Obéir Est Un Acte Libre

renoncer à une part de la liberté sans renoncer à toute la liberté?*Si l’existence est liberté, comment renoncer à la liberté sans disparaître? (voir la page sur l’existentialisme de Sartre). *Si la liberté se manifeste par l’accomplissement d’un acte qui vient de moi, comment renoncer définitivement à accomplir ce qui peut à tout instant être accompli dès que le maître (ou la discipline...) s’est éloigné, du moment que le soi ne peut échapper à soi? | Pour un plan en trois parties… Première partie :

l’ordre social. A) Les mots « règles » et « normes » Définition : La règle est un principe de conduite permettant l’enseignement d’une science (grammaire, arithmétique, jeu,…). Principe auquel il faut obéir. Définition: Norme, du latin « Norma » signifiant équerre est un principe auquel il faut obéir. B) Le mot « Ordre » Ainsi, le mot « ordre » exprime l’idée de contrainte et l’idée de paix. C) Le mot « Droit » Le mot « droit » est un adjectif signifiant debout, stable. C’est ce qui s’étend

NOTES DE LECTURE | ACTE I SCENE I : Servantes et portier : la porte du château Des servantes se trouvent à l’entrée du château juste après le lever du soleil, elles veulent rentrer. On entend Mélisandre crier. Parallélisme avec une femme qui accouche : il fait clair au dehors, il faudra tout laver, apporter l’eau,… ACTE I SCENE II : Golaud et Mélisande : bord d’une fontaine dans la forêt Golaud, bien avant la scène I, s’est perdu dans la forêt et a aperçu au bord d’une fontaine, la jeune

INTRO: La condition essentielle de toute action est la liberté, si l’homme n’était pas libre, son action ne lui appartiendrait pas, il serait alors soumis au déterminisme naturel. Cependant, la liberté est-elle possible càd réelle ou au contraire n’est-elle qu’un mot, une illusion? Suffit-il de se proclamer libre ou de se sentir libre pour en affirmer la réalité. Pour définir la liberté en soi, nous devons tout daabord tenter d’en cerner les contours, d’en saisir le concept même en nous demandant

| |    Il est courant de dire qu’on n’est pas libre au sens où on n’a pas la possibilité de faire tout | |ce qu’on aimerait faire. | |    Voyons en quel sens on le dit et qu’est-ce qu’il y a de vrai dans cette affirmation. A quoi se | |heurtent nos désirs, nos projets, nos volontés au point de pouvoir dire qu’on n’est pas libre ? En | |quel sens dit-on qu’on ne peut pas faire ce qu’on veut ? Que

demande de traiter ce problème : l’absence d’obstacle n’est il qu’une réalité qui tendrait à dire que chaque homme est libre de faire ce que bon lui semble  ou au contraire n’est elle qu’une tromperie qui mènerait à dire qu’il existe des obstacles à celle-ci. La conscience me donne le sentiment d’être libre. Mais puis-je en déduire qu’elle me démontre que je suis réellement libre ? Certains en déduiront que oui, d’autres que non c’est pourquoi nous verrons dans une première partie que la liberté est

Exposée sur le Du Contrat Social de Rousseau Mr Sene Introduction « L’homme est né libre, et partout il est dans les fers. […]. Comment ce changement s’est-il fait ? Je l’ignore. Qu’est-ce qui peut le rendre légitime ? Je crois pouvoir résoudre cette question ». C’est ainsi que s’ouvre le Du Contrat Social de Rousseau qui se propose de démontrer la légitimité des institutions politiques. La question propre Du Contrat Social sera ainsi expressément celle du fondement d’une autorité légitime :

de la société, l’homme se sent libre et indépendant par accoutumance à obéir aux lois. Cette notion de liberté rejoint donc les positions prises par l’auteur puisque la société contrôle jusqu’au penses de l’homme. Il se retrouve donc « enchaine dans le carcan de la société et de la paix ». Le mot paix reste ici à définir. En effet, il suscite une interrogation sur la vision de Nietzche sur cette notion. Il considère ici la paix comme néfaste au développement libre de la pensée de l’homme puisqu’il

pas de gain. Contrainte = source de liberté Travail = contrainte. Une contrainte est une obligation contre laquelle je ne peux rien. ■obéir à des ordres (la volonté d'un autre) → aliénation ■respecter des délais, des horaires (soumission au temps) ■faire des efforts physiques (déformation du corps) Travail = libertés ■obéir à des ordres → discipline, ordre → actif → liberté = initiative ■faire des efforts physiques → acquérir un savoir-faire, forme physique, apprentissage

Est-on d’autant plus libre que l’on est conscient ? « on » « d’autant plus … que » « être libre » « être conscient » « Nous », les hommes en général, les peuples ou les personnes Cette locution introduit une idée de progrès et de réciprocité : les progrès dans la conscience de soi sont-ils aussi des progrès dans la liberté ? On évitera soigneusement de définir la liberté comme l’absence de contraintes : cette définition conviendrait à un Dieu, non à des hommes. Elle se définit au sens le plus