Oh les beaux jours

rivière :  Tu la verras fluer d’un perpétuel cours,  Et flots sur flots roulant en mille et mille tours  Décharger par les prés son humide carrière. Mais tu ne verras rien de cette onde première  Qui naguère coulait ; l’eau change tous les jours,  Tous les jours elle passe, et la nommons toujours  Même fleuve, et même eau, d’une même manière. Ainsi l’homme varie, et ne sera demain  Telle comme aujourd’hui du pauvre corps humain  La force que le temps abrévie et consomme : Le nom sans varier nous

Baudelaire  est  un  classique  de  la  poésie  française.  Pour  Baudelaire,  le  temps  est  comme  un  poids,  difficile  à  supporter. Quand le poète s’ennuie, c’est un supplice.    ­ Le  dernier  poème de  notre  anthologie est un poème de nos jours (2008).  Il  se  nomme  “Équilibre  fuyant”  et  a  été  écrit  par  ​ Jules  Delavigne​ . Son  poème  lie ici la  nostalgie  et  le temps, où le poète essaye de rattraper son  enfance.    3  Nous  avons  choisi  ce  poème  car  Verlaine  mélange 

organisant la pièce du théâtre de l’absurde ? Que révèle le déplacement répétitif chez Beckett? Est-ce que les deux acteurs présentent des liens l’un à l’autre ? Quel type de lien ? A quel niveau parait-il le parcours Beckettien dans « oh les beaux jours » et quels impacts peut-il donner aux spectateurs ? Beckett veut-il s’approprier dans un espace ? Est-ce que la stabilité de la forme du carré révèle une territorialité dans « Quad » ? A quel degré peut-on considérer que les trajectoires

et ridiculisées, comme nous le montre la proposition suivante : « Elle disoit bien, « Oh ma mere ne me l’ha pas dit » (ligne 3-4). Ici, l’auteur insère dans son récit, un discours mimétique qui nous rapproche de la réalité. Nous avons l’impression que la voix de Gillette raisonne sur un échafaud farcesque. Cette parole de la femme est complètement naïve. En cela, elle incite le rire et la farce. L’interjection « Oh » marque l’étonnement de la jeune femme, ainsi que sa niaiserie. De plus, cela est renforcé

paillasse, parce qu’on a moins froid et moins faim, lorsqu’on est allongé. Gervaise appelait ça la paillasse ; mais, à la vérité, ça n’était qu’un tas de paille dans un coin. Peu à peu, le dodo avait filé chez les revendeurs du quartier. D’abord, les jours de débine, elle avait décousu le matelas, où elle prenait des poignées de laine, qu’elle sortait dans son tablier et vendait dix sous la livre, rue Belhomme. Ensuite, le matelas vidé, elle s’était fait trente sous de la toile, un matin, pour se payer

dit Iphicrate). Cette île est nommée ensuite (mais le titre nous l’avait déjà indiqué) : c’est l’île des esclaves. Ce nom est justifié ensuite, ap la quest° posée par Arlequin (qui répond à celle du spectateur-lecteur) :   ARLEQUIN. − Oh ! oh ! qu'est-ce que c'est que cette race-là ? IPHICRATE. − Ce sont des esclaves de la Grèce révoltés contre leurs maîtres, et qui depuis cent ans sont venus s'établir dans une île, et je crois que c'est ici : tiens, voici sans doute quelques-unes de leurs

Scénette n°2 Annonce d’un diagnostic grave Mme Annie, 73 ans, est hospitalisée depuis 4 jours dans le service de neurologie suite à malaise chez elle. Ce jour, et suite à de nombreuses batteries d’examens, le médecin qui suit Mme Annie depuis le début de son hospitalisation, lui a annoncé le verdict : la patiente souffre d’un cancer du foie nécessitant une opération sous anesthésie générale. Elle rencontre l’infirmière Marie-Joëlle, en poste ce jour, ainsi que Christian l’infirmier nouvellement

aie jesus est bon eh, Il est bon Oui le fils de dieu est bon eh, il est bon Oh mon sauveur est bon eh, il est bon Oui mon rédempteur est bon eh,il est bon Oui il m’a sauvé il est bon mon eh, il est bon Il m’a racheté il est bon eh, il est bon Il m’a délivré il bon eh, il est bon Oh mon sauveur est bon eh, il est bon Oh, Aie aïe aïe yeh (x4) Oh emmanuel est bon eh, il est bon Il est l’étoile brillante du matin, il est bon

BACCALAURÉAT BLANC ÉPREUVE ANTICIPÉE DE FRANÇAIS SÉRIES ES - S Durée de l’épreuve : 4 heures Coefficient : 2 Merci d’indiquer votre classe de manière lisible en tête de copie. OBJET D’ÉTUDE- Le personnage de roman, du XVIIème siècle à nos jours TEXTES : Texte 1- Prosper Mérimée, Carmen, 1845 Texte 2 - Jules-Amédée Barbey d'Aurevilly, La Vengeance d'une femme, Les Diaboliques, 1874 Texte 3 - Émile Zola, Nana, 1880 Texte 4 - Rémy de Gourmont, Les Yeux d'eau, Histoires magiques et

haleine Soulève encor tes longs cheveux ; Sur ton sein leurs flots onduleux Retombent en tresses d'ébène,L'ombre de ce voile incertain Adoucit encor ton image, Comme l'aube qui se dégage Des derniers voiles du matin.Du soleil la céleste flamme Avec les jours revient et fuit ; Mais mon amour n'a pas de nuit, Et tu luis toujours sur mon âme.C'est toi que j'entends, que je vois, Dans le désert, dans le nuage ; L'onde réfléchit ton image ; Le zéphyr m'apporte ta voix.Tandis que la terre sommeille, Si j'entends