Onuphrius Théophile Gautier

romantiques » aspirant à une révolution de l'art dramatique et regroupée autour de Victor Hugo. La forme sous laquelle elle est généralement connue aujourd'hui est toutefois tributaire des récits qui en ont été donnés par les témoins de l'époque (Théophile Gautier principalement, qui portait à la Première le 25 février 1830 un gilet rouge qui resterait dans l'histoire), mêlant vérité et légendes dans une reconstruction épique destinée à en faire l'acte fondateur du romantisme en France. Registre : le

bourgeois, l’insatisfaction, l’évasion, l’ennui, le « mal du siècle ». Le Parnasse : l’art pour l’art. Théophile Gautier rompt avec le romantisme orientant sa création vers l’art pour l’art. Les Parnassiens refusent la dimension utilitaire ou didactique de l’art et recherchent une beauté formelle. Le poète se dit artisan, sculptant le poème et créant un « bijou ». Baudelaire dédie Les Fleurs du mal à Gautier, ce qui témoigne d’une proximité esthétique qui se manifeste dans le culte du beau et de la forme

les formes poétiques précédentes telles que la poésie satirique et spirituelle des XVIIe et XVIIIe, la poésie romantique et surtout la poésie parnassienne du XIXe, représentée notamment par Théophile Gautier. D’ailleurs, le titre « Art poétique » peut se présenter comme une réponse à « L’Art » de Théophile Gautier, texte dans lequel la poésie est ignorée, au profit des arts plastiques. De la strophe 5 à la strophe 7, le poète pointe les défauts des styles poétiques auxquels il s’oppose. Il dénonce :

du 25 décembre 1857) - «Ah, si j'avais su, quand j'étais jeune, la valeur du temps» (lettre du 19 février 1858). D’autre part, certaines réminiscences évidentes ne permettant pas d’en douter, Baudelaire se souvint du poème d'’’España’’, de Théophile Gautier, qui porte le même titre. Il traça ici la biographie banale d’un humain ordinaire en trois époques, qui sont comme les trois actes d’une tragédie : - saison du plaisir (strophe 2) ; - saison de la paresse, vie dépensée à

faite, la moricaude 1 Bat les plus altières beautés, Et de ses yeux la lueur chaude Rend la flamme aux satiétés. Elle a, dans sa laideur piquante, Un grain de sel de cette mer D’où jaillit, nue et provocante, L’âcre Vénus du gouffre amer. Théophile Gautier (1861) Le Mal du siècle, au féminin Partant du texte Carmen, notre approche historique et esthétique tente de cerner la psychologie d’une figure héroïque et paradoxale pouvant confiner non pas au grandiose, mais au tragique. Feuilleton paraissant

Présentation tabulaire : séance Dominante support Objectif Evaluation 1 lecture La chevelure de Maupassant Reconnaître un récit fantastique en analysant son schéma narratif Test de lecture (diagnostique) 2 Lecture Vocabulaire La cafetière de Théophile Gautier Savoir exprimer la peur Test de lecture (diagnostique) + évaluation de vocabulaire 3 Lecture Ecriture Véra de Villiers de L’Isle Adam 1° reconnaître une description et son organisation 2° Identifier ses fonctions Test de lecture 4 Ecriture Grammaire

Francine Clark Art Institute, Williamstown, MA, USA Théophile Gautier, né a Tarbes le 30 août 1811 et mort à Neuilly-sur-Seine le 23 octobre 1872 est un poète romancier et critique d'art français. Le poème « A deux beaux yeux » expose la description des yeux d'une femme. Grâce au poète on peut se faire une image d'une belle et jeune femme au regard magnifique. À deux beaux yeux de Théophile Gautier Vous avez un regard singulier et charmant ; Comme la lune au fond du lac

Fiche pédagogique classiques 3 contes fantastiques de Théophile Gautier Fiche pédagogique réalisée par Marianne et Stéphane Chomienne, professeurs de lettres modernes à Saint-Malo. SOMMAIRE Fiche 1 › Entrer dans la littérature fantastique Fiche 2 › Le Chevalier double ou le combat des chevaliers Fiche 3 › Autour de l’œuvre Fiche 4 › La femme fantastique, étude thématique Fiche 5 › Du texte à l’image Fiche 6 › La Morte amoureuse, étude du passage sur la morsure Fiche 7 › Le Pied de momie et bilan

syntaxiquement dépendants). En effet, Hugo et d’autres se jouent véritablement des canons de versifications et, d’entre autres, de la césure à l’hémistiche. « C’est horrible oui ! (…) J’ai disloqué ce grand//niais d’Alexandrin ! » (voir diapo) + Théophile Gautier avec « l’art pour l’Art » (voir diaporama) La césure de 1848. En février 1848, une révolution survient. Elle fait suite à la restauration de la monarchie qui a lieu depuis une trentaine d’années

Théophile Gautier, « L’Art » (1857) (Emaux et Camées, 1872) Q1 : Eléments prouvant que ce poème répond à celui de Banville. Le poème de Théophile Gautier répond à celui de Théodore de Banville. En effet, on peut relever des éléments justifiant cette réponse. En première vue, on s’aperçoit que « L’art » est composé de 14 quatrains avec une alternance de 4 vers formés en hexasyllabe et en duosyllabe : hexasyllabe*2/duosyllabe/hexasyllabe. Il présente aussi des rimes croisées. De plus, on remarque