Nos Desirs Sont Ils Personnels

l’animal. Chaque homme est capable de s’exprimer et de réfléchir par lui-même, d’élaborer des concept et des idées. De plus, il peut différencier le juste de l’injuste ainsi que le bien du mal. Ainsi, l’homme a la capacité de surmonter son intérêt personnel et de penser à autre chose que sa propre souffrance et son propre plaisir. Pour que l’homme puisse obtenir une liberté convenable, il ne doit pas être dans un état de servitude volontaire, il doit être capable de se libérer de ses préjugés. Ici la

effet naturellement à être heureux. Chacun recherche donc à sa façon, et sans même se soucier des autres, son propre bonheur, lequel est donc original, instinctif, voire même unique. Dans ce cas, le bonheur serait bien l'affaire de chacun, un projet personnel qui ne regarde personne d'autre. Être affairé signifie en effet être en action, agir, rechercher activement son bonheur et ne pas seulement l'espérer. Cependant, en raisonnant de la sorte, on fait comme si les hommes vivaient seuls. Or la vie en

nature et pas en vue d'un but, d'une finalité (ce qui le rend infiniment libre). Dieu est tout, il est nous. Il n'est pas un Dieu créateur, il n'a pas créé le monde pour nous, il fait tout par nécessité absolue. Spinoza n'a pas l'idée d'un Dieu personnel et transcendant le monde. Tout découle de lui, notre vie se déroule selon la nécessité absolue de Dieu. Substance : Dieu est le tout, substance nature et univers. Cette substance infinie est unique, elle est tout ce qui existe, contient tout

aussi parce qu’elle permet un équilibre et un certain ordre social. Mais il faut alors se demander si l’obéissance aux lois, si les devoirs de citoyens n’empêche pas les hommes d’être heureux. Le bonheur n’est pas quelque chose de collectif, il est personnel. Ainsi, il ne réside jamais dans la même chose selon les individus. Agir au gré de ses envies et les voir toutes satisfaites correspond à un idéal de bonheur fort répandu. Mais chacun sait que l’existence des hommes ensemble n’est possible qu’à la

Faut-il chercher l’origine de la technique dans nos désirs, ou dans nos besoins ? Lorsque l’homme invene le téléphone mobil, cela est perçu comme une révolution dans le monde. En effet, d’abord attribué à une minorité, il est de nos jours surbanalisé. Si sa création a facilité et accéléré la communication entre les hommes d’affaires, elle a aussi changer nos modes de vies, jusque dans notre notion du temps. La notion d’excès aurait-elle pris part dans la notion de technique ? l’origine de la technique

serait alors suivre le cours de sa vie en omettant tout intérêt sensible et tout désir particulier. Dans un premier temps toute personne dirait qu’il semble raisonnable de renoncer à ses désirs, car si être raisonnable c’est se conduire selon une loi universelle alors tout désirs sont à chasser car ils sont personnels et propres à un seul individu. En ce cas là, le seul désir qu’il ne faut pas délaisser est celui qui suit le besoin, c’est-a-dire celui qui relève du vital . Nous savons tous que si nous

faire plaisir est perçu par Tolstoï comme l’assouvissement direct des pulsions corporels. Or se faire plaisir désigne l’acte de confectionner un plaisir pour soi en vue d’une satisfaction personnelle que ce soit une satisfaction des sens ou de l’intellect. Toutefois, si le fait de se faire plaisir n’émane que des désirs de l’homme dans le but de lui procurer une sensation agréable, l’homme ne peut ressentir du plaisir qu’à partir de lui-même et que pour lui-même. Ceci pose trois problèmes : le premier

intéressée est jugée égoïste et sournoise. Au sens philosophique du terme, un intérêt est ce qui est utile à un individu, à un groupe ou à l'humanité toute entière. Le désintérêt, ici, serait donc, lors d'une action, l'abandon de la recherche d'avantages personnels. Pour Sénèque, le bienfaiteur doit agir de manière désintéressée. La beauté de l'acte moral vient du fait que l'on attend rien en retour. Ainsi, dans les Fondements de la métaphysique des mœurs, Kant explique qu'une action morale ou vraiment altruiste

sur les désirs, pour les limiter et les orienter, est nécessaire et surtout si elle légitime. Dans un Premier temps nous nous nous demanderons si le rapport du désir et de la loi est avant tout celui de la mesure, d’une évaluation par la raison des orientations subjectives. Il s’agit donc de ramener le désir à mesure acceptable c'est-à-dire conforme à la nature afin de bien vivre. C’et le projet epicurien pour qui l’intervention rationnelle consiste en une triple distinctions entre désirs naturels

est guider vers son égoïsme personnel qui pourrait nuire a notre connaissance : imaginons un jour un ami vous dis que tel vêtement vous va bien alors qu'il ne vous vas pas, cela va susiter son intérêt vers d'autres personnes tel est donc son désir infini de puissance, capable de vous trahir dans n'importe quelle situation. Enfin nous vivons dans un monde où la satisfaction du désir est primordial. Malheureusement chacuns de nous sommes particulièrement animé par nos désirs ce qui nous pousse parfois