Nom binominal

ensemble de textes écrits à différentes époques l’unité de la pensée marotique. a) La construction des épigrammes Ce n’est qu’à partir de 1536 que Marot décide de rassembler l’ensemble de ses poèmes courts n’étant pas à forme fixe sous le nom d’épigrammes. Le 31 juillet 1538, il publie, à Lyon, chez Etienne Dolet, les Epigrammes, divisées en deux livres. Le premier se compose de soixante-dix-huit pièces dont quarante-six avaient déjà paru ailleurs sous des noms différents. Notamment en

La Bataille d'Hernani La bataille d'Hernani est le nom donné à la polémique et aux chahuts qui entourèrent en 1830 les représentations de la pièce Hernani, drame romantique de Victor Hugo. Héritière d'une longue série de conflits, la bataille d'Hernani, aux motivations politiques au moins autant qu'esthétiques, est restée célèbre pour avoir été le terrain d'affrontement entre les « classiques », partisans d'une hiérarchisation stricte des genres théâtraux, et la nouvelle génération des « romantiques

IbtrChapitre 1 : Introduction générale à la didactique Objectif : introduire à la didactique (XVII → XXème siècle) 17ème siècle : réflexion autonome sur la didactique. I. Le terme « didactique » : des significations diverses. Etymologie : qui est propre à être instruit. Dans le langage courant : sens péjoratif. Adjectif : enseignement. Substantif : « la didactique » → Activité d’enseignement Analyse de recherche. → discipline autonome. Cf. Ouvrage de Pierre Martinez (voir bibliographie)

Spinoza, Pensées métaphysiques : le vrai et le faux Commentaire semi-rédigé sur un extrait de Pensées Métaphysiques de Spinoza sur les notions de vrai et de faux. Texte étudié « La première signification donc de Vrai et de Faux semble avoir tiré son origine des récits ; et l'on dit vrai un récit quand le fait raconté était réellement arrivé ; faux, quand le fait raconté n’était arrivé nulle part. Plus tard les philosophes ont employé le mot pour désigner l'accord ou le non-accord d'une

Fiche outil N°11 « les types et formes de phrases » I Les types 1)Déclaratif Une phrase de type déclaratif est une phrase qui est constituée d’un groupe nominal sujet et d’un groupe verbal non effaçables. La phrase de base peut aussi contenir un complément de phrase. De plus, elle se termine par un point. La phrase de type déclaratif sert à transmettre une affirmation, une information, un fait, une idée, une opinion, un état, un conseil ou un jugement. Exemples: Je trouve cette émission

clercs, c’est une fraction de la société qui se tient pour spécialement élue et mise à part, et qui pense avoir reçu la mission divine de gouverner le reste des humains ; l’esprit clérical, c’est la prétention de cette minorité à dominer la majorité au nom d’une religion. Les laïques, c’est le peuple, c’est la masse non mise à part, c’est tout le monde, les clercs exceptés, et l’esprit laïque, c’est l’ensemble des aspirations du peuple, du laos, c’est l’esprit démocratique et populaire.  Il n’est pas

fixer dans le temps. On peut comprendre le dernier vers de la strophe de plusieurs façons. Par exemple, on peut voir l'ordre « des éternels regards l'onde si lasse » comme une inversion poétique dans laquelle «des éternelsregards » est le complément de nom de « l'onde ». Ceci soulignerait le lent et infini écoulement des regards des amoureux. Ou bien on peut considérer comme ordre logique des mots de ce vers : l'onde (qui est) si lasse des éternels regards. Dans ce cas, l'onde qui passe sous le pont des

compères, sans sexe, sans parenté, avec les mêmes souvenirs, les mêmes rancunes, la même expectative. Elle ne m’appelait jamais fils, d’ailleurs je ne l’aurais pas supporté, mais Dan, je ne sais pourquoi, je ne m’appelle pas Dan. Dan était peut-être le nom de mon père, oui, elle me prenait peut-être pour mon père. Moi je la prenais pour ma mère et elle me prenait pour mon père. Dan, tu te rappelles le jour ou j’ai sauvé l’hirondelle. Dan, tu te rappelles le jour ou tu as enterré la bague. Voila de quelle

« Je » est un pronom personnel, mais a ici la forme d’un substantif et a pour valeur celle d’un nom propre. C’est cette faculté de l’homme de s’exprimer à la première personne du singulier qui le distingue de l’animal et des autres êtres de la nature. Ainsi « je » exprime la conscience de soi. Pour Kant, la conscience est un pouvoir et non une chose. Grâce à elle, l’homme peut « se penser », il peut ainsi formuler ces pensées avec un « je pense ». Kant rejoint par là la tradition rationaliste

qualificatifs. Il exprime une manière d'être, une qualité du nom auquel il se rapporte. – Ils peuvent être épithètes : Ils appartiennent au groupe nominal et s'accordent avec le nom principal. Ils peuvent être placés juste devant ou juste derrière le nom ou en être séparé par un adverbe. Exemple : Tu visites des petits édifices romans bien restaurés – Ils peuvent etre placés en apposition : Lorsqu'ils sont séparés du nom par une ou deux virgules. Exemple : Ces voitures, confortables