Nous Ne Pouvons Pas Nier Que Notre Culture

e son  lecteur en le construisant et en le formant. Dans un second temps, nous chercherons à savoir si cette  littérature, destinée a priori aux enfants, s'adresse à un public plus vaste. Suite à la lecture de la citation de Nathalie Prince nous pouvons émettre l'hypothèse que la  littérature pour la jeunesse invente son lecteur en ce sens qu'elle le construit et le forme. L'auteur  évoque d'ailleurs cette hypothèse dans le même ouvrage. [...] la littérature de jeunesse n'apparaît pas tant comme ce qui est lu que comme ce qui 

la présence en nous, d’un libre arbitre, atteste d’une liberté intrinsèque (=interne) à notre nature humaine. A tel point que Sartre encore ira jusqu’à dire que « nous n’avons jamais été aussi libre que pendant l’occupation allemande ». Donc nous pouvons faire, et ceci parfois dans les cas les plus extrême, l’expérience impérieuse de notre liberté de penser et d’agir, surtout lorsque l’on s’institue soit même comme projet, qui suppose un choix, parfois de prise de risques et d’un acte volontaire.

I/ Certes, les chefs-d'oeuvre sont indispensables à notre culture a) Ils nous apportent des références indispensables pour comprendre notre monde, ils sont les clefs de notre culture.Certains personnages de romans sont d'ailleurs passés dans le langage courant (Bovarysme).EX :Qui ne connaît pas, ne serait-ce que de nom, Les Misérables de V.Hugo ou l'Odyssée d'Homère ? b) Par leurs qualités d'écriture, certains romans s'offrent à notre admiration comme de véritables oeuvres d'art. EX: l'écriture

luxes, la culture est celui qui est le moins réservé à l’argent, le plus propre à nier et transcender toute hiérarchie sociale. » Jacqueline de Romilly(1913), philologue française, membre de l’Académie française Dans cet énoncé de Jacqueline de Romilly, philologue française, il est question de la culture. Romilly nous affirme que la culture est un luxe accessible car, il est le moins réservé à l’argent. La philologue associe la culture et le luxe. D’après le dictionnaire, la culture est défini

D'un côté la pluralité des cultures semble faire perdre à l'homme son origine naturelle et le plonge dans le monde de la différence et du rejet des uns par les autres. D'un autre côté, la pluralité des cultures semble témoigner de la capacité fondamentale de l'homme à se construire librement sans être déterminé par une nature (...) On évoque communément le genre humain ou l’humanité comme un fait, une évidence. L’unité du genre humain serait indéniable. Pourtant, si l’on écarte les déterminismes

entendu de chacun et de chacune. Il est paradoxal, à l’époque de la mondialisation de ne retenir des autres que les profits que nous pouvons en tirer, de ne voyager que pour visiter et non rencontrer. Le déminage de ces bombes ne peut et ne doit passer que par la culture. Nous devons en finir de ces apprentissages étroits. Sans à aucun moment nier sa propre culture et son histoire, s’imprégner de celles des autres nous fera entrevoir l’étroitesse des nationalismes et nous enrichira. Comprendre

Introduction : l’homme comme être culturelIntroduction : culture humaine et humanité culturelleA) La culture comme dimension humaine La notion de culture est une notion extrêmement large, puisqu’elle recouvre tout ce qui est spécifique à l’homme. Elle rassemble donc : _ tout ce qui caractérise l’homme dans son rapport à lui-même, et qui découle notamment de sa nature consciente, qui lui permet de se poser lui-même comme objet et comme but. Cette dimension réflexive de l’homme débouche, comme nous

liberté par Cochise Brunet-Trait 10 mai 2006 Introduction Depuis une décennie environ, il ne se passe pas une journée sans que nous n’entendions parler d’économie. Elle est tellement présente dans nos vies de tous les jours que parfois nous pouvons avoir l’impression que, telle une religion, elle est au centre de nos vies. Si nous portons un peu notre attention sur la question économique, nous constatons que depuis le début des années 1980, l’idéologie néolibérale semble prendre de plus en plus

Galop de Culture Générale Bastien SAUTSujet :L’Homme et l’Animal« Tout comme l'homme, les animaux ressentent le plaisir et la douleur, le bonheur et le malheur », Charles Darwin. Dans cette citation, Charles Darwin explique que l’Homme et l’Animal ont quelques points communs, et que même s’ils leurs manque le langage, ils sont autant « humains » que les Hommes. Cette citation invite à réfléchir à la manière dont l’être humain se comporte avec les animaux. L'homme est l’être vivant appartenant

d’agir par eux-mêmes. Dans notre société, les gens vont occuper leur temps libre selon leur propre système de valeur. Si nous regardons les gens au quotidien, les personnes d’une certaine culture n’auront pas les mêmes loisirs ou n’occuperont pas leur temps libre de la même manière que les individus provenant d’une culture différente. Ce n’est donc pas la société qui dicte ce qu’on doit faire dans nos temps libre, mais bien les individus qui prennent leurs propres décisions. Bien sûr, la société va essayer