Néo Classique Rationalité

1 La théorie de l’utilité Cette approche a été développée par des économistes néo-classique : Stanley Jevons (1835-1882, école de Cambridge), Karl Menger (1840-1921, école de Vienne) et Léon Walras (1834-1914, école de Lausanne) Les individus choisissent une combinaison de biens le long de leur contrainte budgétaire après avoir évalué les avantages qu’ils peuvent obtenir de la consommation (Hypothèse de rationalité des agents économiques) On appelle utilité la satisfaction que procure à un individu

dans An Economic Theory of Democracy 1957. L'électeur qu'il décrit est le duplicata de l’Homo Œconomicus des économistes néo-classiques à un point tel d’ailleurs que certains évoqueront à ce propos le modèle de l’Homo Politicus. Au lieu de distinguer des électorats, cette perspective conduit à étudier un électeur, acteur politique rationnel. V=pU-C+R→diff désintérêt pol → rationalité Olson “paradoxe de l’action collective” →irrationnel de voter critiques: Alessandro PIZZORNO peu rationnel de voter, paradoxe

(GB) et Menger (Autriche) au début des années 1870. Ces deux économistes sont également à la base d’un nouveau courant idéologique, les néo-classiques. Nous allons tout d’abord observer les disparités entre la pensée classique et néo-classique. Continuité avec les classiques : Les classiques, dont Smith et Ricardo font partie, partagent avec les néo-classiques une même pensée politique libéral. Le marché constitue un bon mode de coordination entre les offreurs et les demandeurs, l’intérêt individuel

emploi et chômage Chapitre 4 : l’Etat et politiques Chapitre 5 : la mondialisation Chapitre introductif Quelques notions fondamentales I. Principaux acteurs de l’économie et leurs fonctionnements II. Grands courants de la macroéconomie : Classiques & néoclassiques versus Keynésiens I. Principaux acteurs de l’économie et leurs fonctionnements : En comptabilité nationale, on distingue plusieurs secteurs de l’économie : APU (Administration Publique) SF (Société Financière) Ménages SNF

économiques dans l’histoire du temps présent. DEUX SIÈCLES DE COMPARATISME Deux grandes phases peuvent être distinguées dans l’analyse comparative des grands systèmes économiques (Eckstein, 1970 ; Pryor, 1985). Au XIXe siècle, l’économie politique classique, suivie par l’école historique allemande, formule différents schémas de succession des grandes formes économiques, des stades primitifs jusqu’à l’économie moderne, dont il s’agit de comprendre la spécificité. Ces théories des stades progressifs sont

texte littéraire -, on est confronté à une argumentation rationnelle, qui deviendra classique chez Sade. Son moribond, un libertin, convainc le prêtre de l’inanité de Dieu. Avec lui, la rationalité remporte la victoire sur la croyance. Sade argumente en se référant à la nature - et celle-ci procède comme la religion d’un fondement métaphysique. 6. Ce dialogue n’est pas un dialogue socratique, il suit le modèle classique du malentendu. Son argumentation est dans la tradition matérialiste. Le prêtre y

par les risques puis en innovant, et la réussite lorsqu'elle est au RDV. Pour Schumpeter, le profit n'est ni un gain en capital ni une rente. Il souligne que l'entrepreneur n'est pas uniquement mû par l'appât du gain (rationalité en finalité). Il poursuit aussi une notion de rationalité en valeur, sorte de conviction quand au rôle qu'il a à jouer : en effet, le ralentissement de son succès peut ternir son image au sein de la société. Le profit n'est pas la seule motivation de l'entrepreneur donc, il

qu'on ne va penser le monde qu'en fonction du futur est une manière d'accentuer la raison. La rationalité La rationalité est une des caractéristiques de l'animal humain, mais à certains moments de son histoire, cette rationalité prend chez l'homme, une orientation spécifique. Je me réfère ici aux philosophes de l'Ecole de Francfort qui ont bien montré, comment, au XIXème siècle, la rationalité devenait rationalisme, c’est une raison qui s'oriente en fonction d'un but. Selon cette perspective

de la firme, telle qu’elle est aujourd’hui formulée s’est reconstruite, à partir des années soixante-dix, sur la base de la redécouverte d’un article de Ronald Coase de 1937 qui n’avait connu jusque là que peu d’audience. Dans cet article devenu classique, Coase soulève la question de “ la nature de la firme ” : qu’est-ce qu’une firme, et pourquoi les firmes existent-elles ? L’auteur propose un type de réponse qui reste, dans sa forme générale couramment admise : la firme constitue un mode de coordination

scientifique et de déduire les lois les plus fondamentales du fonctionnement de l’économie. Dans cet objectif, ils tentèrent de construire un modèle théorique simplifié de l’échange marchand. Ce modèle fondé sur quelques hypothèses de bases (hypothèse de rationalité des agents: l’agent maximise sa satisfaction avec une minimisation des coûts) met en présence des consommateurs et des producteurs qui sont placés dans des conditions particulières d’échange que l’on appelle des conditions de concurrence parfaite