Nom binominal

Premier caractère de notre alphabet. Dans presque tous les alphabets l'A précède le B. •Ce caractère reçoit différentes formes, soit dans l'impression, soit dans l'écriture manuelle. L'A majuscule. Le petit a. L'A romain. L'A italiqué. •C'est un nom indéclinable, qui ne prend pas, comme presque tous les noms, une S au pluriel. On écrit deux A, et non pas deux AS. •On dit communément De quelqu'un qui ne sait pas lire, et figurément De quelqu'un qui est fort ignorant, qu'Il ne sait ni A, ni B.

pitié devant le caractère misérable de l’existence parisienne B/ L’allégorie de la ville : la personnification L ’absence de description topographique : seul le nom de Paris scande le texte, on ne trouve de fait aucun lieu référant à un lieu réel de Paris. Rien ne permet dans le texte de montrer que l’on est à Paris, si ce n’était le nom de la ville. Voir en fin de compte, que très peu d’éléments renvoyant à un espace urbain apparaissent dans le texte.La Ville comme Être vivant : c’est que la ville

Commentaire comparé• Une si longue lettre, séquences 1-2• « Brief einer Unbekannten »/ « Lettre d’une inconnue », LdP pp. 106-109 jusqu’à « la mort de son unique enfant »Les deux textes réunis dans ce commentaire pourraient avoir peu de choses à voir l’un avec l’autre (une nouvelle d’un écrivain voyageur de la Vienne des années 20 ; un roman d’une romancière sénégalaise paru en 1979…).Mais  ils ont en réalité plusieurs points communs :-1. Débuts des œuvres, premières pages de chacune d’elles ;-2

Les Lumières sont une expression métaphorique définissant le mouvement culturel et philosophique qui a dominé, en Europe et particulièrement en France, le xviiie siècle auquel il a donné, par extension, son nom de siècle des Lumières. Les penseurs de cette époque ont marqué le domaine du savoir (science et philosophie) et de l’art (la littérature en particulier) par leurs questions et leurs critiques fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté. Par leur engagement

Rédaction d’une introduction pour le bac de français Compréhension d’un sujet et analyse de concepts Exemple : quelle est selon vous la place de la fiction dans l'oeuvre littéraire ? Introduction Nous allons tenter de proposer un exercice qui consiste à gagner en assurance pour la rédaction d’une introduction au baccalauréat de français à partir d’un sujet proposé, nous tenterons une démarche d’approche et de compréhension du sujet. Sujet d'application : Quelle est selon vous,

23 Janvier 2012 « DH 4 Trois fois puissant et vous tous mes SS et FF Maîtres secrets, L’Obéissance Pour moi, cette notion m’a toujours parue une contrainte, alors en faire une planche m’aidera peut-être à dépasser cette contrainte, vis-à-vis de moi-même comme des autres, et aussi en relation avec une idée, une morale, une notion philosophique. Je parle de l’obéissance ou de la désobéissance vis à vis d’un tiers, d’un représentant d’une autorité, d’une idée considérée comme indiscutable

le résultat d’une abstraction, devenue possible grâce à l’existence des formes au sens plus concret. Dans les langues indo-européennes, l’infinitif est né d’une classe spéciale des substantifs verbaux.  Ceux-ci se sont très lentement détachés du nom et se sont rapprochés du verbe, tant qu’en définitive ils sont devenues les éléments de son système. En latin, l’infinitif était déjà une forme purement verbale. Pourtant, à la limite du français, l’infinitif s’est de nouveau rapproché du substantif

La poésie est une pratique artistique qui parcours toutes les richesses de la langue. Du grec « poiein » qui signifie « faire, créer » le poème est tout entier voué à la création, à l’innovation. Tel le creuset de l’alchimiste, la structure poétique travaille la matière verbale et le poète manipule les ressources du langage pour en magnifier le pouvoir de signification. Ainsi, «  un mérite de la poésie […] c’est qu’elle dit plus que la prose en moins de mots que la prose ». Ce jugement met en relief

péjorative Avec l'indicatif : exprime une certitude « penser que » Avec une négation : signifie « craindre » 3 – Famille morphologique Adjectif : Cuiderel : prétentieux cuideor, cuidiere : outrecuidant, vaniteux (XII ème) cuidert : crédule Nom : cuidance, cuidement : imagination, pensée cuidereau : galant, présomptueux (Xvème) sorcuidier : être arrogant 4 – Famille sémantique verbe : « croire », « penser », « cogiter », « réfléchir », « spéculer » substantif : « conjecture »

LES ADJECTIFS PRIS SUBSTANTIVEMENT Par « adjectif pris substantivement » on entend un adjectif ou un participe adjectivé précédé de l'article défini the et employé comme substantif (c'est-à-dire nom) soit singulier, soit pluriel, ainsi : - the wealthy (les riches) - the supernatural (le surnaturel) (adjectif simple) - the hard-of-hearing (les durs de la feuille) (adjectif composé) - the experienced (les vétérans) - the sacred (le sacré) (participe passé adjectivé) - the living (les