Oligopoles Monopoles Et Regulation De La Concurrence

à K pour entreprises, banques contribue à la croissance et à modernisation de l’outil productif. Chapitre 3 : L’état et la politique économique Intro : L’intervention de l’État : Fonctionnement normal du marché = déséquilibre Limite de la régulation du marché = Besoin de l’intervention de l’État dans éco.  Politique économique. Quand éco de marché libérale, État ne doit pas intervenir dans éco. Mais doit corriger déséquilibre et inégalités sociales créé par la croissance. Donc politique éco

2eme sujet est celui de la L° anti thrust, anti monopole au USA, ou dt de la concurrence. L° interdit acte anti concurrenciel, L° née a la fin du 19e s avc loi de 1890 le Sherman act et loi de 1914 le Clayton act.. En fr on commence a parler de ce thème que récemment sous l’impulsion de la construction européenne. Les juriste sur se sujet se sont tourné vers le économiste pour mieux saisir a-> de qd il avait atteinte a concurrence et la C° de monopole devenait néfaste au bien être social et consommateur

pensée font progresser la science économique. °Chaque courant possède une rationalité spécifique: - le libéralisme: l'autorégulation et l'homoeconomicus -le marxisme: suggère l'autogestion ouvrière -le keynésianisme prône le rôle de l'Etat dans la régulation du marché défaillant °Et un mode de raisonnement propre. CHAPITRE1: LE LIBERALISME (1723-1790) -Le courant libéral est le premier réel courant économique a être apparu. (fin du 18 7ME SI7CLE) °Les auteurs classiques ont été a l'origine du courant

l'internationalisation La décision d'internationalisation doit prendre en compte des facteurs déterminants dans ce choix, appelés facteurs de l'internationalisation: Les facteurs commerciaux L'étroitesse du marché domestique: La spécialisation de l'entreprise: La régulation des ventes de l'entreprise: ralentissement de la croissance économique Le cycle de vie international du produit Les facteurs industriels La recherche d 'économies d'échelle: L'abaissement des couts de production Les facteurs d'environnement

aléatoire (concurrence pure et parfaite) ne peut accueillir que des unités de petite taille car il n’y a pas de monopole (atomicité) ; d’où un coût de structure élevée. 12. Un environnement stable et structuré (concurrence monopolistique) suppose des organisations plus grandes, elles sont hiérarchisées, difficulté de contrôle ; d’où une logique de services de planification qui joueront un rôle majeur (formalisation de la procédure). 13. Un environnement instable et réactif (oligopole) : quelques

plus faible que ses concurrents Ses principaux concurrents en France sont la Société Générale, BNP Paribas, la Caisse d’Épargne et le Crédit Mutuel. Aujourd’hui, dans une économie où beaucoup de secteurs d’activités sont confrontés à une forte concurrence, l’objectif de toute société, dont le Crédit Agricole, est de trouver constamment des « relais de croissance »en se diversifiant vers d’autres métiers pour améliorer ses résultats et accroitre sa dimension à tout point de vue (financière, humaine

d’intérioriser le cas de cette entreprise, le marché qui l’entoure, ses concurrents, son intérieur, comment elle fonctionne, ses forces, faiblesses, ses qualités et ses défauts, Ce qu’elle peut encore produire pour gagner des parts de marché sur la concurrence. Il s’agit d’intégrer toute une culture d’entreprise pour ensuite mieux servir ses intérêts, lui créer de la valeur. La société Philip Morris est leader sur le marché du tabac en France, ce qui signifie qu’elle dispose d’un avantage très certain

pays développés. (TD p 342-343) 2.3.2 - I.D.E. et développement dans les P.E.D. (doc. 6 p 326) 2.3.3 - Firmes transnationales et autonomie des Etats. (doc. 25 et 26 p 336-337) III - Mondialisation, évolutions sociales et culturelles et régulation. 3.1 - Vers une uniformisation culturelle mondiale ? 3.1.1 - La tendance à l'uniformisation culturelle. (doc 3 p 351 sur le rôle des FMN) La question est ici de savoir comment se passe ce phénomène de diffusion de la culture occidentale

qui sont : - L’intensité de la concurrence existante. - Le pouvoir de négociation des clients. - Le pouvoir de négociation des fournisseurs. - La menace des entrants potentiels. - La menace des produits ou services de substitution. Cependant, Porter néglige un facteur pourtant essentiel dans son premier modèle des forces : le rôle de l’État. En effet, l’État et plus largement l’influence des pouvoirs publics ont un pouvoir de régulation du marché (lois en vigueur, impôts

particulière : la capacité d’user de la violence pas permanente mais possibilité. Monopole de la violence qui est légitime. Conférence 1919 Max Webber à des étudiants allemands : politique comme vocation, recueil : le savant comme le politique. Définition de l’Etat : « il faut concevoir l’Etat contemporain (moderne) comme une communauté humaine qui dans les limites d’un territoire déterminé revendique avec succès le monopole de la violence physique légitime » Ce qui est important c’est les formes, types