Nominalisme

future, et le bilan commence à envisager l’avenir. Les postes de l’actif sont en principe évalues au cout historiques éventuellement diminue jusqu’à la valeur vénale mais une valeur économique d’usages. Les passifs demeurent soumis au principe de nominalisme. Les actifs sont classés par ordre de liquidité a la date du bilan ; les passifs par ordre d’exigibilité a la date du bilan ; leur confortation montre à la fois la solvabilité finale et la solvabilité immédiate. 3. La Partie Emplois (actif)

Continuité de l’exploitation Comptabilité d’exercice (ou d’engagement) Indépendance des exercices (séparation) Permanence des méthodes (fixité) Prééminence de la substance sur la forme Image fidèle (bonne information) Coût historique (nominalisme) Prudence Définitions et champs d’application L’entité comptable est considérée comme autonome et distincte de la ou des personnes participants à ses capitaux propres. Ses états financiers prennent en compte uniquement l’effet de ses propres

billets de banque, d’aucuns avancèrent la thèse que la valeur de l’argent est tout simplement définie par les pouvoirs publics. L’argent fiduciaire est émis par les pouvoirs publics, et ceux-ci leur donnent une valeur déterminée. Cette thèse est le nominalisme. Elle non plus, n’est en rapport avec la réalité actuelle. Le volume monétaire se compose à plus de 60 % d’argent scriptural qui n’est pas créé par les pouvoirs publics mais par les banques privées. Dès lors, la question de la valeur de l’argent

Testament: justice-amour; post legem gratia. Père-fils. Pas d‘athéisme. Philosophia ancilla theologiae. Mystique et rationalisme. Bernard et Abélard. Platonisme et aristotélisme. Augustin et Thomas d'Aquin. La querelle des universaux: réalisme, nominalisme, conceptualisme. (La caverne de Platon; Saussure). Enseignement L‘église monopolise la scolarité: culture cléricale. Ecoles monastiques, capitales, urbaines. Université = corporation d‘étudiants et de professeurs. Bachelier, maître. Première

exécuté doit être restitué. Obligation de restitution : chaque partie doit restituer ce qu’elle a reçu lors de l’exécution du contrat, car cette réception se trouve devenue sans cause, du fait de l’annulation. * Si c’est une somme d’argent, le nominalisme impose la restitution de la somme sans valorisation (que la somme vaille plus ou moins). * Concernant les fruits / intérêts : ils doivent être restitués avec le bien sauf quand le cocontractant est de bonne foi et qu’il a consommé ses fruits

transactions en espèces, les agents préférant conserver leurs billets neufs et se débarrasser des vieux. Cette fonction renvoie de plus aux débats sur la nature et les contreparties de l'émission monétaire (currency school/banking school ; réalisme/nominalisme monétaires ; etc.). Mais plus fondamentalement, elle risque de rendre la compréhension de la politique monétaire actuelle plus difficile, puisqu'en posant le postulat que la monnaie doit conserver la valeur, on exclut de fait du champ de l'analyse

L’emprunteur qui se voit remettre des fonds, en devient propriétaire. Libre de les utiliser comme il entend, sauf quand le prêt est affecté. Il faut que je sache combien je dois rembourser et quand. Il faut rembourser d’abord le principal. Le principe du nominalisme monétaire (art. 1895) : « L'obligation qui résulte d'un prêt en argent n'est toujours que de la somme numérique énoncée au contrat. S'il y a eu augmentation ou diminution d'espèces avant l'époque du paiement, le débiteur doit rendre la somme

même chose. Pour le doyen Carbonnier, les obligations en nature sont insensibles à ses fluctuations monétaires, ce qui est certains est que la dépression monétaire dans le cadre des sommes versées en argent joue en faveur du débiteur en raison du nominalisme monétaire. Par ailleurs il faut ajouté toujours dans cette volonté de distinguer, en cas de saisi le créancier d’une somme d’argent est toujours certains de recevoir sa créance à condition que le débiteur soit solvable, mais ceci est toujours plus

toujours donner lieu à une exécution forcée soit en saisissant les comptes, ou différentes manières... D’un point de vue économique, selon le principe du nominalisme monétaire qui signifie que un euro vaut un euro dans 10 ans. Il y a toute une série de closes que l’on peut insérer dans le contrat pour résoudre le problème du nominalisme monétaire. Classification des obligations selon leur intensité L ’intensité d’une obligation peut être variable, d’abord on peut distinguer entre les obligations

astreinte (verser une somme d’argent par jour de retard). b. Distinction entre obl° pecuniere, en nature et dette de valeur. Obligation pecuniere : c l’ob° de transferer la propté d’une crtne somme d’argent. Elle se caracterise par le ppe du nominalisme monetaire « un euro vaut un euro. »c un ppe qui est devaforable au creancier en periode de deflation. (depreciation monetaire) pour eviter il inserent des clauses dans le contrat.) Obligation en nature : ne portent pas sur une somme d’argent