Offre De Monnaie Exogene

microéconomie : Les agents sont tous rationnels et libres. Ils font donc des choix cohérents. Il n'y pas a pas de monnaie , elle a un rôle secondaire. Donc de monnaie voile. Il n'y a pas de temps. En macroéconomie : L'économie est un tout ; Les agents ne sont pas important en eux même mais globalement. Leur place globale qu'ils ont dans le système. En revanche en macroéconomie la monnaie a un rôle fondamentale. Notion d'équilibre : Situation qui se reproduit elle même dans le temps. Si il n'y

microéconomie : Les agents sont tous rationnels et libres. Ils font donc des choix cohérents. Il n'y pas a pas de monnaie , elle a un rôle secondaire. Donc de monnaie voile. Il n'y a pas de temps. En macroéconomie : L'économie est un tout ; Les agents ne sont pas important en eux même mais globalement. Leur place globale qu'ils ont dans le système. En revanche en macroéconomie la monnaie a un rôle fondamentale. Notion d'équilibre : Situation qui se reproduit elle même dans le temps. Si il n'y

L'équilibre sur le marché de la monnaie et la théorie quantitative La théorie quantitative de la monnaie donne une représentation de l'équilibre sur le marché de la monnaie qui découle directement de la conception classique de la monnaie selon laquelle le seul motif de détention de la monnaie est le motif de transaction (rappelons que la monnaie a 3 fonctions: intermédiaire dans les échanges – réserve de valeur et unité de compte). On en trouve deux formulations. La première est due à I. Fisher

dépenses publiques ou la baisse des impôts sont des politiques budgétaires expansionnistes. L’inverse est une politique budgétaire restrictive. =>La politique monétaire est une politique économique qui agit sur l’offre de monnaie. L’augmentation de l’offre de monnaie est une politique monétaire expansionniste, l’inverse est une politique monétaire restrictive. Une politique monétaire expansionniste a aussi pour but d’augmenter la demande (baisse taux intérêts, augmentation investissements).

Thème 6 Les fluctuations économiques L’équilibre de court terme PLAN DU THEME 6 Demande et offre agrégées à court et long terme Chocs de demande et chocs d’offre Le modèle IS LM Équilibre du marché des biens et services et politique budgétaire Marché monétaire et politique monétaire Introduction aux fluctuations économiques Tracé du PIB (niveau et écart à la tendance) Si sur la longue période le PIB s’accroît il existe d’importantes variations autour de cette tendance : les

Chapitre 16 : La monnaie et les marchés des biens et des services : Les effets des variations monétaires sur le revenu national. 1. La théorie quantitative de la monnaie : * Equation : MV = PY où M : offre de la monnaie, V : vitesse de circulation, P : prix, Y : revenu national réel. MV : dépenses totales de consommation, PY : valeur des biens produits (soit PIB mesuré en fonction du prix). 2. Mécanisme de transmission du taux d’interet : * Un des canaux est le taux d’interet :

marché monétaire influence l’investissement des entreprises et donc la demande globale et la production d’équilibre sur le marché des biens. Equilibre sur le marché de la monnaie dépend de l’équilibre sur le marché des biens - Le niveau de la production affecte la demande de monnaie et donc le niveau du taux d’intérêt à offre de monnaie inchangée. en générale et du modèle IS/LM en particulier 3 Et le marché du travail? En apparence uniquement comme vu précédemment… Ce niveau d’emploi détermine

et le niveau de revenu (Y) issue du marché de la monnaie. Pour construire la courbe LM, on part de la théorie de la préférence pour la liquidité = théorie keynésienne du taux d’intérêt. 8.2.1 La théorie de la préférence pour la liquidité Hypothèse : offre de monnaie en termes réels donnée : .  représentation graphique de l’offre de monnaie en termes réels : r Offre M / P Figure 8.4 L’offre de monnaie en termes réels. Théorie de la préférence pour

monétaire, les échanges se réalisent par l’intermédiaire de la monnaie : chaque bien est échangé, non pas directement contre un autre bien, mais contre une certaine quantité de monnaie. Un agent qui vend (ou offre) un bien, reçoit (ou demande) en contrepartie une certaine quantité de monnaie. Un agent qui achète (ou demande) un bien doit fournir (ou offrir) de la monnaie en contrepartie. En d’autre termes, les offres et les demandes de monnaie individuelles sont les contreparties des échanges qui se réalisent

Say. Théorie quantitative de la monnaie est-elle compatible avec la combinaison loi de Walras et loi de Say ? Le paradoxe de Patinkin : Partons de la contrainte budgétaire d’un agent j, parmi les h agents existants, évoluant sur n marchés :∑_(i=1)^n▒〖 pi.Eij+m_j^d- (m_j ) ̃ =0〗 La combinaison de la loi de Walras et de la loi de Say :∑_(i=1)^n▒〖p_i ∑_(j=1)^h▒〖E_ij (p) 〗〗 + ∑_(j=1)^h▒〖m_j^d (p)〗 = ∑_(j=1)^h▒〖(m_j ) ̃ = M〗 (m_j^d la demande de monnaie de l^' agent j, (m_j ) ̃l^' encaisse