Nouvelle Constitution

absolue (normes anciennes) Son règne n'est alors pas d'une tranquillité absolue 1820: un « pronunciamiento » (action menée de force par l’armée pour renverser le gouvernement en place) a lieu à Cadix qui contraint le roi à prêter serment à la constitution de Cadix de 1813 : -Attribue la souveraineté à la nation et non plus à une dynastie. Cela Met fin à une monarchie constitutionnelle 1823: Rétablissement de l'ancien régime étatique F VII n'a qu'une fille pour héritière se déclenche alors une

Sujet CONSTITUTION ET DECENTRALISATION AU CAMEROUN Corrigé proposé par : NDZINA NOAH Jean Marie Noël (Chef) NTSAMA Michel NANGA Christian KOKAYA Gildas EYEBE NANGA Cédric Prospère NKOUYEP Long Christ HONOL DJOB Florent ELOUM Joseph Salvador INTRODUCTION La mouture initiale de l'article premier de la constitution du 2 juin 1972 énonçait que la république du Cameroun est "un Etat Unitaire". Mais avec la révision constitutionnelle du 18 Janvier 19961, il est mentionné au même article précité

des jurisprudences, des mécanismes et des procédures souvent complexes d'exercice du pouvoir. D'autre part, c'est un droit des citoyens, qui affirme leurs libertés, leurs droits et leurs garanties. Le droit constitutionnel s'inscrit dans les constitutions, déclarations, préambules et autres normes s'appliquant au pouvoir des gouvernants et aux droits et libertés des citoyens. Il s'inscrit également et de plus en plus dans la jurisprudence des Cours constitutionnelles. Il s'inscrit enfin dans le

L’évolution de la conception des droits et libertés à travers les préambules des constitutions révolutionnaires : Citations : « Citoyens, vouliez-vous une révolution sans révolution ? » Maximilien de Robespierre. « Prenons-y garde, nous aurons peut-être un jour à nous reprocher un peu trop d’indulgence pour les philosophes et pour leurs opinions… La philosophie trop audacieuse du siècle a une arrière-pensée… » Louis XVI. « Sire, si l’on voit où les bonnes têtes ont mené la France, il ne

Il faut s’attarder ici sur cette distinction qui sera au cœur de la gouvernance de nos jours. Une gouvernance est légale quand l’exercice du pouvoir est régi par un ensemble de règles et de principes issus de la tradition ou consignés dans une Constitution, des lois écrites et des jurisprudences. La légitimité de la gouvernance est une notion beaucoup plus subjective. Elle renvoie au sentiment de la population que le pouvoir politique et administratif est exercé par les « bonnes » personnes, selon

rétroactif ». De cet énoncé découle deux postulats : celui de l’effet immédiat de la loi nouvelle, et celui du caractère non-rétroactif de la loi. La rétroactivité se définit comme étant le caractère d’un acte ou d’un fait produisant ses effets dans le passé, à une date antérieure à son accomplissement ou à sa survenance. Par conséquent le principe de rétroactivité de la loi fait état lorsqu’une loi nouvelle régit la validité et les effets passés des situations juridiques nées avant sa promulgation

constituant est celui qui crée ou révise la constitution. Ce pouvoir est multiple et prend différentes formes selon qu’il s’agisse d’un pays à constitution souple ou rigide ou qu’il s’agisse du pouvoir constituant originaire ou dérivé. En effet, on peut observer deux types de pouvoirs constituant. D’une part le pouvoir constituant originaire qui est celui qui s’exerce d’une manière inconditionnée pour doter d’une constitution un Etat qui n’en a pas (Nouvel Etat) ou n’en a plus (par exemple après une

donc de les présenter dans leur hiérarchie. I. La hiérarchie des normes juridiques Constitution | | Traités internationaux | | Droit communautaire | | Loi | | Ordonnance | | Décret | | Décret d’application | | Arrêté | | Convention collective | | Doctrine | | Coutume | II. Les différentes sources du droit 1. Constitution La constitution actuelle date de 1958. Ensemble de règles qui organise la répartition entre pouvoir exécutif

agitateurs, et les remplacer par ces amis. Tout ceci pour renouveler le parlement et assurer une majorité fiable. Est-il possible de faire emprisonner les parlementaires ? Remplacer ces derniers par ses amis est il légal ? Selon l’article 26 de la constitution, les parlementaires bénéficient d’une immunité parlementaire qui leur protège dans le cadre de leurs fonctions. L’irresponsabilité protège le parlementaire de toute mise en cause pour des actions accomplies dans le cadre de ses fonctions : discours

ans depuis la réforme de 2000 de Jacques Chirac. Ce renforcement de l’organe exécutif rompt essentiellement avec les IIIème et IVème République et donc nécessairement à l’instabilité ministérielle apparues dans celles-ci. On peut penser que la Constitution en conférant des pouvoirs propres et partagés au Président a fait passer la Vème République à une logique parlementaire où le Président est un réel arbitre à un régime semi présidentiel où le Président est un véritable capitaine. C’est pourquoi