Noms-du-Père

Parcours de Jean Valjean NOMS LIEUX DATES Information Caractère du personnage Jean Valjean Faverolles 1795 Jean Valjean casse la vitrine d’une boulangerie et vole un pain. « Pensif sans êtretriste et de nature affectueuse […] » Jean Valjean Faverolles 1795 Jean Valjean est condamné à 5 ans de bagne pour son crime « Pensif sans être triste et de nature affectueuse […] » Jean ValjeanToulon 1799 Jean s’échappe du bagne, il est retrouvé 2 jours plus tard et est condamné à 3 ans de plus Jean est

un autre nom. Pendant longtemps seul le nom du père était transmissible, la dévolution du nom de la mère étant réservés aux cas ou seule la filiation maternelle était établie. L'usage du nom du mari par l'épouse remonte à de très anciennes coutumes, datant du 12ème ou 13ème siècle. La règle n'a jamais été explicitement consacrée dans le Code Civil, les rédacteurs considérant une telle consécration inutile dans la mesure ou la dévolution du nom du père et le port du nom du mari correspondait à une

profil général II. Aspects internes du mouvement littéraire beur : la thématique 1. Les thèmes majeurs 2. Thèmes sous jacents III. Les aspects formels du mouvement littéraire beur 1. L’identité 2. Les noms propres et les personnages 3. Les noms propres de lieux IV. Présentation générale de l’œuvre 1. Leila Houari : biographie 2. Zeida de nulle part V. Thèmes abordés 1.  La double identité  2.    La révolte contre la tradition Conclusion

LE FEMININ DES NOMS Règles générales 1 - Pour former le féminin d'un nom on ajoute un -e au masculin |un élu---> une élue |un savant---> une savante | |un savant---> une savante |un Français---> une Française | 2. - Un masculin qui termine par -e reste invariable au féminin. le déterminant qui indique le genre. |un/une camarade |un/une

l'étranger. Que se passe t'il si la déclaration n'est pas faite ? À ce moment là il faut saisir le tribunal de grande instance afin de faire constater la naissance. En vertu de l'article 56 du code civil « cette déclaration pèse en 1er lieu sur le père de l'enfant mais à défaut elle peut être réalisée par le médecin ou la sage femme et plus largement par toutes qui auraient assistés à l'accouchement et qui auraient donc connaissance de cette naissance ». si la naissance doit être connue les liens

lesquels l’offrande a été ingérée doit être rapidement notifié aux ancêtres sous peine d’avoir à subir leur courroux. Naître en tant que père Naître en tant que père la paternité est essentielle ; elle permet à un Dans cette organisation, « jeune » de quitter son statut dévalorisé et lui donne le droit à la parole et aux prises de décisions. Tant qu’il n’est pas père, est l’homme asmat; n’a le droit de Dans cette organisation, la paternité essentielle ellepas permet à un s’exprimer dans la maison rituelle

l’institution des noms de famille et d’usage. La loi et la coutume disposent-elles alors d’une place similaire dans l’institution juridique des noms de famille et d’usage ? Si pour beaucoup la coutume ne détiendrait qu’une place subsidiaire dans l’institution du nom dont la source principale demeure la loi, il semble cependant qu’elle en constitue souvent le fondement originel. La coutume et la loi disposeraient donc toutes deux d’une place capitale au sein de l’institution des noms de famille et d’usage

2003, et l’entrée en vigueur de cette loi de 2002 retouchée en 2003 a été repoussé à 2005. a) Principes Avant 2002, la dévolution du nom était imposé par la loi et était marqué par un fort patriarcat. En effet, les enfants prenaient le nom du père. La règle n’étais pas inscrite dans le code civil mais était dans la coutume. Elle semblait si évidente pour les rédacteurs du CC qu’ils n’ont pas pensé à l’écrire. On s’est demandé si cette règle était conforme à la CEDH.Arrêt de février 1994 : Burghatz

 patronymes  en  Russie   En  Russie  et  dans  la  plupart  des  pays  de  l'ex-­‐URSS,  le  patronyme  (отчество,  mot  dérivé   de   отец   qui   signifie   père),   dérivé   du   nom   du   père,   figure   obligatoirement,   en   plus   du   prénom   et   du   nom   de   famille,   sur   les   actes   de   naissance   et   les   pièces   d'identité.   Il

TD 3 Depuis l’entrée en vigueur de la loi n° 72-964 du 25 octobre 1972, permet de franciser ses nom et prénom à l'occasion de l'acquisition de la nationalité française et définit les conditions de francisation des noms et prénoms. En l’espèce la requérante, d’origine afghane, souhaitait se voir attribuer le prénom « Tatiana » et le nom, francisé, auquel sa famille avait dû renoncer « à la suite de l’occupation de l’Afghanistan par des troupes étrangères », cependant sa demande se voit rejeter sous