Novit

trois vers qui terminent la tirade font fr´mir d’admiration, car ce n’est plus de e l’Italien, non mortale sonans ; c’est le mens divinior ; c’est l’Enfer dans toute sa majest´ : e Cosi vid’io la settima zavorra Mutar e trasmutare ; e qui mi scusi La novit`, se fior la lingua abborra. a On croit d’abord que l’imagination du po`te, lass´e des supplices de Vannifucci et d’Angel, e e va se reposer ; quand tout a coup elle se rel`ve et s’engage dans la double m´tamorphose du ` e e serpent en homme et de l’homme

trouve là encore en plein dogmatisme, alors que l'on s'est résolu à rester pragmatique. Les assertions ci-dessus ne peuvent aucunement ruiner les énonciations peut-être, un peu abruptes, du Conseiller DENIS. D'un côté, il est évident que la règle Jura novit Curia couvre le droit français, et non pas le droit étranger. De l'autre, il est encore certain qu'avec le mécanisme du renvoi, la règle étrangère n'entre pas en jeu par l'opération du Saint-Esprit, mais simplement parce qu'elle a été désignée par

portée à l’encontre de son pouvoir ; papauté victorieuse de son long conflit avec l’Empire élabore une doctrine selon laquelle le pape, maître du monde au spirituel, peut de ce fait intervenir au temporel, tout au moins ds certains cas : décrétale Novit d’Innocent III (1198-1216). Donne naissance à une véritable poussée théocratique. Équilibre délicat compromis par les nouvelles prétentions du pape qui, au nom de la morale et de la religion, affirme qu’il peut intervenir ds les royaumes ratione

sont de Dieu en parle. Elle dit au contraire que Dieu est un Dieu caché et que depuis la corruption de la nature il les a laissés dans un aveuglement dont ils ne peuvent sortir que par J.-C., hors duquel toute communication avec Dieu est ôtée. Nemo novit patrem nisi filius et cuifilius voluit revelare. C'est ce que l'Écriture nous marque quand elle dit en tant d'endroits que ceux qui cherchent Dieu le trouvent. Ce n'est point de cette lumière qu'on parle comme le jour en plein midi. On ne dit point

sont de Dieu en parle. Elle dit au contraire que Dieu est un Dieu caché et que depuis la corruption de la nature il les a laissés dans un aveuglement dont ils ne peuvent sortir que par J.-C., hors duquel toute communication avec Dieu est ôtée. Nemo novit patrem nisi filius et cuifilius voluit revelare. C'est ce que l'Écriture nous marque quand elle dit en tant d'endroits que ceux qui cherchent Dieu le trouvent. Ce n'est point de cette lumière qu'on parle comme le jour en plein midi. On ne dit point

sont de Dieu en parle. Elle dit au contraire que Dieu est un Dieu caché et que depuis la corruption de la nature il les a laissés dans un aveuglement dont ils ne peuvent sortir que par J.-C., hors duquel toute communication avec Dieu est ôtée. Nemo novit patrem nisi filius et cuifilius voluit revelare. C'est ce que l'Écriture nous marque quand elle dit en tant d'endroits que ceux qui cherchent Dieu le trouvent. Ce n'est point de cette lumière qu'on parle comme le jour en plein midi. On ne dit point

sont de Dieu en parle. Elle dit au contraire que Dieu est un Dieu caché et que depuis la corruption de la nature il les a laissés dans un aveuglement dont ils ne peuvent sortir que par J.-C., hors duquel toute communication avec Dieu est ôtée. Nemo novit patrem nisi filius et cuifilius voluit revelare. C'est ce que l'Écriture nous marque quand elle dit en tant d'endroits que ceux qui cherchent Dieu le trouvent. Ce n'est point de cette lumière qu'on parle comme le jour en plein midi. On ne dit point

droit des preuves. Les questions de droit n’ont pas à être prouvées devant la cour dont on présuppose qu’elle « connaît le droit ». Principe de droit toujours actuel que ce soit dans droit continental ou même dans les systèmes de Common Law : ius novit curia. Surtout, dans la tradition antique romaine, le rôle du juge est primordial, même s’il ne crée pas le droit. En effet, à l’origine, à Rome, le droit se séparait entre le Fas, règle de droit inspirée et garantie par les dieux, conforme à l’ordre

libertine » : « Nourrice, je me plais en leurs libres amours187. » Alors que chez Sénèque, Phèdre, impuissante, prend conscience de sa déchéance morale : Quo tendis, anime ? Quid furens saltus amas ? Fatale miserae matris agnosco malum : Peccare noster novit in silvis amor. Genetrix, tui me miseret : infando malo Correpta pecoris efferumsaevi ducem Audax amasti ; toruus impatiens iugi Adulter ille, ductor indomiti gregis(…)188 Carla Federici, Réalisme et dramaturgie. Etude de quatre écrivains Garnier,

liturgiques — ANDRIEU (Michel), Les ordines romani du haut moyen âge : I, Les manuscrits. Louvain, 1931 (Spicilegium sacrum lovaniense, 11). — FRANZ (Ad.), Die kirchlichen Benediktionen des Mittelalters, 2 vol. Fribourg en B., 1909. — Benedictio ensis noviter succincti, Pontifical mayençais : ms. et éd. cf. Andrieu, p. 178 et grafico, t. II, n° 73. table mot ensis, fac-similé MONACI, Archivio paleo — Bénédiction de l’ épée : Pontifical de Besançon : cf. Andrieu, p. 445. Éd : Martène, De antiquis eccl.