Néo Classique Rationalité

l’économie normative. 19. Même chose mais avec micro économie est macro économie. 20. Le développement du concept de rationalité tend il à améliorer les …. ? 21. Qu’entend- on par loi économique ? Exemples 22. Implication de la loi des débouchés de Jean Baptiste Say. 23. La tradition libérale : continuité et rupture entre les classiques et les néo classiques. 24. En quoi consiste la révolution keynésienne ? Questions sur le producteur 25. Par quel processus arrive-t-on

GESTION D’ENTREPRISE CHAPITRE 1 : L’APPROCHE ECONOMIQUE DE L’ENTREPRISE I- L’entreprise chez les classiques A) Adam Smith * Productivité : intensité de la production * Plus on augmente la productivité, plus on parvient à produire. * Pour Smith, la meilleure organisation pour augmenter la productivité est la division technique du travail (vu à travers l’exemple de la manufacture d’épingles). B) Jean Baptiste Say * Il fut le premier prof d’économie en France

d'emblée au niveau macro-économique et considèrent que la « théorie classique n'est applicable qu'au cas du plein emploi[2] ». Or, écrivant durant la période de crise de l'entre-deux guerres, ce qui l'intéresse, c'est ce qui se passe en période de sous-emploi. De cela découlent deux points clés : l'offre ne crée pas comme chez Jean-Baptiste Say sa propre demande mais dépend de la demande effective ; à la différence des classiques la monnaie n'est pas un « voile » mais influe sur l'économie réelle

bases : Avant d’entamer l’étude de la décision d’un point de vue organisationnel, il convient tout d’abord, d’énoncer certains concepts de base, à savoir : La décision. Les typologies de décision. Le processus. Le processus de décision. La rationalité. La Décision rationnelle. L’homme rationnel. Le processus de décision rationnel. 1. Définition de la décision : Selon le Dictionnaire Larousse : La décision est «  l’acte par lequel quelqu’un décide ou se décide ». Ainsi le verbe décider

établit entre les phénomènes des rapport universels et nécessaires autorisant la prévision de résultat (effet) dont on est capable de maîtriser expérimentalement ou de dégager par l’observation (la causse) La science marche sur deux pieds : la rationalité et les effets 1. La méthode scientifique : Il n’est existe qu’une méthode scientifique basée sur l’hypothèse et vérification empirique. Tout résultat scientifique se définit dans le cadre de l’hypothèse énoncée. L’analyse scientifique

constitutifs des agrégats 10 8-Trois grands agrégats économiques 12 1-Le produit intérieur brut (PIB) 12 2-Le produit national brut (PNB) 12 3-Le revenu national (RN) 12 1-L'hypothèse de concurrence pure et parfaite : 15 9-L'hypothèse de rationalité parfaite: 15 10-L'existence de marché parfait : 15 11-Le marché du travail 15 1-L'offre de travail 16 12-Imperfections sur le marché du travail 16 13-Le dualisme du marché du travail 17 14-Le salaire minimum 17 15-Déterminant de la demande

quasi mythique avec des caractéristiques précises. Ses particularités contribuent au dynamisme et à la réussite de l’innovation. Sa réussite permet de réaliser des profits supérieurs à la moyenne. Il obéit à une logique de rationalité en finalité mais aussi à une logique de rationalité en valeurs puisqu’il dispose d’une conviction personnelle. Néanmoins, le profit reste important mais ce profit sera d’autant plus important que l’entrepreneur sera capable d’éliminer toutes formes de concurrences directes

méthodologiques, on doit se demander ce qu’ils nous disent, est ce que ça nous permet de plus ou de moins critiquer. L’hypothèse de rationalité, Robbins et les autrichiens va nous dire que c’est vrai à priori, donc on se demandera si c’est une proposition synthétique ou quelque chose comme ça. Hutchinson va dire que si c’est une tautologie, l’hypothèse de rationalité, c’est alors vide de contenu empirique (aucunes informations). Machlup dit que c’est une règle de procédure, ce n’est pas une hypothèse

tous les humains présents et futurs. En conséquence, trois questions seront examinées ici : 1) les fondements de l’approche néo-classique de l’environnement et leurs limites, 2) l’esquisse d’une autre gestion collective, 3) la conception du développement. 1 . CMED, Rapport Brundtland, Notre avenir à tous, Montréal, Fleuve, 1987, p. 51. 2 1. L’approche néo-classique de la gestion de l’environnement La conception dominante de la discipline appelée l’économie de l’environnement est fondée

qu’en regardant ce qui se passe au niveau de la population entière. Le niveau d’analyse n’est pas celui de l’organisation, mais celui de la population d’organisations similaires. On ne parle plus de rationalité de l’organisation, mais plutôt de rationalité localisée dans son environnement : rationalité de la sélection naturelle (Hannan et Freeman, 1977). Dans cette perspective, l’évolution des organisations est définie comme un processus continu de variation, de sélection et de rétention de formes