Nous Ne Pouvons Pas Nier Que Notre Culture

en raison de ses faiblesses spécifiques. L’homme, en ce sens, ne peut être que zélateur de la sagesse. Sous l'influence socratique, le mot philosophie a eu à désigner tour à tour l'éloquence, la pratique morale, voire ce qu'on pourrait appeler la culture. Mais avec Aristote, cette définition va s'étendre à d'autres domaines et ainsi devenir hétérogène ; définition dont la validité va traverser tout le Moyen-âge jusqu'à Descartes, voire Kant. Aristote englobe, comme autant de domaines philosophiques

DISSERTATION SUJET : PENSEZ-VOUS QUE LES DIPLOMES ET L’EVALUATION NUISENT A LA CULTURE ET A LA CONNAISANCE ? INTRODUCCION Les diplômes et l’évaluation sont des méthodes actuelles que les systèmes éducatifs de la plupart des pays prennent en compte pour l’éducation de leurs futurs citoyens. Est-ce que ces méthodes actuels d’évaluation et d’encouragement sont les correctes pour éduquer la jeunesse dont a besoin la société actuelle ? Au fil du temps l’éducation est devenue un sujet de débat

et culturel ? «L'homme est-il un être d'artifices ?» Nous verrons tout d’abord la manière dont la culture nous conditionne, avant de montrer que nous sommes aussi produits d’un dépassement de ce conditionnement initial ; enfin, si nous sommes des êtres en devenir, peut-on nous enfermer dans le cadre étroit d’un déterminisme culturel ? 1/ Nous sommes des êtres artificiels, définis par notre culture, dans la mesure où notre être n’apparaît qu’au sein d’une société qui nous forme et fait de nous des

lequel nous pouvons nous appuyer est celui de la vérification. En effet, seule l’expérience sensible peut nous convaincre que ce que nous pensons, ou disons, correspond à quelque chose dans le réel. Pour un empiriste comme Hume c’est d’ailleurs, en dernière instance, le seul critère valable. Car une expérience n’est possible que si quelque chose du monde extérieur vient nous toucher effectivement. C’est dans le moment même de la présence de cette chose qui vient nous affecter que nous pouvons, intensément

Au sein d’une société, il semble évident que la culture artistique profite au rayonnement culturel. C’est qu’en effet l’art, sous toutes ses formes, est indéniablement l’un des principaux moteurs de la culture (avec la religion, le langage…). Alors il faut s’interroger sur les rapports de l’œuvre d’art avec la culture qui en effet recouvre bien des domaines. Il ne faut pas oublier que « se cultiver », c’est avant toute chose enrichir son esprit, se développer par l’instruction et l’exercice de ses

relativisme culturel. Il soutient que la beauté n’est qu’une norme issue de la société, ou d’une culture donnée et qu’il n’y a pas de beauté en dehors de la norme que chacun d’entre nous acquiert dans sa culture. En Chine, par exemple, les taches de rousseur sont considérées comme un signe de laideur. En Europe, cela nous est plus ou moins égal. La beauté doit donc s’apprendre, s’acquérir. On apprend dans une culture à trouver belle telle ou telle chose, à trouver laide telle ou telle chose. Un Espagnol

l´opinion est capable de faire émerger la vérité ? Pouvons-nous atteindre une vérité grâce à l´opinion ? De quelle vérité l´opinion est- elle capable ? Pour répondre à cette problématique, nous étudierons dans un premier temps quelles sont les formes de vérité que peut prendre l´opinion, et dans un deuxième temps, nous analyserons que, par contre, opinion et vérité sont très distinctes, et que l´opinion n´est capable d´aucune vérité. Nous pouvons tout d´abord partir du fait que l´opinion est

marqué par la valorisation de l’apparence et prendre soin de notre corps est devenu une nécessité. Ce besoin est nourri quotidiennement avec l’apparition des produits light, des interventions chirurgicales et des différentes activités physiques. Nous pouvons également citer la pharmacologie et la génétique comme fortes promesses pour un corps parfait. En plus des soins de notre corps au nom de la « santé », ce que l’on recherche aujourd’hui, avec ce culte excessif, c’est de nous encadrer aux normes

sommes-nous différent du monde sauvage? Premièrement, il serait important de se pencher sur ce que l'homme a pu observer, ce qui nous distingue vraiment en tant qu'êtres humains. La conscience du monde qui nous entoure est un point sur lequel nous pouvons nous concentrer, car les animaux n'ont pas développé cette capacité à savoir que l'on peut interagir et influencer notre milieu. Ils se contentent de vivre leur vie, sans se soucier qu'ils modifient le milieu naturel dans lequel ils vivent, alors

moyens possibles en œuvre pour atteindre cette chose tant désiré. Nous avons déjà tous été désireux d’objet, de sentiments, de reconnaissance pour avoir, souvent, une satisfaction seulement éphémère jusqu’au prochain, est-ce un manque ? Mais alors pouvons-nous nous demander si le désir revient seulement à manquer de quelque chose ? Il est vrai que le désir se traduit bien souvent par un manque de quelque chose, comme des biens, des sentiments, une reconnaissance. Une partie des philosophes affirment