Notation Interne Des Entreprises

École doctorale : Sciences économique et de gestion Université Jean Moulin Lyon 3 Université de Sfax Les déterminants d’une « Bonne Gouvernance » et la performance des entreprises Françaises : Études empiriques sous la direction de Fabrice ROTH Présentée et soutenue publiquement le 13 Avril 2011 thèse de doctorat en Sciences de gestion par Amir LOUIZI Membres du jury : Alain FINET, Maître de conférences HDR, Université de Mons-Hinaut, Belgique Abdelwahed OMRI, Professeur, Université

TABLE DES MATIERES : Introduction 3 Partie 1 : La diversité ou l’autre nom de la réalité : 7 I. La diversité au cœur des discutions publiques : 7 II. Une notion valorisée : 7 III. Une Prise de conscience des dysfonctionnements : 8 IV. Les entreprises pénalisées en France mais aussi à l’Etranger : 9 V. La diversité est un enjeu économique et stratégique capital : 9 VI. Ou Commence la diversité ou s’arrête-t-elle? 9 VII. Les deux ennemis de la diversité : 9 Partie 2 : L’intérêt de la diversité

Les agences de notation financière La débâcle des subprimes en 2007-2008 qui a précipité le monde dans la crise a révélé l’influence de la notation financière sur les marchés de capitaux, tout en mettant en évidence ses limites et sa nocivité. Le procès des agences de notation avance cinq critiques majeures : – la première concerne l’opacité des méthodes de notation : quelles sont les principales variables prises en compte pour juger de la solvabilité d’un Etat, d’une collectivité locale, d’une

terme de volume) qui est un marché du court terme (moins de 2 ans au maximum) où les banques, les assureurs, les entreprises et les Etats (via les Banques Centrales et les Trésors Publics) prêtent et empruntent des fonds en fonction de leurs besoins. Les principaux supports sont les certificats de dépôts (par les banques), les Bons du Trésor, les billets de trésorerie (par les entreprises), les prêts interbancaires non gagés, les pensions livrées. Il existe 3 grands risques sur les marchés financiers

complexité des évolutions du métier bancaire. Il a notamment cherché à définir un cadre plus complet dans l’appréciation des risques bancaires réels, à rapprocher le capital réglementaire du capital économique, et à inciter au développement d'un modèle interne de gestion des risques. L’approche de Bâle II se veut donc à la fois plus réaliste et plus fine que celle de Bâle I. Enfin, Bâle III est censé adapter la régulation du système bancaire à la suite de la crise de 2008. Ces changements ont pour objectif

Agence de Notation Organisation indépendante dont le métier est d'apprécier la qualité de la situation  financière d’un émetteur et notamment son risque de solvabilité. La notation qui est  établie selon un barème propre à chaque agence peut avoir un impact direct sur les  conditions de financement de l’émetteur sur les marchés de la dette. Les principales agences de notation telles que Fitch, Moody’s, Standard & Poor ‘s sont internationales. Certaines agences se sont spécialisées dans la notation sociétale et

nécessaires à l'exercice et les actions de formations destinées à acquérir et à améliorer les capacités des collaborateurs. Des actions sont ainsi décidées pour faciliter et/ou améliorer le travail de l'évalué. L’employeur peut utiliser un système de notation qui permet d’évaluer les salariés, cependant il ne doit pas s’agir d’un système permettant de sanctionner. C’est pourquoi les critères doivent être objectifs et quantifiables, tout comme les objectifs, généralement fixés à la fin de ces entretiens

gestion du risque de crédit ; • la présentation des expériences française et européennes de cotation des entreprises par une banque centrale et leur contribution à la stabilité financière ; • les créances douteuses et leur impact sur la stabilité financière, en évoquant le cas du Japon ; • Bâle II, en tant que dispositif prudentiel plus sensible au risque de crédit, et l’incidence des notations sur les dynamiques des marchés ; • enfin, les conséquences macro-financières des transferts de risque sous

l’international et la sélection des marchés à l’international) qui fait la suite du 41M1. Il donnera lieu à un dossier et à un oral (5 pages maximum). On part d’une entreprise française réelle, petite ou grande, internationale ou pas. La problématique sera de savoir si cette entreprise à les capacités d’exporter dans un pays donné. Si cette entreprise travaille déjà à l’international, il faut choisir un pays où elle n’est pas encore. Cette activité a pour but d’enrichir le CV. Il est possible de lier le secteur

page 4 II. MON ALTERNANCE DE 3ème année a) Mes acquisitions et le Portefeuille de compétences page 5 b) L’évaluation en entreprise page 7 III. A L’ISSUE DE L ALTERNANCE a) Le rapport de fin d’études et la note de synthèse page 8 b) Le contenu du rapport