On Ne Peut Rien Fonder Sur L Opinion

idée consensuelle ? Un résultat mathématique ne paraît pas devoir faire l’objet d’une discussion. En fait peut-on penser que la discussion est source de vérité ? La vérité ne semble-t-elle pas se définir comme ce qui est indiscutable ? La discussion d’un énoncé paraît cependant nécessaire pour vérifier s’il est ou non indiscutable. La discussion permet de relever les erreurs ce qui à l’évidence peut rapprocher de la vérité. II. La démonstration et l’expérimentation ne prêtent guère à discussion !

risques que l'on encourt face à cet appauvrissement, et comment lutterNous évoluons aujourd'hui dans une société où les débats sont inexistant, tous le monde s'accorde et à la mêmes opinion. Cette notion trouve aujourd'hui de nombreux noms, certains parlent de politiquement correct, ou encore de conformisme médiatique. Or, on peut espérer que tous le monde n'as pas la mêmes pensée, et donc que les français attendent autre chose? L'origine de ce maux a plusieurs facteurs:

qu'on ne s'améliore pas ? Oui mais pr réflexion, on utilise deux aspects. → Hiérarchie entre les fins (fabriquer objet pr bien monter à cheval, bien monter pr bien combattre), certaines sont des moyens pr arriver à d'autres fins. Pr Aristote on ne peut remonter ainsi à l'infini, certaines fins sont des fins en elles-mêmes, voulues pr elles-mêmes et non comme moyens. Sinon absurdité ; fin ultime qu'on veut pr elle-même = souverain bien. → Dans la conduite de la vie, connaissance souverain bien fait

3 2 - 18 9 3 ) Circulaire connue sous le nom de « Lettre aux instituteurs », 17 novembre 1883 Au moment de quitter le ministère de l’Instruction publique pour celui des Affaires étrangères, Jules Ferry adresse cette circulaire, vite célèbre. Sans rien céder sur les principes de la laïcité, elle constitue un geste d’apaisement envers les catholiques après la querelle des manuels scolaires (1883) et confirme sa volonté de fixer le cap tout en tenant compte de l’état des esprits. Monsieur l’Instituteur

» Faut-il préferer le vrai qui dérange à l'illusion qui rassure ? La philosophie est le long cheminement de la question de la vérité, et dont la réponse par définition ne peut être satisfaisante. Sera philosophe celui qui répondra à cette question : qu'en est-il de la vérité ? Hors de ou dans la philosophie. Personne ne peut être indifférent à la question de la vérité. Chaque homme a besoin de croire à quelque chose auquel il donne du sens comme un idéal, "une vérité pour lui" qui se distingue parmi

Information and Influence - Opinon Leaders (Lazarsfeld) • influence majeure des médias : renforcer un choix déjà fait • “early deciders” = “heavy users” of media (vues politiques développées, usage critique des médias), “gate keepers”, “opinion leaders” • “opinion followers” Baran Stanley J and Davis Dennis K., Mass Communication Theory, pp. 115-123 10 Two-Step Flow on Information and Influence - Opinon Leaders (Lazarsfeld) • influence horizontale des leaders d’opinions, qui existent à différents

distinguer le vrai du faux, le réel de l’illusoire et donc d’accéder au principe d’ « intelligibilité des phénomènes ». Toutefois, si la raison cherche à expliquer logiquement les choses, elle reste soumise aux limites de l'homme qui,étant imparfait, ne peut pas tout comprendre, tout expérimenter, tout savoir. Notre faculté de raisonnement est-elle fiable au point de toujours nous garantir d’être dans le vrai ? Ou bien au contraire, vaut-il mieux ne pas se fier uniquement à sa raison et utiliser d’autres

se libérant de nos préjugés, de nos croyances et de nos états d’âmes. Pour juger correctement, l’homme ne peut se fonder sur des pseudo-connaissances (c’est-à-dire les préjugés et les opinions). Le développement des sciences ne permet plus de considérer le savoir tel un savoir universel comme pouvait l’espérer Descartes ou même les encyclopédistes du XVIIIème siècle. La philosophie est peut-être comme un arbre, mais ce dernier ne doit pas cacher la forêt… Cependant, il est possible de conserver en

« résolu » de « feindre » que l’ensemble des choses qu’il juge savoir s’avère ne pas être absolument certain, ramenant ainsi le degré de certitude de ces opinions aux « illusions de [s]es songes ». Le terme de « feindre » nous permet de comprendre la radicalité du doute cartésien par rapport à son objectif : il ne s’agit pas de dire que l’ensemble de nos opinions sont fausses, mais de les considérer comme si elles étaient fausses, à partir du moment où, dans l’absolu, elles n’offrent pas plus de certitude

du doute. On comprend alors pourquoi la question de douter de tout peut se poser : parce que la connaissance véritable ne peut se contenter de vérités incertaines. Mais une telle épreuve est-elle seulement possible ? Car comment vivre, si l'on doute de tout? I). L’épreuve du doute 1) est le seul moyen de rechercher la certitude Alors, comment départager nos vraies connaissances, bien fondées et certaines, de simples opinions ? Il faut soumettre l’ensemble des prétendues « connaissances » à un