Ombre

que les poètes doivent remplir dans le monde. Tous d’abord ces trois textes sont des poèmes de formes libres . Le texte de Victor Hugo est un -poème en alexandrins , les rimes sont suivies il y a beaucoup de rimes riches (v.7-8 « sombre » et « ombre » . Le poème de Boris Vian est écrit sous forme de chanson il y a une quasi absence de rimes ce qui peux faire penser à un poème en prose. Le poèmes est écrit en octosyllabes. Enfin le texte de Robert Desnos est un poème en prose . les trois poèmes

buffet est imposant « large buffet » et fabriqué dans une matiere noble « le chêne ». Il est décrit comme étant de couleur plutôt sombre, voir noir: les rimes « sombre »et « ombre » viennent confirmer ce rapport . Par ailleurs, l'adjectif possessif « son » est source de réinscription de l'adjectif « sombre »( son et ombre donnent sombre). Rimbaud insiste sur son age «  très vieux », tellement qu'il a pris les « allures » des personnes qu'il a vues. Il a pris par mimétisme « cet air si bon des

clabaudait sur son compte, mais il n’y avait qu’une voix pour lui reconnaitre de grands yeux, une bouche pas plus longe que ca, avec des dents très blanches » (l.1-5) « Et brusquement elle aperçut son ombre par terre. Quand elle approchait d’un bec de gaz, l’ombre vague se ramassait et se précisait, une ombre énorme, trapue, grotesque tant elle était ronde. Cela s’étalait, le ventre, la gorge, les hanches, coulant et flottant ensemble. » (l.1-5) Le réalisme permet aussi à l’auteur de faire passer ses

lyrisme qui ressort de ce dialogue met particulièrement en relief cet aspect. Nous noterons tout d’abord le cadre romantique de la scène. Celle-ci se passe effectivement de nuit. Cyrano dit en effet aux vers 29-30 « c’est qu’il fait nuit, Dans cette ombre… » ou encore au vers 69 « …car dans la nuit qui me protège… ». Rostand utilise également ce qui est devenu un cliché du jeu amoureux : le balcon dans lequel se trouve la bien aimée interpellé par l’amoureux à ses pieds. Nous retrouvons également certaines

de vue social mais représentation d’un type social. COMMENT EXPLIQUER QUE BALZAC CNSACRE UN PORTRAIT A UN TEL PERSO ? I- La dimension caricaturale du portrait d’un être à peine humain Animalisation, réification (transfo en objet), perso effacé (ombre), pauvre et misérable, l 11 « imparfaitement » mais veut paraître échec vestimentaire, être végétal « face bulbeuse » l 16, son nom, évocation « Jardin des plante l 3, « flageolaient » l 8, aspect déshumanisé, être effacé (l 24 sous-inspecteur)

féerique, onirique. Confusion des sensations (perception par les sens) - Entrecroisement des perceptions visuelles et auditives. - 2ème strophe : "brume", "fumée", "ombre" (vers 9, vers 11, vers 12) Place est faite aux sensations visuelles, mais des sensations visuelles voilées (intérêt pour les ombres et les lumières) Opposition ombre / lumière lors des vers 9 à 16. Mouvements opposés (naître, monter / verser), verbes de mouvements. Adjectifs qualificatifs valorisant, le poète est engagé affectivement

le soleil donc pas d’ombre etc. Pour les orientaux, le toit est dépourvu d’ornements, mais est orné d’ombre, qui constitue à elle seule, une décoration. Le Toko no ma, une alcove à l’intérieur de la maison, à l’ambiance mystérieuse par sa parure ombrée, invitant au rêve et à l’imagination, selon les ornements qu’il accueille et le doux éclaire qu’il prolifère presque imperceptiblement. C’est LE chef d’œuvre de raffinement de l’architecture japonaise, semblable à un théâtre d’ombre et lumière. « Le

importuner le sort ; Prêtez-moi seulement, vallon de mon enfance, Un asile d'un jour pour attendre la mort. Voici l'étroit sentier de l'obscure vallée : Du flanc de ces coteaux pendent des bois épais, Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée, Me couvrent tout entier de silence et de paix. Là, deux ruisseaux cachés sous des ponts de verdure Tracent en serpentant les contours du vallon ; Ils mêlent un moment leur onde et leur murmure, Et non loin de leur source

qui, comme un oiseau que sa couvée appelle, Pour pleurer avec toi descends du haut des cieux. Viens, tu souffres, ami. Quelque ennui solitaire Te ronge, quelque chose a gémi dans ton cœur ; Quelque amour t'est venu, comme on en voit sur terre, Une ombre de plaisir, un semblant de bonheur. 1. 2. 3. 4. Instrument de musique à cordes, symbole de la poésie. Petit oiseau. Vent doux. Ensemble des branches d’un arbre. Texte 3 : Paul VALERY, « Les pas », Charmes (1922) Les lectures de ce mystérieux et

Son souffle Sitôt nommé, je n’existe plus. Le silence Entre le soleil et le sol, il ne produit aucune ombre. L’air Nourrissez-le, il vit, Donnez-lui à boire, il meurt.