Néo Classique Rationalité

Les néo-keynésiens[modifier] Article détaillé : Néo-keynésien. [pic] [pic] Paul Samuelson Le courant néo-keynésien (appelé aussi « équilibres à prix fixes » ou « école du déséquilibre ») est une synthèse des théories keynésiennes et néoclassiques. Les économistes de cette école s'intéressent aux fondements microéconomiques de la macroéconomie. Sur certains points, tel la rationalité, les néokeynésiens sont plus proches des conceptions de Friedman que de celles de Keynes. Mais ils conservent

l’économie industrielle est A. T. Hadley qui a publié en 1885 un ouvrage consacré au secteur des chemins de fer. J. B. Clark dans son ouvrage « Philosophie of wealth » publié en 1885, il critique sévèrement les hypothèses comportementales néo-classiques assimilant les agents à des individus optimisateurs et déclare que le fonctionnement de la concurrence n’est plus le « grand régulateur des premiers temps » qui s’est transformé en monopole. R. Ely dès 1888 se fit l’avocat d’une réglementation

« Les » sciences économiques • Ecole de pensé : Nouveaux classiques, nouveaux Keynésiens, monétaristes ou post-Keynésiens • « Chapelles » • Orthodoxies/ Hétérodoxies (dominant, dominé) • Conflit sur les méthodes, les idées Science économie partagé en deux grandes branches : la micro économie et la macro économie Micro économie - crée dans les années 1870 - Jevons, Menger et Walras - Ecole de penser Néo classiques Terme clef - Comportement - Individu - Choix

à la baisse du taux de profit à long terme. * Marx et les Classiques Rapport ambivalent de Marx aux Classiques. C’est un classique car il reprend les 3 catégories fondamentales, l’objet, comprendre la formation d’un surplus, l’hypothèse de base, échanges réglés par condition de production et conclu que croissance fonction d’un conflit de répartition. Cependant, approche monétaire et non pas réelle donc différent des Classiques. Sa théorie est inachevée sur le plan de la monnaie. Le capital

économique dans un pays en ceci qu’il est la résultante des actions politiques. Ensuite, les décisions politiques agissent sur la politique. Alter-mondialisme : autre mondialisation. BIBLIOGRAPHIE Campagnolo, Gilles : Critique de l’économie politique classique, PUF, Paris, 2004 INTRODUCTION L’économie politique est une subdivision de la science politique relevant de l’interdisciplinarité et vise dans une double dynamique à étudier les implications économiques des idéologies politiques. Ainsi qu’en retour

- Les acteurs de l’espace d’une action publique et de la communauté politique - Les groupes d’intérêt - Le modèle de « coalitions de cause » - Les communautés épistémiques - Les entrepreneurs politiques - Modèle étatiste, modèle pluraliste, modèle néo-corporatiste. Eléments de la démarche mis en exergue : - L’action publique comme jeu d’acteur : mise en cartographie des acteurs et de leurs relations >< L’action publique aux mains d’une petite élite - Les stratégies des groupes d’intérêt n’expliquent

système de prix, remplacé par un mécanisme interne de coordination. La main invisible des prix cède la place à celle, bien visible, des propriétaires et dirigeants. Les lois des sciences physiques, avec le calcul marginaliste de l’optimum des néo-classiques peuvent dès lors céder la place aux stratégies des êtres humains et à leur observation par les sciences sociales. La qualité des dirigeants, des consultants et des professeurs de management ne sont plus des variables négligeables. North (1981

stabilité des prix elle crée l’inflation, et donc la parenthèse de l’Etat providence va se fermer totalement, et on va ouvrir une autre consacrée principalement aux néo-libéraux qui vont remettre en cause l’approche antérieur, on se focalise sur l’analyse monétaristes parce qui sont parmi les fondateurs principale du courant néo-libérale, donc quelle sont les bases sur lesquelles vont s’installer les monétaristes en rejetant ou en développant l’approche keynésienne ? D’abord pour connaitre la

physiocrates – l’économie politique classique – Karl Marx – les néo-classiques – la pensée keynésienne – les développements récents. La seconde partie présente l’analyse microéconomique : comportement du consommateur et demande – comportement du producteur et offre – le marché ou la rencontre de l’offre et de la demande. La partie 3 est consacrée à l’analyse macroéconomique : comptabilité nationale et principaux agrégats (PIB…) – Le modèle macroéconomie néo-classique et l’efficacité des marchés – Le

champs de la Macro économie Le champs de la macro économie et lié au problème de l’équilibre général qui a été pour la 1 ère foi par Walras(1834-1910). Il fut le premier a souligner la mutuelle dépendance des phénomène économique dans une optique néo classique, il conçoit dans un système simple d’équation et variable et des marché qui sont interdépendant , il cherche a établir qu’existe un équilibre d’interdépendance de l’ensemble des marché et que si l’un d’entre eux et déséquilibré par un choc exogène