Onomastique

derrière la créature de ce personnage qui, presque cent ans après sa création, figure encore non seulement dans les littératures et médias québécoises mais qui est graver dans la conscience québécoise. Nous commencerons avec une petit analyse onomastique du nom Séraphin avant de parler de sa création et ensuite nous jouerons le rôle de psychologue pour M. Poudrier afin de tenter d’expliquer ses comportements. Est-il simplement avare ou est-il victime de son élevage? Cherche-t-il simplement à combler

syntaxique, caractérisation adjectivale non pertinente] - Gervaise, «ennuyée de se montrer ainsi, gloutonne comme une chatte » : Convives assimilés à des animaux, à une meute, une horde d'animaux sauvages, prédateurs ou carnassiers,  charognards (onomastique animalière pour exprimer l'idée que le prolétaire, l'ouvrier est une bête de travail) -   Autre figure utilisée, la catachrèse : « un nouveau trou dans l'estomac »   -   Le grandissement épique « alors l'admiration éclata » (hyperbole), personnalisation

un schéma de farce et de comédie: quotidien dramatique (farce), hyperbolisation, registre comique (enchaînement de péripéties : déchéance), personnages peu décrits physiquement, réduits caractéristique essentielle, caractère naïf de Memnon, nom onomastique (Agamemnon, roi grec) « Ninive » b) un récit simplifié pour une lecture agréable : trame narrative facile à résumer : formulation projet par règles théoriques qu’il devra respecter : absence de passions,amoureuses (1erparagraphe), sobriété 2ème

19H. Comment l'auteur se sert-elle du conte pour exprimer une morale ? Nous verrons les caractéristiques de l'apologue avant de dégager la morale de cette histoire. I-Un conte de fée, ses caractéristiques : I1-Le registre merveilleux : Onomastique, noms symbolique. Présence de la magie (miroir magique...), du surnaturel (une bête qui parle) sans que cela étonne les personnages. Donc registre merveilleux + opposition entre la beauté et la bestialité : blâme antithétique. I2- 2 figure en

ni à travers les yeux de Mme de Clèves ni M/ de Nemours. Le lecteur assiste comme un spectateur à la scène, ne sait pas ce que ressentent les deux protagonistes mais ce que pense la cour de cette rencontre. Le nom : de l’être aimé(e) : nommé ? onomastique ? cf « Hélène » = Guerre de Troie, la Beauté par excellence dans le poème de Ronsard… Le déroulement de la rencontre : _ l’effet : quel est l’effet produit par la rencontre sur les personnages ? La scène donne-t-elle lieu à un portrait de l’être

s’enlisent dans leur quotidien, par exemple on peut le voir avec le sable dans Oh les beaux jours ! Les illusions sont rassurantes (tu ne vas pas partir? tu pars?) et l'espérance obstinée (ca va finir, peut-être finir...). Dans les deux cas, les onomastiques Nagg /Nell et Winnie/Willie, sont très ressemblant et cela peut faire référence, dans les deux pièces, à des couples qui s’accordent. Œuvres étudiées : - Tous les matins du monde (obligatoire) - La leçon de musique (complémentaire) Les

enfuir, on nous coupe la jambe ». L' esclave emploie souvent le « on », comme s'il craint de prononcer leur noms Dans cet extrait de Candide, l'esclavagiste est un hollandais ( européen ) qui se nomme Vanderdendur. « Vanderdendur » est une onomastique qui rapelle la cruauté « dent dure » de ce marchand, négociant d'hommes « vendeur ». Les esclaves reçoivent une maltraitance de la part de ces « marchands ». Comme le montre l'apologue, l'esclave de Mr. Vanderdendur est brisé physiquement:

l’écriture) « ramasser, réplique »… * Effondrement de leur vanité par l’approche rigoureuse scientifique de l’orfèvre. * homme de main s’oppose à l’homme intellectuel, examiner ≠ prétendre. b) Expression de la satire * Fantaisie onomastique (les patronymes ont des suffixes latinisés « … »). * Litote «  ne manquât pas d’historiens » (l.18). * Appositions moqueuses * Incursion du narrateur/auteur, il rend le lecteur complice => métalepse d’auteur. * Ironies « bel et

une succession de propositions subordonnées relatives avec des « qui » sous-entendus (v26-32) qui donnent de la conviction puis une conclusion: ces gens sont « blâmables » tout comme ce procédé (v33) III, A. Le personnage de Chrysalde Onomastique: Chrysalde vient de crus qui veut dire l'or. Ce personnage est donc celui qui a la parole d'or, la sagesse. Comme il est joué par Molière et de par la réponse d'Arnolphe par la suite, on a la confirmation que l'auteur se moque du monde. Chrysalde

Malone meurt I/Une angoissante logorrhée A. Une parole solitaire et égarée -L’étude onomastique du nom Malone dans le titre est déjà annonciateur de ce qu’il va se passer. En effet Malone = alone (seul) annonce un personnage seul -Utilisation de la 1ere personne du pluriel -monologue intérieur = il se parle à lui-même il est récepteur et émetteur B. Se raconter des Histoires -Il tente de se rassurer en s’interpellant lui-même en utilisant des tournures pronominales réfléchies « me suis