Olympie

défilent par nationalités. Pour faire références aux origines des JO, l’équipe grecque parade toujours la première puis l’équipe du pays hôte ferme la marche. Depuis 1936 et les Jeux de Berlin, la flamme olympique est allumée par les rayons du soleil à Olympie, en Grèce. Des sportifs se relaient pour amener la flamme jusqu’au stade. Enfin, le serment olympique est prononcé par un athlète : « Au nom de tous les concurrents, je promets que nous prendrons par à ces Jeux Olympiques en respectant et en suivant

quant à elle anachronique. Le terme linguistique n’existe pas, même si on pouvait parler de civilisation grecque, comme d’une population parlant une langue commune, la Koinè, et partageant une religion, dont certains sanctuaires, Delphes, Dodone, Olympie, étaient des lieux où les habitants des différentes cités faisaient peu de cas de leurs divergences politiques et d’origine. Finalement, la critique adressée par les cyniques à la culture ne sera pas forcément directe. Elle procédera de deux considérations

RECHERCHE D’ARGENT : Très vite, les jeux de la Grèce ne vont regrouper que des professionnels, c’est à dire des athlètes qui en ont fait leur métier. La création des Jo(5ème siècle avant J-C), les prix étaient sans valeur matérielle. A Olympie, le vainqueur recevait une couronne d’olivier. A Némée, le vainqueur recevait une couronne de céleri. A Isthme, on gagnait une couronne de pain. Au bout d’un siècle, vont se créer de nouveaux concours sportifs profane, et va naître le professionnalisme

n’étaient pas en « guerre froide ». Au contraire, la trêve olympique de deux mois ne répondait à aucun souci pacifiste ; il s’agissait bien d’interrompre les opérations militaires le temps que les athlètes de tout le monde grec pussent se rendre à Olympie en toute sécurité. Cf. Maurice SARTRE, « Les athlètes courraient aussi pour l’argent… » et Jean-Paul THUILLIER, « Ils trichaient déjà », Les Collections de L’Histoire, « Les Jeux olympiques d’Athènes à Pékin », n° 40, juil.-sept. 2008, pp. 34-41.

sont organisés en l’honneur du dieu Zeus tous les 4 ans. Lors de ces Jeux, de nombreuses épreuves artistiques telles que la musique, le chant, la poésie et le théâtre furent organisés au cours des jeux de Delphes (différents des Jeux organisés à Olympie), liant la culture au sport dès l’origine des Jeux. En 393 après J-C, l’Empereur romain Théodose Ier, converti au christianisme, interdit l’organisation des Jeux Olympiques pour des motifs religieux, les Jeux favorisant selon l’Empereur la diffusion

remplacé par des juges dans les dem, les magistrat sont de la famille. Le petit peuple na plus a venir en ville Il mène une politique populiste avec de grand travaux politique, redistribution des terres, importance aux fête pour rivaliser avec Olympie. On peut parler de nationalisme. A la période de Pisistrate, les poèmes homérique sont mis à l’écrit et la littérature des Ve et IV e détestera la tyrannie mais fera l’éloge de Pisistrate. Ses fils seront de vrai tyrans. 3 les fils de Pisistrate

des thermes, des établissements de jeux, des gymnases (sport Grec) La thalassothérapie moderne en Italie n’est pas né de l’empire romain ; Les prestations sportives et les spectacles théâtraux (qui procèdent du sacré). Un à Delphes, a Athènes (Olympie), les jeux olympiques ont été poursuivies par les Romain. ==== 1ère forme de pratiques sportives. Peut-on parler de voyage d’affaire et d’agrément ? Chez les phéniciens, toutes les grandes civilisations marchandes ; à partir d’une cité on a jeté

d'Apollon sur le serpent Python, à Delphes. Quatre sanctuaires organisaient des fêtes et concours qui ont un statut international à l’époque classique. Les agôns (concours) de la periodos (cycle de 4ans) sont les concours « olympiques » célébrés à Olympie en l’honneur de Zeus tous les 4ans, ils sont dits « pythiques » à Delphes en l’honneur d’Apollon Pythien tous les 4ans, « isthmiques » près de l’isthme de Corinthe en l’honneur de Poséidon tous les 2ans et « néméens » à Némée en l’honneur de Zeus

déplacements par de nombreux architectes, il fit bâtir de nombreux monuments dans les provinces qu’il visita. C'est ainsi que fut achevée la construction du gigantesque temple de Jupiter olympien (à ne pas confondre avec le temple de Zeus olympien situé à Olympie.), dont les travaux, débutés sous Pisistrate, étaient restés inachevés pendant près de 700 ans ; furent aussi érigés les termes d'Hadrien à Leptis Magna, en Afrique proconsulaire. Rome ne fut cependant pas en reste, Hadrien y faisant construire le

Athéniens et est condamné à l'exil. Les spartiates lui font dont d'un domaine à Scillonte près d'Olympie. Il y passa 20 ans, on lui décerne le titre de « Proxenos » celui qui est chargé d'accueillir et d'assister les Spartiates qui se rendent à Olympie. On pense que c'est à cette période qu'il rédige une grande partie de ces œuvres. Son œuvre est conséquente, il écrit notamment les « Mémorables » récits de la vie de Socrate mêlant souvenir et philosophie. Ainsi qu'un « Apologie de Socrate ».