Nom de jeune fille

Naître fille et grandir à Rome Les différents noms latins pour désigner la jeune fille : Les différents nom latin pour désigner la jeune fille sont : figura, puella, virgo, filia, adulescens, iuulenis. La naissance  Le nouveau né était lavé par une servante, puis placé au pied du père. Si celui-ci le prenait dans ses bras, cela voulait dire qu’il l’acceptait. L’enfant était refusé s’il était mal formé. Dans ce cas il était abandonné à l’extérieur de la maison 9 jours après sa naissance

La Jeune Fille à la perle ou La Jeune Fille au turban de Johannes Vermeer Il est né à Delft le 31 octobre 1632 et mort le 15 décembre 1675 à l’âge de 43 ans. C’était un peintre du XVIIème siècle (17) Hollandais. Malheureusement, il y a un manque de document sur sa vie donc nous devons être prudents dans les archives que l’on peut trouver. Il a peint La jeune fille à la perle en 1665 soit à 33 ans. Lorsqu’il meurt, le peintre laisse derrière lui 11 enfants dont 10 mineurs. Seul 3 documents demeurent

IV.La sororité dans le texte V. ConclusionI.Problématique : ➢Où se situe la sororité chez Assia Djebar ? Quels sont les aspects de la sororité dans Vaste est la prison ?II.Définition de la sororité: ➢Etymologie du mot : Le terme « sororité » est un nom commun féminin provenant du terme latin soror, qui signifie sœur ou cousine. Sororité est l'équivalent féminin de fraternité. En latin médiéval, il a désigné une communauté religieuse de femmes, mais il n'a été utilisé dans ce sens que jusqu'au

l'objet de la discussion entre son ami et ses parents, d'autant plus inquiets qu'ils en ignorent la cause et qu'il est " secret et fermé". - Le père de Juliette en fait un portrait élogieux : c'est " Un gentilhomme parfait", " un vertueux jeune homme et bien élevé", "Vérone est fière de lui" (page 55) - En revanche Tibalt, le considère comme son pire ennemi, il le traite de " lâche" et d''infâme" (page 85) - Roméo est un personnage qui ne cesse de changer au cours de la

livre » Le Lion » a été écrit par Joseph Kessel et fut publié en 1958 aux éditions Gallimard. L’histoire se déroule au Kenya et les personnages principaux sont Patricia, une fillette qui vit dans la région, le narrateur dont on ne dispose pas du nom et un lion nommé King. Le narrateur est un homme qui est venu faire une visite au Kenya, il nous raconte l’histoire de Patricia et King à travers ses yeux de novice, à travers sa vision étonnée et charmée par ces paysages et celle de la faune d’un pays

personnage de roman du XVIIème siècle à nos jours. La Princesse de Clèves Roman publié en mai 1678 sans nom d'auteur chez l'éditeur Claude Barbin. Portrait de Mlle de Chartres Introduction : Ce roman a été écrit entre 1672 et 1677 et fut publié en 1678. Il fut pendant 100 ans sans auteur, ce n'est qu'en 1780 que le nom de Mme de la Fayette apparu sur la couverture de l’œuvre. Cette écrivaine était une femme de lettres françaises qui a écrit le premier

les trois contes proposés et choisissez celui qui « vous parle le plus ». On choisira des contes venant de continents différents. Trois pistes possibles : Conte arabe : « Belle comme la lune » L'on raconte qu'aux temps anciens, il était une jeune femme très belle, aussi belle que la lune. Et cette femme, les nuits de pleine lune, se fardait, peignait et parfumait ses longs cheveux, revêtait ses habits les plus riches, se parait de tous ses bijoux et sortait. Pour mieux découvrir le ciel, elle

Johnny est un jeune indien de 16 ans venant d'emménager à Hollywood, la ville de la mixité par excellence, avec sa famille, après l'immense succès du livre de son grand-père. Une semaine après son arrivée au lycée, une deuxième nouvelle arrive. Elle s'appelle Rebecca Tepish et déclare d'emblée que son père est un vampire. Tout le monde rigole, mais peu à peu, Johnny commence à avoir des doutes... Est-ce bien vrai que la jeune fille va devoir choisir entre sa nature humaine et vampirique dans seulement

(folio classique) est en bas à droite, le nom de l'auteur, de l'œuvre et de l'éditeur sont en haut à gauche. Thierry Laget, l'éditeur, pense à l'aspect vendeur du roman car cette femme nous intrigue, on ne voit pas son visage et donc sa face cachée, on a envie de découvrir qui elle est. Le fait que la couverture soit assez épurée nous suggère un livre classique et plutôt d’apprentissage, utilisé pour les études. Analyse du titre : "Madame Bovary" : est le nom de l'héroïne principale du livre, ce

plus générales sur la parentalité et certaines fragilités parentales. Ce terme et cette attention refléterait notamment l'accent nouveau mis sur la nécessaire richesse relationnelle dans l'éducation des enfants. Comme le note Marine Boisson[1] « La fille-mère, stigmatisée hier du fait de son écart par rapport à la norme familiale traditionnelle (la famille conjugale), se retrouve, en tant que “parent isolé”, de nouveau à distance de la norme familiale, nouvellement conçue comme une “co-éducation” avec