Noyade

Le terrain privilégié de Wegee, c'est New York, et tout particulièrement sa vie nocturne, dans ses lieux emblématiques (cabaret, restaurant, refuge de nuit, Metropolitan Opera…), et au fil de ses incidents sordides ou tragiques (crimes, accidents, noyades, incendies…). L'art du photographe consiste, selon sa propre expression, à « montrer combien, dans une ville de dix millions d’habitants, les gens vivent en complète solitude ». Weegee ne croît qu’en l’instantané et à l’enregistrement des scènes

donc nécessaire de manger, dormir, boire, comme des personnes normales. Il n’échappe pas non plus à la fatalité de la mort. Certains poètes, déprimer nous font savoir leur envi de suicide, comme Henri Michaux très proches du suicide, son choix est la noyade, « pour me noyer » mais d’autres nous passent un message signifiant leur désir de leur mort, ce qui peut arriver à tout le monde. L’opposition entre la vie et la mort, la jeunesse et la mort se remarque facilement dans les poèmes, comme dans les

frère aîné. A partir de ce moment, Brasse-Bouillon devient le souffre douleur de sa mère, au point où les enfants essaient de se venger par tous les moyens. Ils iront même jusqu’à tenter de tuer leur mère à deux reprises : par empoisonnement et par noyade. Folcoche décide alors de se venger sur Jean qui est le meneur, celui-ci fugue à Paris chez ses grands-parents maternels mais son père vient le récupérer et les brimades recommencent. Malheureusement, le rapport de force entre Folcoche et Brasse-Bouillon

Folcoche aime, ils détestent par opposition. Cette lutte va très loin, les enfants veulent tuer leur mère, ils feront deux tentatives d'assassinats, une fois en tentant d'empoisonner leur mère, l'autre en la laissant se noyer faisant croire à une noyade accidentelle. Mais ces deux tentatives échoueront, folle de rage Folcoche va punir Brasse-Bouillon qui tenait la barre de la barque. Cependant, celui-ci refusant la punition qu'il trouve injuste va s'enfermer dans sa chambre et s'enfuit durant la

Extrait Page 17 (…) Au bout du petit matin, cette ville plate _ étalée… Elle rampe sur les mains sans jamais aucune envie de vriller le ciel d’une stature de protestation. Les dos des maisons ont peur du ciel truffé de feu, leurs pieds des noyades du sol, elles ont opté de se poser superficielles entre les surprises et les perfidies. Et pourtant elle avance la ville. Même qu’elle paît tous les jours plus outre sa marée de corridors carrelés de persiennes pudibondes, de cours gluantes, de

souvenir *Souffrance et volupté mêlés : "langoureux vertige" = volupté (langoureux) et malaise (vertige). Emotion toujours liées à la tristesse : musique du violon, contemplation du ciel ... Images et comparaison : Deux métaphores : noyade &sang. Noyade = dissolution du soleil couchant comme un anéantissement. Sang = analogie entre couleur rouge et couleur soleil couchant. Mais aussi symbole de vie, ici = mort. 3 comparants similaires "encensoir"; "ostensoir"; "reposoir" = même terminaison

* l'écorchement * la fusillade par un peloton d'exécution, destinée souvent aux militaires (sédition, désertion, rébellion...) * le gazage * l'huile bouillante (faux-monnayeur) * la noyade, utilisée pour des exécutions de masse comme pendant la Révolution française(voir : Noyades de Nantes). ------------------------------------------------- Inhalation d'azote : méthode proposée mais jamais utilisée[modifier] Certains spécialistes ont proposé une méthode d'exécution qui selon

moment des vingt-quatre heures. Tout au long du récit se développent deux passions, tout d’abord celle du jeu puis celle de l’amour. Des ambiguïtés naissent entre les deux personnages, tantôt Mrs C. est la mère (quand elle sauve le jeune homme de la noyade), tantôt l’amante/une femme/l’amie (lors de la promenade en « voiture »). Ses sentiments sont confus, et elle est elle-même perdue. En ce qui concerne la passion du jeu, le jeune homme est près de se donner la mort après avoir tout perdu au casino

Rouen, où il se montre bon élève, s’adonnant à la poésie et participant beaucoup aux pièces de théâtre. À cette époque, il côtoie Louis Bouilhet et surtout Gustave Flaubert, dont il devient le disciple. En 1868 en vacances à Étretat, il sauve de la noyade le poète anglais décadent Charles Algernon Swinburne qui l'invite à dîner en remerciement pour son courage. Il voit à cette occasion une main coupée, thème qui sera utilisé plus tard… Bachelier des lettres en 1869, il part étudier le droit à Paris

Rare moment d'idéal. b. »automne des idées » préfiguration morbide de l'hiver « ravage » précédé d'un intensif : « un tel ». ravage énorme. Ne peut être réparé : « trous grands comme des tombeaux » après destruction par l'orage, destruction par noyade. > expression du spleen. Le poème évoque la raison du mal de façon net : le Temps. c. changement d'énonciation à la 4ème strophe. Expression directe : « O douleur » > stade supérieure de la dramatisation. Le moi poétique crie, s'exclame > présence