Oh les beaux jours

personnel ? a) Elles sont très proches de leur grand- mère. b) Elle leur téléphone tous les jours. 4. Remplacez le GN en gras par le pronom possessif qui convient. Peux-tu me prêter ta gomme ? Je ne trouve pas ma gomme . 5. Remplacez

ennuyé par les cris de détresse de Geneviève, revint sur ses pas. Au moment où il la rejoignit, le second coup de cloche se fit entendre. GENEVIÈVE. – Ah ! mon Dieu ! le second coup qui sonne. Et mon oncle qui n’aime pas que nous le fassions attendre. Oh ! Georges, Georges, tiremoi d’ici ; je ne puis ni avancer ni reculer. 9 Geneviève pleurait. Georges s’élança dans le fourré, saisit les mains de Geneviève et, la tirant de toutes ses forces, il parvint à lui faire traverser les ronces et les épines

J'ai tort. Oui, c'est avec ces indulgences-là Qu'on a toujours conduit les peuples à leur perte. Qu'on me mette au pain sec. - Vous le méritez, certe, On vous y mettra. - Jeanne alors, dans son coin noir, M'a dit tout bas, levant ses yeux si beaux à voir, Pleins de l'autorité des douces créatures : - Eh bien, moi, je t'irai porter des confitures. Jeanne chante ; elle se penche Jeanne chante ; elle se penche Et s'envole ; elle me plaît ; Et, comme de branche en branche, Va de couplet

C’est en 1952, lors de la remise en question de la condition humaine, que Beckett nous surprend avec la représentation de sa pièce, qui ne présente aucun sens, « En attendant Godot ». Dix en après, il met en scène « Oh les beaux jours ». On retrouve un vieux couples de personnages, Winnie et Willie, ainsi que la même simplicité dans le décor. Winnie est enfoncée jusqu’à la taille sur le haut de la colline tandis que Willie est caché, allongé derrière. Quelques accessoires tels qu’un sac et un parapluie

(comme par exemple, parfois dans le théâtre d’Ariane Mnouchkine). ------------------------------------------------- Top’plus ------------------------------------------------- Quelques grandes pièces de théâtre de la fin du XIXe siècle à nos jours * ------------------------------------------------- Alfred Jarry, Ubu Roi (1896) * ------------------------------------------------- Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac (1897) * ------------------------------------------------- Georges

poitrine, crânement bombée à la prussienne. Campé fièrement dans le coin du milord, cet homme décoré laissait errer son regard sur les passants qui souvent, à Paris, recueillent ainsi d’agréables sourires adressés 4 La cousine Bette Chapitre à de beaux yeux absents. Le milord arrêta dans la partie de la rue comprise entre la rue de Bellechasse et la rue de Bourgogne, à la porte d’une grande maison nouvellement bâtie sur une portion de la cour d’un vieil hôtel à jardin. On avait respecté l’hôtel qui

d’Aragon, gris, avec une cuirasse de cuir, une épée, un poignard, et un cor à la ceinture. DOÑA SOL, courant à lui. Hernani ! HERNANI. Doña Sol ! Ah ! c’est vous que je vois Enfin ! et cette voix qui parle est votre voix ! Pourquoi le sort mit-il mes jours si loin des vôtres ? J’ai tant besoin de vous pour oublier les autres ! DOÑA SOL, touchant ses vêtements. Jésus ! Votre manteau ruisselle. Il pleut donc bien ? HERNANI. Je ne sais. DOÑA SOL. Vous devez avoir froid ? HERNANI. Ce n’est rien. DOÑA SOL

voir De toutes les couleurs L’arc-en-ciel le fait bien Et personne ne lui dit rien Cet enfant n’en fait qu’à sa tête Nous voulons qu’il en fasse à la notre Oh ! mon père ! Oh ! ma mère ! Oh ! grand oncle Sébastien Ce n’est pas avec ma tête Que j’entends mon cœur qui bat Aujourd’hui c’est jour de fête Pourquoi ne comprenez vous pas Oh ! ne me touchez pas l’épaule Ne m’attrapez pas par le bras Souvent la grenouille m’a fait rire Et chaque soir elle chante pour moi Mais voilà qu’ils ferment

vient une idée. GIOMO. Laquelle? 10 LORENZINO. LE HONGROIS, plus bas encore. Si c'était Lorenzino qui l'eût trahi ! GIOMO. Allons, te voilà encore avec tes anciens soupçons. LE HONGROIS. C'est que mes anciens soupçons se renouvellent les jours, ce qui les empêche de vieillir. tous GIOMO. Tu es fou, mon cher. LE J'aipeur, HONGROIS. au contraire, d'être le seul qui soit sage. GIOMO. Allons donc! connu comme l'est Lorenzino, qu'un pareil homme peut être à craindre? LE Connu pourquoi

célébrité : en 1953, en effet, sa pièce En attendant Godot, mise en scène par Roger Blin, est un triomphe ; sa carrière de dramaturge est lancée. Parmi les nombreuses pièces qui suivront, citons Fin de partie (1957) ; la Dernière Bande (1959) ; Oh les beaux jours (1961, montée par Roger Blin en 1963) ; Comédie (1964) ; Pas moi (1973) ; That Time (1976) ; Foot falls (1976) ; Catastrophe et autres dramaticules (1982). Voir Drame et art dramatique. Samuel Beckett ne renonce cependant pas à composer une