On Ne Peut Rien Fonder Sur L Opinion

Sujet : « Sommes-nous libres de nos opinions ? » Principaux sens du sujet : 1er sens : avons-nous les opinions que nous voulons ? est-ce bien nous qui choisissons nos opinions ? 2è sens : ne sommes-nous pas dépendants ou prisonniers de nos opinions ? 3è sens : peut-on avoir l’opinion que l’on veut ? i.e. penser n’importe quoi ? Confusion fréquente : « libre de nos opinions » ( la liberté d’opinion ( la liberté d’expression. On peut peut-être assimiler liberté d’opinion et liberté d’expression

Sujet : « Sommes-nous libres de nos opinions ? » Principaux sens du sujet : 1er sens : avons-nous les opinions que nous voulons ? est-ce bien nous qui choisissons nos opinions ? 2è sens : ne sommes-nous pas dépendants ou prisonniers de nos opinions ? 3è sens : peut-on avoir l’opinion que l’on veut ? i.e. penser n’importe quoi ? Confusion fréquente : « libre de nos opinions » Þ la liberté d’opinion Þ la liberté d’expression. On peut peut-être assimiler liberté d’opinion et liberté d’expression mais

d'une personne, n'est-ce pas se montrer serviable ? Pourtant, ceux qui auraient hasardé leur opinion, ne répondaient-ils pas sans ...savoir ? Car, de fait, ils ne savent pas encore ce qu'est la philosophie puisqu'ils n'en ont jamais fait ! N.B. il nous arrive de donner notre opinion sans savoir ! L'opinion et le savoir sont deux choses distinctes. A supposer que l'on commence avec une opinion fausse de la philosophie, on risque de partir dans une mauvaise direction. Toute l'année pourrait

notre opinion, nous ne donnons pas une connaissance nous en exposons la façon de voir les choses Pour Descartes, dans Méditation Métaphysique paraf 1 et 2, tout ce que nous apprenons est incertain il est donc nécessaire de mettre en doute toutes nos opinions auxquelles nous adhérions aveuglément En cela, en quoi l’opinion n’est elle pas une connaissance objective et démontrée et en quoi n’est elle ni une opinion ni une connaissance ? Dans un premier temps nous verrons que l’opinion ne peut pas

annexes : la vérité, la raison, la démonstration Thème : Différences et complémentarité des 2 facultés "raison" et "cœur". Thèse (l. 1-3), ses deux moments et sa double fonction (critique et polémique) : Pascal n’est pas sceptique, il sait que l’on peut accéder à une sorte de vérité par démonstration ou expérience. « Nous connaissons la vérité» englobe tous les hommes. Il existe deux facultés pour accéder à la vérité : la raison et une autre (non définie au début), le c?ur. Pascal n’utilise pas ce

sceptiques en arrivent à l’idée qu’il faut douter de tout. Puisqu’à toute opinion l’on peut en opposer une autre qui soit valable, puisqu’à toute preuve l’on peut demander une preuve de cette preuve (regression à l’infini), puisque toute conclusion peut demandée à être prouvée elle aussi (argument du diallèle), on peut en conclure que l’esprit ne saurait trancher entre telle ou telle option. Le sceptique n’affirme ni ne nie rien, il doute de tout, parce qu’il vaut mieux selon lui douter de tout que

l’opinion ». L’expression, « besoin d’achèvement de la science » se traduit par le besoin d’atteindre le savoir, la connaissance, et ainsi la vérité. On peut expliquer l’utilisation de cette expression par le fait que la science exige le dépassement des apparences, elle a besoin d’être complétée et achevée. Cette expression n’est pas reprise par la suite, on peut toutefois en déduire, qu’à l’inverse, l’opinion est inachevée. Par contre, le terme de « principe » de la science est justifié dans l’argumentation

remplacé par une discussion totalement arbitraire sur un thème plus ou moins éloigné du problème posé par l’auteur ; le commentaire oppose parfois abstraitement un philosophe à l’auteur, ou même plusieurs philosophes entre eux : ce qui ne constitue en rien un commentaire du texte. EXPLICATION DETAILLEE DU TEXTE L’explication du texte consiste à se faire une représentation d’ensemble du problème dont traite l’auteur. L’analyse du texte doit s’appuyer sur l’étude préalable de la structure du texte

nécessaire de penser pour avoir des opinions? Objet : les opinions Sujet: part qui revient à la pensée dans leur constitution - Il faut ensuite définir le sens global de la question en précisant le sens qu'ont les termes qui la composent. Ex. Est-il NECESSAIRE de penser pour avoir des opinions? Nécessaire = penser est-il une condition sine qua non de l'opinion, càd ce sans quoi elle ne saurait voir le jour dans un esprit. Est-il nécessaire de PENSER pour avoir des opinions, autrement dit penser est-il

besoins de connaissances », il explique que l’on ne peut pas se fonder sur l’opinion et que pour pouvoir avoir un esprit scientifique il faut qu’elle disparaisse totalement « on ne peut rien fonder sur l’opinion: il faut d’abord la détruire », l’esprit scientifique ne peut exister avec l’opinion pour Bachelard. Bachelard présente selon lui les fondements, les règles de l’esprit scientifique, « L’esprit scientifique nous interdit d’avoir une opinion sur des questions que nous ne comprenons pas, sur