Ombre

avec « ceux qui vont et viennent » (l.14) ne dit pas qui sont ces personnes. Il utilise aussi le champ lexical de la mort, pour consolider cette histoire de fantômes, avec « fantômes sans ombre », « insaisissable », « introuvables », « aux yeux vides », « l’espace sans chaleur » (l.15-16) ou encore « une ombre, fuyante » (l.19). « Il n’y a pas d’oiseaux par ici, ni de mouches, ni de sauterelles. » (l.24) montre que même du côté animal, la vie n’est pas présente dans cette cité. Le seul être vivant

personnage très énigmatique et d’un paysage industriel. A la ligne 10 « aucune ombre d’arbre », ligne 31  « grosse planche fermant une voie ferrée »ligne 33 « pigeons », ligne 40 « construction », « cheminée d’usine », ligne 42 « cinq ou six lanternes ». Tout ce passage de texte nous indique un paysage industriel. C’est décor plutôt

sauver au moindre signe de bataille. La soi-disant supériorité est suggérée par Matamore au moment où son valet lui révèle qu’il a «tué dix homme cette nuit» : «Cadédiou, ce coquin a marché dans mon ombre! Il s’est fait tout vaillant d’avoir suivi mes pas.» (934). La métaphore «marcher dans mon ombre» dresse encore une fois un lien de supériorité puisque Matamore affirme que Clindor a suivi son exemple. Or, il alimente l’illusion de ses capacités puisqu’en fait, lui-même ne serait pas capable d’un

correspondance naquit de leur relation ; au dos des lettres qu'Apollinaire envoyait au début au rythme de une par jour ou tous les deux jours, puis de plus en plus espacées, se trouvaient des poèmes qui furent rassemblés plus tard sous le titre de Ombre de mon amour puis de Poèmes à Lou. Mais la jeune femme ne l'aimerai jamais, du moins comme il l'aurait voulu ; ils rompirent en mars 1915 en se promettant de rester amis. Le 2 janvier 1915, il fit la connaissance de Madeleine Pagès dans un train

expansions du nom (épithètes, apposés, CDN, prop. sub. rel... Exemple: (strophe 2): "Voici l'étroit sentier de l'obscure vallée : Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais, Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée, Me couvrent tout entier de silence et de paix.") b) Une nature maternelle: Le narrateur redevient enfant: Lexique de l'enfance: "mon enfance", bercé" La comparaison avec un enfant:

SEANCE DETAILLEE DE POESIE LECTURE METHODIQUE DU POEME INTITULE LA FEMME NOIRE DE LEOPOL SEDAR SENGHOR Support : LA FEMME NOIRE Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté! J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux. Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, je te découvre Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle. Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la

sensé être chaude et « glacée » « larmes » qui rime avec «charmes « Champs lexical très sombre « glacée » « passée », » larmes », « rigueur »TRANSITION : Rimes sur des sonorités sombre « arme » « âge » et « ombre » jusqu’au basculement du poème dans la 3ème strophe qui commence sur la rime « ombre » et fini sur la rime « sainte »IIDans la 2ème partie du poème, Lamartine suggère la possibilité que l’amour transcende la mort : tout comme la nature qui bien que constituée d’entités mortelles et périssables

et je prends mon sac. Je cours vers le musée et je rejoins mon amie dans son bureau. Un peu plus tard, je visite l’intéressante exposition. Je remarque que j’ai encore oublié mon téléphone dans lebureau de Sophie cette fois. En sortant, je vois une ombre se diriger vers le fond du couloir, je me dis que ça doit être un gardien et n’y prête pas plus d’attention. Je me dirige vers la sortie déjà en retard pour mon prochain rendez-vous.Le lendemain, mon téléphone sonne et je suis surprise d’entendre la

aide stratagème.- Cy introd. l’apparence qui le complexe, personnif des mots « ils cherchent votre oreille » (l.2), dévelopmt de l’image des mots pour atteindre l’oreille de R « à tâtons »(l.2) « dans cette ombre »(l.2) : 2 compléments circonstanciels antéposition.- lang. poétique «dans cette ombre, à tâtons, ils cherchent votre oreille»(l.2), rime en -on- réplique simple « les miens n’éprouvent pas difficulté pareille » (l.3) prosaïque qui contraste avec le langage de Cy.- longue rep de Cy, virtuosité

s’agissait d’un simple bâton planté dans le sol, projetant son ombre dans une direction différente selon l'heure du jour. Ceci était possible grâce au soleil, une garantie incontestable du temps qui passe. Ensuite, c’est l’arrivée des cadrans solaires. Ils étaient constitués, comme leur nom l'indique, d'un cadran sur lequel étaient tracées des lignes horaires à l'intersection desquelles on trouvait un stylet, celui-ci projetant son ombre tout comme le gnomon. Impossible alors de lire l'heure la nuit