Notions Abstraites Ou Morales

La notion de Droit Introduction au Droit La notion de Droit 2 Table des matières Définitions 3 Le droit objectif....................................................................................4 Ensemble de règles régissant les relations entre les personnes..........................4 Les droits subjectifs............................................................................5 Définition................................................................................

....................................................................................... 5 Science et Philosophies : .................................................................................................... 7 Unité II : La Conscience Morale:....................................................................................................... 10 Chapitre1:Le bien et Les valeurs: ................................................................................................. 10 Chapitre

contemporaines de l’inégalité, et affiche clairement son ambition de repenser la pauvreté dans des termes non plus seulement monétaires, comme c'était le cas dans le paradigme utilitariste, mais également en termes de libertés d'être et de faire à travers les notions de "capabilités" et de "fonctionnements"2. Réaliste dans sa démonstration, Sen, d’une part, s’appuie systématiquement sur les observations empiriques tirées de ses travaux en économie et, d’autre part il s’attache à ne jamais perdre de vue les conditions

philosophique anglo-saxonne qui au XIXème siècle s’est basée sur une définition du bien-être comme «utilité» pour fonder sa doctrine. C’est le cas de la pensée utilitariste dont les deux grandes figures sont Jeremy Bentham (Introduction to the Principles of Morals, 1789) et John Stuart Mill (L’utilitarisme, 1863). Une société juste pour Mill permet la maximisation du plus grand bonheur pour le plus grand nombre. Ainsi dans cette optique la réalisation du bien-être est subordonnée à un «calcul des utilités»

de vie sous le regard de la morale (ce que reflète par exemple dans les relations hommes-femmes, le mariage). Il s’agit cependant d’un stade fragile et problématique : d’une part parce qu’il s’agit de différencier la vraie morale du simple conformisme moral social et historique. D’autre part parce que le religieux, qui permet seul d’accéder à soi même en vérité, exige la possibilité d’une « suspension téléologique » de l’éthique, d’une transgression des normes morales usuelles. Bref le stade éthique

c’est une règle universelle temporelle. Tout comme le vol ou le meurtre, et la prohibition de l’inceste. Chapitre 2 : Les caractères de la règle de droit Toutes les règles de droit sont nécessaires et indispensables. Section 1 : Caractère abstrait, général, impersonnel Lorsqu’on parle de règle de droit, on parle du principe d’organisation tel que le mariage en général. Il s’agit de règles objectives qui visent un groupe en particulier(sous groupe) comme le étudiants, salariés, mariés …

animaux sociaux? Les animaux hurlent, aboient, émettent des sons qui peuvent induire en erreur les autres qui essaient de les comprendre. Tandis que l’homme parle, manifeste sa vision politique/sociale des choses (fait preuve de réflexion abstraite)=apte à remplir des fonction. #3 En fonction de quelle définition élargie de la politique, Aristote attribue-t-il à celle-ci la première place avant toutes les autres disciplines? Et que pensez-vous de cette définition? Pour

précis et aussi concret. L’_absolu_, c’est ce dont l’existence ou la réalisation ou la valeur est indépendante de toute condition de temps, d’espace, de connaissance. Le relatif, c’est au contraire, ce qui devrait être comparé avec la moyenne des notions, des choses ou des êtres de même espèce, et ne peut être évalué en soi, d’une façon indépendante. L’absolu philosophique a très souvent désigné l’être qui, conformément au sens donné ci-dessus, a une existence indépendante de tous les autres êtres

AU-DELA DES DROITS DE L’HOMME Défendre les libertés INTRODUCTION On se demande parfois ce que l'Europe a apporté au monde, ce qui la spécifie en propre. La meilleure réponse est peut-être celle-ci : la notion d'objectivité. Tout le reste en découle : l'idée de personne et de liberté de la personne, le bien commun en tant qu'il se distingue des intérêts particuliers, la justice comme recherche de l'équité (c'est-à-dire le contraire de la vengeance), l'éthique de la science et le respect

distinction de la règle de droit et de la morale « Parmi les force sociales dont l’action produit le droit, certaines sinon toutes se servent de valeurs morales comme d’un levier, de sorte que le droit en porte ensuite la marque ». Par ces mots, Ph. Jestaz point du doigt, dans un article intitulé « Pouvoir juridique et pouvoir moral », une question fondamentale de la théorie général du droit : celle de la distinction de la règle de droit et de la morale. Par définition la règle de droit s’entend