Obligation assimilable du Trésor

banques ont trouvé un autre secteur d’investissement qui s’appelle les obligations. Une obligation est un titre de créance qui représente une part d’un emprunt, émis soit par une entreprise privée ou par un état pour emprunter de l’argent. D’ailleurs il ne faut pas confondre action et obligation. Une action est une part du capital alors qu’une obligation représente une part d’un emprunt notamment public. Or ces obligations émises par les Etats ne sont plus investissements et les Etats ne remboursant

: il va être composé de M2 + des titres négociables sur les marchés financiers détenus par les agents non financiers et émis par tout type d’agent. On va également inclure des titres de créances négociables inférieurs à deux ans, ainsi que des obligations. Conclusion : la valeur de la monnaie (interne et externe) Quand on parle de valeur interne de la monnaie on parle de sa capacité d’achat, de son pouvoir d’achat en général. La valeur externe de la monnaie c’est le maintient d’une parité convenable

vendeur; – il n’a pas pour but de réduire le coût de sa matière première mais de maximiser un prix de vente; – il ne travaille pas sur les marchés de capitaux mais sur les marchés des titres financiers, que ceux-ci soient des crédits, des prêts, des obligations, des actions… Comprenons-nous bien. Il ne s’agit là que d’une lecture inverse d’un même marché : – l’offre de titres financiers correspond à la demande de capitaux; – la demande de titres financiers correspond à l’offre de capitaux; – le prix, ajustement

secteur d’investissement : les obligations. Une obligation est un titre de créance qui repesent une part d’un emprunt, cela peut-être émis par une entreprise privé mais en ppe ce l’Etat. Ces obligations émis par les Etats (construction d’un hôpital), le gouv F va faire une emprunte pour sur les obligations. Actuellement il y a des États et notamment la Grèce que risquent de faire faillit (de ne pas rembourser) sa dette. Les banques sont achetés trop trop des obligations, s’il y a des défaillit, la banque

à parité avec la Banque Centrale, lorsque le transfert est assuré par cette dernière. Article 13 Les transactions portant sur les chèques de banque et les autres instruments de paiements internationaux, à l’exception des chèques de voyage, sont assimilables aux transferts. Une commission dite de change manuel ne dépassant pas 4% Article 14 pour les billets de la Zone Franc et 10 % pour les autres devises, non compris la taxe sur le chiffre d’affaires et toute autre taxe spécifique, est perçue par

publiques aux finances des seuls organismes publics apparaît trop restrictif. Une telle définition laisse, par exemple, de côté les organismes privés qui bénéficient de concours financiers de personnes publiques et qui sont soumis, de ce fait, à des obligations et à des contrôles particuliers. On peut alors chercher à dépasser cette première approche trop étroite en considérant que les finances publiques désignent plus largement les finances des administrations publiques. En effet, la notion d’administration

mobilières furent réformés. La déréglementation, c'est-à-dire l'abandon des contraintes, comme l'encadrement du crédit ou le contrôle des changes, s'imposa. De multiples produits nouveaux (pour la France, les obligations à taux variables, les obligations à bons de souscription, les obligations subordonnées à durée indéterminée, les titres participatifs, les certificats d'investissement, les certificats de dépôt, les billets de trésorerie, les bons à moyen terme négociables, etc.), des produits de gestion

se traduit principalement par l’initiation ou la participation à l’élaboration de projets de loi ou de règlements et la préparation de circulaires. Le Département des Opérations et de l’Information Financière est en charge du contrôle des obligations d’informations des personnes morales faisant appel public à l’épargne, du développement de la relation CDVM – émetteurs et du suivi des analystes et journalistes financiers pour les accompagner dans l’amélioration du traitement de l’information

(5-10 ans) * L’obligation (subordonnée, convertible, remboursable en actions) ; placement public (AMF) ou privé (investisseurs institutionnels) * Euro Medium Term Notes (programme général d’émission) * Obligation à haut rendement (high yield bonds): titre spéculatif à haut rendement et fort risque (très subordonné= on les rembourse après les autres) * L’endettement à moins d’un an « papier commercial » en euros ou devises, sur le marché monétaire

d’endettement au niveau interne et au plan externe présentèrent des limites. En d’autres termes, il s’agit de contribuer à lever des fonds durables directement auprès du public et de ne pas recourir systématiquement au financement par endettement (banques, Trésor), qui prédomine. L’enjeu d’une telle évolution est de permettre aux agents économiques (Etat, entreprises) d’avoir de nombreuses possibilités d’arbitrage entre différents types et modalités de financement pour que les ressources économiques soient