux plébéiens, elles sont réservées à l’élite plébéienne qui se marie d’ailleurs avec des patriciens. Ainsi, une nouvelle aristocratie apparaît au IIIe siècle av. J.-C. : la nobilitas. La nobilitas regroupe les familles dont un ancêtre avait exercé une magistrature.   Pendant toute la République, Rome a été expansionniste « L’audace de prétendre à la domination universelle » (Polybe, 1, 6, 3). Elle progresse au nord en battant les

les vertus génitrices (Vénus Genitrix). Les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une maison assez modeste du bas quartier de Subure, de mauvaise réputation[7]. Caius Julius César, le futur Jules César, naît vers

les vertus génitrices (Vénus Genitrix). Les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une maison assez modeste du bas quartier de Subure, de mauvaise réputation8. Caius Julius César, le futur Jules César, naît vers 100

par son père après la chute de Troie. Les Julii historiquement connus , furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une maison assez modeste du bas quartier de Subure, de mauvaise réputation. Caius Julius César, naît vers 100 av. J.-C., fils de Caius

la richesse et pauvreté. La classe dirigeante ne sera plus la classe des patriciens mais sera la nobilitas qui est formé d'hommes puissance basé sur richesse et fortune. C'est dans cette nobilitas qu'on va puisé ceux qui vont avoir les fonctions de consules. La nobilitas s'opposent au populares qui est le peuple, c'est cette opposition nouvelle qui aura raison de la république. C'est la nobilitas qui poussent la république à partir. 2- la tradition aristocratique le Sénat. Le sénat est un

-Au IVe siècle les empereurs prendront des mesures contre les hérétiques, volonté de monopole religieux qui interdit la liberté de croyance et la libre opinion. La plèbe — les plébéiens — se définit par opposition aux patriciens ou plus tard à la nobilitas : c’est la partie du peuple qui s’oppose à l’organisation oligarchique de la cité. Dans le langage courant, la plèbe désigne la population. -Héritière de la recommandation du Haut Moyen Âge, la vassalité est la situation de dépendance d’un homme

supérieure et évoluée . et plèbe (du latin plebs, plebis) est une partie du peuple (populus) romain, c'est-à-dire les citoyens romains, distincts des esclaves. La plèbe — les plébéiens — se définit par opposition aux patriciens ou plus tard à la nobilitas : c’est la partie du peuple qui s'oppose à l'organisation oligarchique de la cité. Dans le langage courant, la plèbe désigne la population. A la tête de l'État se trouvait l'empereur , chef unique à ses côtés le Sénat, corps délibérant composé

|il a envoyé dans son assistance des formes qu’il destine pour le monde.| |[3e miroir, en or] |… | |Auri nobilitas…. |une telle imagination dans le monde résulte de l’idée dont on perçoit | | |la splendeur inoffensive dans l’ombre, un tel ruisseau

d’un citoyen romain. Il existe deux types de citoyens : les patriciens dont le statut évolue en -287 en devenant la nobilitas et les plébéiens. Tous deux jouissent de droits propre au citoyen romain, mais ne votent pas pour les mêmes assemblées et n’ont pas