Oligarchie

L’ensemble témoigne de la liberté du débat public à Athènes. Les affaires de la cité sont administrées par les citoyens entre lesquels est établi un rapport d’égalité politique, base de la démocratie. Après avoir connu différents régimes politiques – oligarchie, tyrannie – la cité athénienne devient une démocratie, régime fondé sur l’égalité politique. Deux réformes ont contribué à l’instauration de ce régime. Au milieu du VIe siècle avant J.-C., Solon• établit le principe d’égalité devant la loi : l’isonomie

unifié cette société et être aimé de tous. Jean Bodin distingue deux pouvoirs se confrontent, le pouvoir temporel (un souverain) et le pouvoir spirituel (Dieu). Si le souverain est seul c'est une monarchie, s'il est plusieurs individus c'est une oligarchie et si le souverain est tous les individus c'est la démocratie. Châtelet nous parle de deux autres penseurs, Hobbes et John Locke. Hobbes établie une théorie matérialiste de l'homme, "l'Homme est un être qui peut", désirer , et sa seul limite est

accumulation du capital par ses propres moyens  Ou l’emprunt par le recours au marché financier L’apparition et développement du secteur bancaire qui transforme l’argent inactif en argent actif : interpénétration des banques et l’apparition des oligarchies financières qui, par le biais des banques vont controler le secteur de l’industrie exemple famille de Rostchild 3) L’amorce d’un expansionnisme économique d’exportation des capitaux On sort de l’expansion coloniale ( accroissement du territoire

un intérêt sociologique relativement clair : la bourgeoisie ne veut d’aucune manière partager le pouvoir et l’exercice de la souveraineté avec le prolétariat et le type de démocratie qui découlerait de cette théorie s’apparenterait plus avec une oligarchie. Après cette première partie il apparait judicieux de traiter les différents moyens démocratiques d’exercice de la souveraineté dans une deuxième partie. II- Les différents moyens de l’exercice démocratique de la souveraineté Dans un premier

que par des traces d'agriculture, de bassins d'irrigation et de traditions d'artisanat6. À la fin de la période védique, vers le Ve siècle av. J.C., les petites chefferies des plaines du Gange et du nord-ouest se consolident autour de seize oligarchies et monarchies importantes connues comme les Mahâ-Janapadas6. L'émergence de l'urbanisation et des orthodoxies religieuses pendant cette période est à l'origine des mouvements de réforme religieuse que sont le bouddhisme et le jaïnisme qui deviennent

autonomie, les villes se font construire des hôtels de ville, surmontés souvent par un beffroi, symbole des libertés de l’autonomie. A Venise, le petit peuple n’a aucun pouvoir, celui-ci est concentré dans les mains des plus puissants c’est donc une oligarchie. II-Les villes un monde nouveau A-Une population diverse On retrouve des artisans, des hommes d’église, des paysans, des soldats, des écoliers, des mendiants, des crieurs. Document 2 et 3 page 145 Les élites urbaines vont prendre de plus en

héréditaires, c'est-à-dire que les nobles avaient la puissance politique, militaire, juridique et surtout économique, de ce fait les liens économiques ne pouvait pas apparaître sous une forme autonome puisque Les nobles et les monarques constituaient une oligarchie qui dominait l'accès aux ressources. Il a fallu attendre la révolution française de 1789 pour qu’une nouvelle classe sociale fait son apparition, on parle là de la bourgeoisie commerçante. Dès lors le capitalisme commercial commence, à faire réellement

confondus, les Alphas et les Bêtas. Seuls les hommes et les femmes hautement qualifiés peuvent diriger tout le reste de la société, donc les Alphas. Chacun à sa place prédéterminée.Le système politique de la société peut aussi être vu comme une oligarchie totalitaire.Selon nous, l’organisation de la société ressemble à celle d’une entreprise, où le chef est au pouvoir (le grand administrateur), puis viennent les cadres (les Alphas), qui eux même dirigent des salariés (les Bêtas) et ainsi de suite

planifiée et la nationalisation des biens et des moyens de production et de distribution)11, la croissance des « Trente Glorieuses » résulte, géopolitiquement, d'un phénomène deprédation des oligarchies des pays de l'OCDE à l'égard du Tiers monde, et socialement, d'une politique d'achat de la paix sociale par ces oligarchies, au prix d'un partage relatif des richesses (produites ou captées) avec les travailleurs des pays développés, partage fort inéquitable mais suffisant pour éteindre les revendications

et le contexte mondial Si les richesses naturelles peuvent être un moyen pour les états de s’enrichir, elles restent aussi un facteur de déstabilisation, qu’elle soit politique comme on a pu l’observer au Nigéria avec la création d’une oligarchie, sociale avec l’exode rural ou encore économique à cause de l’inflation. Pour s’insérer dans la mondialisation, l’Afrique doit mettre en avant un avantage comparatif or, malgré la multitude et la quantité de ressources, c’est à cause d’une