Octavio Paz

l’intégration dans l’Alena. - Le Mexique essaie néanmoins aujourd’hui de diversifier ses exportations, notemment vers le Brésil. - Mexique comme frontière Sud de l’Am du N ou frontière S de l’Am du S. Le Mexique est écartelé entre Am du N et Am du S. Octavio Paz, Le Labyrinthe de la solitude : l’auteur raconte pour lui la difficulté de trouver son identité avec des parents d’origine indienne et espagnole. Il généralise alors ce problème à l’ensemble du Mexique, entre culture occidentale et indienne. Le

 La création poétique est d’abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots », écrit le poète mexicain Octavio Paz dans L’Arc et la Lyre. La querelle entre rébellion et tradition n’est pas nouvelle : au xviie siècle, les « Modernes » se sont opposés aux « Anciens », parmi lesquels Boileau et La Fontaine, poètes eux aussi. Déjà se posait la question de savoir si la littérature, et plus spécialement la poésie, est nouveauté ou tradition, rébellion ou imitation. Le poète

Pourquoi est-ce que j'aime celui là et pas un autre? Nous pouvons aussi nous « trouver » dans les conversations que l'on tient aux autres : « la conscience des mots amène à la conscience de soi : à se connaître, à se reconnaître » (citation de Octavio Paz). Si d'un côté, la conscience de soi peut s'acquérir dans la solitude, le processus qui amène à elle ne peut s'achever sans la présence d'Autrui : « il serait temps que l'Homme reconnaisse que la relation avec l'autre est bien plus essentielle

sort totalement du réel. Enfin la poésie nous éloigne de la réalité par le déracinement du langage, en fuyant la réalité des mots : « la création poétique est d’abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots » (Octavio Paz). Ce dernier critère se caractérise par le refus de règles ordinaires de l’expression quotidienne, avec une poésie de plus en plus « agrammaticale ». II. La poésie permet aussi de se rapprocher de la réalité A) Le poète est aussi attentif

regarder nous ne voyons plus les choses telles qu’elles sont, nous les voyons telles que nous pensons qu’elles sont. Le poète nous rend notre regard d’enfant. Le poète utilise les mots pour repeindre les images exactes. La poésie, comme le dit Octavio Paz, c’est : «les paroles éparses du réel» La vraie poésie doit donc être capable de nous procurer des émotions

d'images (comparaisons, métaphores…), le poète rapproche des réalités pour en créer une autre. Exemple : Réda : « La Bicyclette ». « La création poétique est d'abord une violence faite au langage. Son premier acte est de déraciner les mots. » (Octavio Paz) Exemple : Ponge dans Le Parti pris des choses tisse des liens étranges entre les petites choses du quotidien (« L'Huître », « Le Pain »…) et les vastes univers de l'espace par de surprenantes comparaisons et métaphores. Mais les deux fonctions

a un escritor le cuesta dos minutos a mí me cuesta dos horas.” (Esta cita me parece interesante en la medida en que pone en tela de juicio cierta frustración por parte de LB., tema que por lo demás se encuentra en Ensayo de un crimen y Él). Octavio PAZ ha notado este vínculo de su cine con esos orígenes poéticos: (...) “Algunas de las películas de LB. –La edad de oro, Los olvidados- sin dejar de ser cine nos acercan a otras comarcas del espíritu: ciertos grabados de Goya, algún poema de Quevedo

poète Artur Lundkvist ne lui pardonnait pas un tête-à-tête avec le général Pinochet. Lundkvist a soutenu avec succès les candidatures de Neruda en 1971, Patrick White en 1973, Aleixander en 1977, Garcia Marquez en 1982, Claude Simon en 1985 et Octavio Paz en 1990. 13) William Golding a eu le prix en 1983 parce que l'Académie ne réussissait pas à se mettre d'accord sur le nom de Claude Simon, qui l'a tout de même eu deux ans plus tard. (Le nom de Claude Simon avait été recommandé par Gabriel Garcia

d'humour. Elles génèrent souvent les plus belles trouvailles des traducteurs, justifiant pleinement le statut d'écrivain de ceux-ci. Il est vrai, comme le souligne Octavio Paz, que « del mismo modo que la literatura es una función especializada del lenguaje, la traducción es una función especializada de la literatura ».11 11 Paz, O., Traducción: literatura y literalidad, Barcelona, Tusquets Editores, 1971, p. 19.

Coran, XIV, 31  Frédéric Mistral (Maillane, Bouches-du-Rhône, 1830-Maillane, Bouches-du-Rhône, 1914) Les arbres aux racines profondes sont ceux qui montent haut. Les Îles d'or  Lis aubre que van founs soun li que mounton aut. Lis Isclo d'or  Octavio Paz (Mexico 1914-Mexico 1998) L'arbre endormi profère des oracles verts. El árbol dormido pronuncia verdes oráculos. Libertad bajo palabra, I, Condición de nube