Œil

l’ on regarde bien, le chevron A s’éloigne de nous tandis que le B se rapproche, il n’est donc pas normal qu’ils se rencontrent étant liés par C. De plus on constate que c’est un triangle avec 3 angles droits ce qui est impossible. Pour cela notre œil transforme d’abord ce dessin en 3d en une image plane puis notre cerveau construit une réalité tridimensionnelle et constate que les données se contredisent, ne sont pas en accord. 6 7 La perception des illusions en fonction de la culture Les

et Biens (1930) Le charme Hymne à la beauté Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l’abîme,Ô Beauté ! ton regard, infernal et divin,Verse confusément le bienfait et le crime,Et l’on peut pour cela te comparer au vin. Tu contiens dans ton œil le couchant et l’aurore Tu répands des parfums comme un soir orageux ; Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore Qui font le héros lâche et l’enfant courageux. Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?Le Destin charmé suit

système visuel 1981 : Sperry et le cerveau divisé 1987 : Edelman et le Darwinisme neural 1995 : Damasia et la théorie des marqueurs somatiques Partie 2 : Organisation du système visuel 1. Rappel sur l’œil et la vision Cf. chapitre 9 : œil et vision (Bear, Connors, Paradisio, 2007) La perception de l’environnement s’effectue avec divers organes. La vision joue un rôle prépondérant dans beaucoup de nos comportements. La surface corticale en charge de l’analyse des infos visuelles est

accentue la violence, mettant en valeur les corps et les visages déformés. Cette œuvre est figurative(3), puisque l’on reconnait des personnages, des animaux. Mais elle n’est pas réaliste. Picasso déforme le « réel » (une langue devient pointue, un œil prend la forme d’une larme…). Il allonge et déforme les corps (les cous par ex). Il agrandie certaines parties des corps les mains et les bras. Cela lui permet de renforcer l’idée de la souffrance des corps malmenés par la guerre. Les figures ne sont

la montagne, Et des forêts au vallon, Un étalon Rouge-flamme et noir d'ébène, Sans bride, ni mors, ni rêne, Ni hop ! ni cravache, entraîne Parmi des râlements sourds Toujours ! toujours ! Un grand feutre à longue plume Ombrait son oeil qui s'allume Et s'éteint. Tel, dans la brume, Éclate et meurt l'éclair bleu D'une arme à feu. Comme l'aile d'une orfraie Qu'un subit orage effraie, Par l'air que la neige raie, Son manteau se soulevant Claquait au vent, Et montrait d'un

là, sur un coussin. »: « charnier », « pelletée brute », « la boue », « la moisissure ». L'absence de commentaire explicite, la description brute et précise, procédant de façon méthodique (il y a un ordre de la description, qui est organisée: figure>oeil>nez>bouche>cheveux), contribuent à ce réalisme presque médical de l'évocation de la mort. Au-delà du réalisme Cependant Zola, par plusieurs aspects, sort de cette objectivité réaliste ou naturaliste. L'écrivain accomplit avant tout un travail

point. www.apprendre-a-dessiner.org 5 Les paramètres de la perspective : La vision de nos trois traits au sol peut changer, comme tout élément de la scène. Voici les paramètres qui peuvent changer la perspective d’un objet : la hauteur de notre œil par rapport au sol  (=horizon =ligne de vision) le point de vue : là où nous nous tenons lorsqu’on observe un objet (légender sur le dessin avec Océ se tenant debout) les points de fuite : points vers lesquels deux lignes parallèles semblent converger

aussi aux cartes. Il lui manque une partie de la peau de la tête: il a été scalpé. Il a deux moignons à la place des jambes qu’il a perdues à la guerre. Si on regarde son corps on voit qu’il n’est fait que d’os, il n’a pas de peau. Ce personnage a un œil de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage n’a pas de jambe , il est posé sur une sorte de socle en fer. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot et l'autre est aussi

dimensions, écran, noms, couché, debout, yeux, regard, œil, logos… On peut ranger ces mots suivant différents registres : ceux qui renvoient à une lecture directe de l’image (dénotation) et ceux qui correspondent à une interprétation (connotation). Le registre plastique (lignes, forme s, couleurs, matières) contribue à cette interprétation. Dénotation : bijoux, peaux, personnages, animaux, écureuil, noms , lettres, logos, couché, debout, yeux, regard, œil… Registre plastique : rouge, violet, noir, peinture

lumière : le plafonnier symbolise les bombes donc la destruction, la lampe à pétrole symbolise la résistance, l’espoir, l’éclairage extérieur symbolise la vérité, donc la représentation et la lumière sont séparés. La lampe Elle a la forme d’un œil ce qui représente l’œil du peintre qui souhaite montrer sa perception de l’évènement. c) A quoi servent les contrastes de valeurs ? Les contrastes de valeurs mettent en avant ou dissimulent les formes et les figures. Ces jeux de valeurs structurent