Obéir Est Un Acte Libre

puisses vouloir qu'elle devienne une loi universelle. » Repères : Universel / Général / Particulier / Singulier, Absolu / Relatif, Transcendant / Immanent, Obligation / Contrainte, Idéal / Réel Chapitre 4 : La conscience nous rend-elle libre ? [La conscience, l'inconscient, la liberté, le langage, la nature, le temps, l'art] I – La conscience de nous-même distingue l’homme de l’ensemble de la nature (« Lettre au Marquis de Newcastle » de R. Descartes, la définition de la compréhension

Notre monde d’aujourd’hui « rejette » toute forme d’autorité. Il revendique l’individualité. L’individu n’a plus envie de subir des contraintes qui entravent son libre choix et son action. A partir de ce contexte il importe donc qu’il y ait des modèles d’autorités différents de ce qui sont aujourd’hui rejetés. C’est pourquoi en plus de l’autorité hiérarchique qui peut être basée sur le pouvoir de la sanction, il peut y avoir une autorité pédagogique qui peut être basée sur un monde de personnes

conduirait à désespérer de la loi morale ; Il faut donc poser qu'une telle alliance doit être possible. Kant : « Fais ce qui peut te rendre digne d'être heureux » Comme le dis Kant il est parfois utile de mentir, mais ce n'est jamais en acte moral . Etre libre c'est faire ce que la raison me dicte, c'est à dire mon devoir, la question cependant est de savoir en quoi ce devoir consiste. Mon devoir c'est de faire ce que la loi morale commande, avant de satisfaire mes désirs et mes interets. Le

est une «  puissance physique  ». Céder à la force «  est un acte de nécessité non de volonté  » La force qui s'exerce est subie et il est totalement inutile de choisir de s'y soumettre. Comme le dit Rousseau dans l'expression droit du plus fort le mot droit n'ajoute rien. On ne saurait fonder une obligation sur la force. il suffit donc d'exercer sa force. prise en elle-même l'obligation que produit le droit suppose un consentement libre. La contrainte de la force n'est pas l'obligation du droit.

d’une solution au problème du sujet. C’est donc l’objectif que l’on se fixe, ce que l’on se propose de démontrer au terme de la dissertation. Par exemple, dans le sujet « Obéir, est-ce renoncer à être libre ? » le paradoxe réside dans le fait qu’il pose une question dont la réponse positive (oui, obéir c’est renoncer à être libre) semble évidente (puisque l’obéissance s’oppose à la liberté). Mais cette évidence tombe dès lors que l’on songe à la dimension d’acte ou de choix volontaire de l’obéissance…

fait de la liberté, celle de l’ « homme de la rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts

un jour affliger l’humanité. Cependant sa curiosité lui fit ouvrir la boîte, acte qui répandit alors le chaos et la démesure parmi les hommes. Pandore referma précipitamment le couvercle, mais il était trop tard pour empêcher les maux de s’échapper sur la terre. Seule l’Espérance resta enfermée dans la boîte. Nombreux sont les mythes, comme celui de Pandore ou celui de la création avec Adam et Eve, qui illustrent un acte plus ou moins inconscient. En effet d’après Freud, tout homme est composé de

ou la sécurité on n’obéit pas gratuitement. Rousseau conclue « qu’on est obligé d’obéir qu’aux puissances légitimes ». Pour Rousseau les « puissances légitimes » désignent les citoyens et donc la volonté des citoyens. Mais il est vrai qu’on ne peut obéir à la volonté de chaque citoyen alors la volonté générale s’impose comme la volonté de tous, du moins comme agissant pour le bien de tous. Donc si l’obéissance à la loi est née d’un engagement consenti par chaque individu alors cette obéissance repose

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délinquants ou criminels. Le déterminisme est une théorie selon laquelle les actions humaines sont déterminées par des causes extérieures, biologiques, socio-économiques et/ou psychologiques, à notre volonté. Le fait d'expliquer de manière déterministe un acte peut sembler ridicule pour certains, comme Emmanuel Valls, car au final l'individu est à l'origine d'une décision et c'est de là que découle l'acte. Cela paraît dangereux et compliqué pour juger des délinquants ou des criminels car on leur retirerait