Oligarchie

partis et démocratie, l’ouvrage de sociologie classique de Robert Michels, (5) servira de point d’appui pour démontrer que les partis sont irréductiblement conduits, s’ils n’y prennent garde, à devenir des machines à fabriquer, à reproduire des oligarchies s’intégrant dans le système. Ensuite, seront présentées des tentatives diverses de justification de la domination des " élites ", enfin les moyens de résistance et " philosophies " de contestation de la confiscation du pouvoir, reposant, en partie

lumière les insuffisances démocratiques inhérentes à la nécessaire organisation des partis, qui aboutit à la formation d’une nouvelle oligarchie (notamment dans un cadre de compétition entre les partis). « Qui dit organisation dit oligarchie » écrit Michels. Ce à quoi Pierre Avril oppose les contestations internes, barrière à la toute-puissance de cette oligarchie. Comment les partis ont-ils été finalement acceptés et reconnus ? L’auteur évoque une révolution épistémologique dans l’idée de bien commun :

y règne une certaine tolérance des idées, notamment celle des philosophes comme Socrate ou Platon parce que l’ensemble du demos athénien consent à un régime démocratique. En revanche, selon Périclès, toutes les autres cités telles que Spartes (oligarchie) qui sont soumises à d’autres régimes politiques sont contraintes d’adhérer à la démocratie. Or, en ce point, Périclès ne se soucie pas du consentement des cités ni des peuples. Par conséquent, cette volonté d’hypertrophier la démocratie a conduit

Avant d’aborder la spécificité française de la fin du XVIIIème siècle, il convient de définir l’essence de l’expression système représentatif. Ainsi, si nous prenons l’exemple du régime athénien, les « démocraties représentatives » seraient des oligarchies, c’est-à-dire que le pouvoir serait l’apanage de quelques-uns, s’opposant directement au principe de la « démocratie directe ». Toutefois, le régime évoqué se rapproche très fortement d’une démocratie directe car en quelque sorte, c’était le peuple

L’héritage politique  a. Plusieurs formes d’organisations politiques · Monarchie, oligarchie, tyrannie, démocratie (la démocratie athénienne ne représente pas l’organisation politique de la civilisation grecque, elle n’a duré qu’une centaine d’année) · Définitions : · Oligarchie : système politique dans lequel le pouvoir est exercé par un petit groupe de personnes, ce fut également la forme de système politique en Grèce ancienne

souveraineté est en effet la divinité (la théocratie) mais encore par une seule personne, par ex Louis XIV (monarchie), ou bien un groupe de personnes, au XVIIIe siècle le gouvernement municipal des villes s’est construit partout en une petite oligarchie (oligarchie). La souveraineté nationale : Il figure explicitement dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1789 en son article 3: « Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu

d’accès à la citoyenneté et les avantages liés à ce statut  Mettre en évidence la participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité : fondement de la démocratie athénienne.     Notions : Attique,  cité, démocratie  (directe), oligarchie,  démos, ecclésia, boulè, héliée, stratège, liturgie, ostracisme, hoplite, misthos, atimie, Panathénées, Périclès     II.  La démocratie athénienne, vue et discutée par les Athéniens   Quels regards les Athéniens portent-ils sur la démocratie 

opinions, plutôt négatives sur la démocratie athénienne. Selon cet auteur, la démocratie n’est pas le bon régime politique pour permettre de gouverner une cité dans de bonnes conditions. Il suggère plutôt une oligarchie qui répond à ses attentes. Ainsi, nous voyons que le régime politique de Périclès n’était pas apprécié par tout le monde. L’auteur considère que les citoyens athéniens de classe modeste n’ont pas leur place dans la

terres et des maisons, les traitent comme des serviteurs. La démocratie naît lorsque, dans une oligarchie, les pauvres prennent le pouvoir et tuent ou bannissent les riches.Livres IXLe personnage correspondant à la tyrannie est un homme lubrique, un homme qui ne fait que désirer. Platon établit ainsi une hiérarchie des institutions politiques. C'est-à-dire, par ordre décroissant : Monarchie, Démocratie, Oligarchie, Démocratie et Tyrannie. Platon concède que la cité idéale qu'il décrit peut avoir un caractère

principalement autour de la mer Egée il ny a pas d’état grecque mais une multitude de cites etat ( envions 600) . Elles forme des alliance ou sont en guerre entre elle . Les citées états sont independantes elle ont des système politique diffèrent entre elle Oligarchie , Démocratie, Monarchie . se qui fais l’unités du monde grec c’est une langue une religion et une culture commune c’est pour cela que lon parle d’une grece antique Carte 2 =>2 les grec vivent dans des C-E ( ville + campagne) Carte 2 =>