Nous Ne Pouvons Pas Nier Que Notre Culture

Nous ne pouvons pas nier que notre culture se caractérise par un haut degré de développement scientifique et technique. Tout le problème est de savoir si cette affirmation nous autorise à dire quenotre culture est supérieure aux autres. Avons-nous le droit de considérer notre culture comme supérieure sous prétexte que son niveau scientifique et technique et élevé ? Ainsi, nous en venons auproblème principal du sujet : quels sont les critères de hiérarchisations des cultures ? Une fois ces critères

Peut-on juger la culture à laquelle on appartient? En anthropologie,le mot culture désigne l'ensemble des croyances, mœurs et connaissances d'une civilisation. La culture va orienter le comportement d'une communauté, et déterminer ce qui est juste, ce que l'on doit faire, ou ne pas faire. Le jugement permet d'émettre un jugement de valeur, d'affirmer ou nier une idée. La notion de pouvoir détermine ce qui est possible, à quelles conditions et si l'on a la permission, ici, de juger notre propre

devoirs publics, sans distinction aucune. 1. La religion est un rapport entre des hommes appartenant à la même communauté fondée sur des croyances et une opinion semblable vis-à-vis de la base de la vie. De la religion finit même par se former une culture identique entre les personnes appartenant à une même communauté religieuse. Le droit, d’autre part, peut être objectif : C’est l’ensemble de règles juridiques organisant la vie en société et susceptible de sanction en cas d’infraction ; ou subjectif

L’ignorant est-il libre ? Selon Descartes « le plus bas degré de la liberté c ‘est encore de la liberté », nous pouvons l'adapter en disant que si l’ignorance est le plus bas degré dans l’échelle du savoir humain c’est encore du savoir. La difficulté est justement de savoir si un ignorant est conscient de son ignorance, à savoir s'il est responsable des ses actes et conscient de son libre choix, conscient de son état d’homme libre ou pas, car à priori selon le sens commun le sage est libre car

  La féminité est-elle un artifice de la culture ou une différenciation de nature ?     « On ne naît pas femme, on le devient » , par cette formule S de Beauvoir a exprimé l’idée moderne que la femme n’a pas de nature déterminée . Mais d’un autre côté ,à en croire J.GRAY,  il semble que les femmes aient toujours autant de difficultés à lire les cartes les cartes routières !   Ainsi on peut se demander si la féminité est un artifice de la culture ou une différenciation de nature ? La féminité

besoin est-il de nature plus sociale et politique que réellement métaphysique ? La religion ne serait-elle pas alors un prétexte (afin de préserver un ordre social ou justifier une révolution, etc.) plutôt qu’un motif sincère et légitime ? Nous pouvons donc nous demander si l’homme a besoin de croyances religieuses ? I- l’homme a besoin de croyances religieuses Tout d’abord, nous devons prendre en compte le caractère universel de la croyance chez l’homme. La croyance est une disposition

et il s’interroge sur la civilisation. Il constate qu’il y de moins en moins cultures différentes. Est-ce vrai ? Et si c’est le cas, est-ce une évolution négative ou plutôt positive ?  Selon Lévi-Strauss, l’arc-en-ciel des cultures se réduit à une seule monoculture, une évolution qu’il déteste. Il dit que la culture occidentale a avalé beaucoup de petites cultures primitives. Il croit que la diversité de cultures est une chose tout à fait essentielle pour le développement et le maintien de

feu, il a franchit un tel stade qu’on ne peut nier qu’il en ait réellement été transformé. Et si on regarde bien, chaque technique occasionne des changements, plus ou moins importants. Par contre, certains traits de la nature humaine ont toujours été présents, et semble être inaltérables: on aime, on veut être heureux, et on cherche à éviter le mal. Certaines transformations ne sont donc qu’apparentes. Il est dans sa nature d’avoir différentes cultures, et les développements techniques en font parties

existe ou encore les axiomes en maths. II-DES VÉRITÉS INCONNAISSABLES ET RECONNAISSABLES 1-les vérités infra rationnelles les données immédiates de l’expérience sensible sont indéfinissables. Nous ne pouvons pas définir ce qu’est la couleur à un aveugle qui en as jamais fait l’expérience. Nous ne pouvons pas non plus avec une "idée claire et distincte de cette union entre l’âme et le corps que décrit Descartes dans les méditations métaphysiques. Pourtant nous savons que cette union est vrai, c’est

les hommes possèdent une culture, mais chaque culture est différente. En effet le phénomène est universel, la marque même de l'espèce humaine. D’un autre côté, on ne connaît pas deux peuples ayant exactement la même culture, sinon ils ne feraient qu'un. C’est donc une illusion de croire qu’une sociologie de la culture pourrait se constituer sans qu’immédiatement la mémoire informée ne soit encombrée par l’histoire polysémique de diverses définitions que le mot culture évoque dès qu’il apparaît