Oedipe Coupable

au spectateur. En effet, elles le renseignent sur les personnages. Premièrement, Dans le texte " Antigone " les personnages présent sont, Antigone qui est la soeur d'Ismène et des deux frères Ennemis Polynice et Etéocle, Ensuite nous rencontrons Oedipe qui n'est autres que leurs Pères et Créon qui est l'oncle d'Antigone. Pour finir il y a une petite apparition de Zeus roi des Dieux. Dans le deuxième texte " Hippolyte " on aperçoit la présence d'Aphrodite la déesse de l'amour, Hippolyte le fils

Le sphinx Quand on pense au sphinx, on pense immédiatement à la fameuse énigme subie par Œdipe. Tout le monde s’en souvient : « Quel être pourvu d’une seule voix a d’abord quatre jambes, puis deux jambes, et trois jambes ensuite ? ». Œdipe trouva la solution : il s’agit de l’homme qui, enfant, marche à quatre pattes puis adulte, il marche sur ses deux jambes et enfin, quand il est vieux, il s’aide d’un bâton. Nous voici plongés dans la mythologie grecque avec ce monstre à buste de femme, à corps

mathématique d’un mortel » • Machine métaphore de la vie symboliser par la métaphore du piège qui se referme : série de métaphores : nous laisse à penser que la machine peut être la pièce de Cocteau elle-même , dans laquelle l’homme est enfermé, tel Oedipe sans aucune surprise : la voix devient celle de l’auteur Dans cette scène d’exposition une voix de fantôme qui est la voix de l’auteur raconte sans surprise un système clos refermé sur lui-même. Cependant il ne s’agit pas ici de la fatalité

vont consulter l'oracle de Delphes avant la naissance d'Oedipe, celui-ci leur apprend qu'il tuera son père et épousera sa mère. De peur que la prédiction de l'oracle ne s'accomplisse, Oedipe sera abandonné sur le mont Cithéron avec les chevilles percées accrochés à un arbre, il sera élevé par Mérope et Polybe. Oedipe va consulte l'oracle pour savoir si Merope et Polybe sont ses vrais parents, l'oracle lui répond par ce qu'il avait annoncé à Laïos et Jocaste, il décide de quitter Corinthe pour déjouer

reprends la trame du mythe d'Oepide dèja exploitée notamment par Sophocle dans son Oedipe roi. 1) lieu, époque, durée l'action se déroule dans la cité grec de Thébes et sa région environnante dans une époque indéfinis mais vraissemblablement antique, sur une époque qui s'étends de la rencontre entre Laïus et Oedipe jusqu'au couronnement d'Oedipe c'est à dire un peu plus de dix-sept-ans. 2) personnages Œdipe : est le fils abandonné de Jocaste et Laïus. Avant d'épouser la reine, il a tué un

Lecture analytique 2 séquence 3 : Jean Anouilh, Antigone, Quinzième Partie (1944) I. Une scène d’aveu émouvante a) Une lettre d’aveu b) Le désespoir d’Antigone c) Une tragédie II. Un drôle de dialogue a) Un garde burlesque b) Un dialogue impossible c) Un aveu inachevé Cette pièce est une réécriture d’Antigone de Sophocle, grand dramaturge de la Grèce Antique (Vème siècle av JC). Elle s’inspire du mythe mais dans une version modernisée, ou Anouilh (1910-1987) écrivain et dramaturge français, a centré

la mère à la femme. Veuve de Laïos (tué par Oedipe.) , femme d'Oedipe, mère d'Antigone, Ismène, Etéocle et Polynice, reine de Thèbes, c'est un personnage qui ne remplit aucune de ces fonctions en particulier dans la pièce : Jocaste, qui n'intervient qu'au milieu du deuxième épisode et qui quitte définitivement la scène au milieu de l'épisode III, après être restée présente pendant cinq mouvements scéniques consécutifs, est l'instrument par lequel Oedipe va passer de la certitude au doute et du doute

-correspondance avec les tragédies grecques : élements = condamnés (premier paragraphe du texte) homme = comdamné : "condamné à un châtiment antique" chemin unique = notion de destin prédestiné dont on ne peut s'échapper - tragédie grecque : Oedipe qui ne peut échapper à son destin -fatalité : homme n'a pas le choix : idée de malédiction dont on ne peut se défaire Conclusion : -atmosphère et apparition du personnage mettent en place un registre tragique grâce à la mise en place d'un destin

précède le meurtre. C'est une scène où l'élève est littéralement fascinée, séduite, en quelque sorte, par le professeur; c'est donc une sorte de relation transgressive, et qui finit mal (comme dans toute bonne tragédie! Souvenons-nous de Jocaste et Oedipe, de Phèdre amoureuse de son beau-fils, etc…). C'est aussi une réflexion sur le pouvoir: le comportement du professeur est véritablement tyrannique: il prend possession de son élève pour en faire ce qu'il veut (comme Néron ou Lorenzo trompent et “hypnotisent”

Chez les héros eux-mêmes, prosaïsme et trivialité, ridicules familiers : Jocaste et ses crises de nerfs infantiles, sa peur de vieillir, sa manie de surnommer le grand-prêtre « Zizi », lequel lui renvoie la pareille avec ses « ma petite biche »... Oedipe, un adolescent stéréotypé : arrogant, ingrat...Laïus (et non plus Laïos), spectre falot et bègue par surcroît, réduit à des gesticulations ridicules. Moeurs et langage actualisés et modernisés. Jeux de mots, plaisanteries, anachronismes, largement