Nouvelle économie Classique

plein emploi à chaque instant. Le taux de croissance des salaires est donc bien fonction du chômage. CHAPITRE I : LA NOUVELLE ECONOMIE CLASSIQUE Introduction : Développée du milieu des 1970s aux USA sous l’influence de plusieurs auteurs, Lucas, Barro, Sargent, Wallace. Objet : expliquer les fluctuations économiques tout en conservant deux principes hérités des classiques : _les agents économiques sont rationnels. _les marchés s’équilibrent toujours, par ajustement permanent des prix à l’offre

* Economie Chapitre 6 * Les fondements des échanges internationaux. ------------------------------------------------- ------------------------------------------------- Les échanges internationaux sont un ensemble de transactions transfrontières qui peuvent se produire par an entre les agents résidents d'une nation étudiée et ceux du reste du monde. Ils regroupent les flux de marchandises, de services, de travailleurs

Les Grands courants de la pensée économique I. Les précurseurs de l’économie A. L’antiquité L’économie : la science de l’accumulation des richesses. ▪ PLATON La République : économie comme la gestion des biens et des personnes de la façon la plus juste possible dans la cité idéale. Idée d’une société divisée en trois classes. Droit de propriété réservé à la classe inférieure des « producteurs ». Les autres classent assurent la sauvegarde des mœurs, elles sont écartées de toute activité

PEC I. LE MONDE La pensée économique au fil des âges. Section 1 : Les démarches pré classiques Mercantilisme (XV-XVIe) : attacher une force importante à la monnaie -> Population = base de la richesse donc pour accroître la richesse il faut encourager la natalité. -> Protectionnisme rigoureux : il faut cumuler la richesse -> Pré-quantativisme : niveau général des prix est lié à la quantité générale de monnaie => Accumulation de richesses Physiocrate : critique école Mercantiliste, assez libérale

phénomène d’échange sur un marché 5 Approche historique des théories économiques 6 Antiquité 6 Moyen-Age 6 Epoque Moderne 7 Epoque Contemporaine 7 Approche des théories économiques 8 1. Les théories classiques (1770-1830) 8 A) La doctrine libérale des classiques 9 B) L’analyse classique 11 1. Division du travail 11 2. Valeurs et prix 11 3. Salaires, profits et rente 12 4. Eléments de richesse d’une nation 13 5. Théorie de l'état stationnaire 13 6. Loi des débouchés 13 7. Neutralité

(cf réunion à Canne du 3 et 4 Novembre). - Vers un nouveau SMI (système monétaire international) système multipolaire ? (euro, dollars, yuan) - Certes, nouvelles règles de régulation… ex : Les banques doivent avoir un minimum de fonds propre (7%)… - Mais « banques de l’ombre » (shadow banking) qui échappent aux nouvelles règles. (ex : paradis fiscaux) BCE : décision surprise le 3 Novembre. - Nouveau président : Mario raghi (1er novembre) - Baisse du taux directeur de

siècle 1. La révolution industrielle : le rôle de la révolution agricole, de la révolution démographique et des innovations ; la naissance de l’entreprise capitaliste et les phénomènes de concentration. 2. Naissance de l’économie politique : les Classiques et l’économie marxiste ; le courant néoclassique. III - Croissance et développement du capitalisme au XXème siècle 1. Les croissances : principaux faits et typologie des facteurs (travail, capital, progrès technique). 2. Les théories de la

La monnaie intermédiaire des échanges : Fonction que rempli la monnaie lorsqu’elle serve au règlement d’un achat ou l’extinction d’unedette. Ainsi, contrairement au troc, où l’échange se fait directement marchandise contremarchandise, dans une économie monétaire, la monnaie s’intercale entre les deux, permettant dedécaler dans le temps l’acte de vente de l’acte d’achat.De ce fait, la monnaie a un pouvoir libératoire illimité : cela est possible, à condition que lecréancier donne son accord de régler

échanges. On se questionne sur l'origine du prix et de la valeur, à quel niveau cela se détermine (=> comment on valorise les choses), la nature de la monnaie, et enfin sur le prêt avec intérêt. Philosophes grecs gèrent leurs cités, on est sur une économie domestique. Au Moyen Age, on a une morale chrétienne avec intérêt collectif, on observe un enrichissement du clergé au niveau local => CITE IDEALE, c'est le rôle et la circulation de la monnaie. Plus tard, avec le courant scolastique interviendra

dominante des économies et des manières de les gérer dans les trente années d'après-guerre, avant d'être remis en question et battu en brèche par les divers avatars du néolibéralisme: monétarisme, économie de l'offre, nouvelle macroéconomie classique. Comme l'indique cette dernière appellation, il s'agit de revenir à l'approche théorique que Keynes avait critiquée et combattue de son temps et qu'il avait baptisée "économie classique". L'efficacité illusoire de la main invisible Cette économie classique