Opéra bouffe

Le spectacle qui sera étudié dans cette analyse est Idomeneo, roi de Crète, un opéra seria en trois actes composé par Wolfgang Amadeus Mozart en 1780 sur commande du prince électeur Karl Theodor de Bavière pour le carnaval de Munich. Le compositeur Autrichien s’inspira pour sa création de l’œuvre du même nom du compositeur français André Campra, publié en 1712. L’adaptation du livret fut confiée à l’abbé Giambattista Varesco, librettiste de Mozart. Quaglio créa quant à lui les décors et Le Grand

la musique royale. En 1661, il épouse Madeleine Lambert. Bien qu’il ait eu six enfants, il était connu et décrié par ses ennemis pour son homosexualité. Il perd alors de son crédit auprès du roi, qui n'assiste pas aux représentations de son dernier opéra, Armide, en 1686. À partir de 1664, Lully travailla régulièrement avec Molière, créant le genre de la comédie-ballet. Lors d’une répétition du Te Deum qu’il devait jouer pour célébrer la guérison du roi, Lully se frappe violemment un orteil avec son

la pièce de Shakespeare. L’histoire des amants de Vérone est depuis très longtemps une source d’inspiration pour de nombreux artistes et a fait l’objet de multiples adaptations que ce soient des compositions musicales classiques, des ballets, des opéras, des comédies musicales, des films ou chansons populaires. Parmi les plus connues, on peut citer : - l’opéra de Charles Gounod en 1867, - la symphonie dramatique d’Hector Berlioz en 1839 - le poème symphonique de Tchaïkovski composé en 1869

Arthur Laurents (livret), Stephen Sondheim (paroles des chansons) et Leonard Bernstein (musique) cherchent à concilier opéra et Broadway, réalisme et poésie, classicisme et modernité, exigence et spectaculaire… etc. Écrire une grande œuvre ambitieuse pour tous. Bernstein écrit donc une musique accessible et mélodieuse comme une comédie musicale mais riche et variée comme un opéra, d’une complexité rythmique et d’une virtuosité d’écriture. Les big bands : Les big bands, c'est-à-dire des grands ensembles

L’Illusion comique de Corneille Sculpture et Architecture : Rome, Fontaine de Trévi (1745-1762) | Niccolò Salvi et Niccolo Pannini | Peinture : La jeune fille au turban ( huile toile) ≈1665 Musique :Jean-Baptiste Lully, Persée (opéra) ≈1682 III. Une pièce irrégulière : une pièce baroqueDom Juan est crée en 1665, en pleine période classique. Cependant cette pièce ne respecte la régle des 3 unités: L'unité de LIEU: Aux cinq actes de Dom Juan correspondent six emplacements différents

la musique. Il a réinventé le genre de l’opéra ; son ambition était d’en faire un art total en fusionnant musique, théâtre poésie, peinture, décor. Il ne composa presque que des opéras. Son grand chef-d’œuvre est « L’anneau des Nibelungen », un cycle de 4 opéras durant environ 14 heures (souvent joué en 3 jours). Ces opéras s’inspirent de la mythologie germanique et nordique. La chevauchée des walkyries est une musique extraite du 3ème acte de « La Walkyries », qui apparait sous sa forme complète

en Allemagne tombe. Il voyage beaucoup en Russie, à Vienne, Paris. Il a déjà commencé depuis plusieurs années, entr’autres créations, l’écriture de sa saga qui sera appelée «la Tétralogie » qu’il mettra env. 20 ans à terminer ; elle comprend 4 opéras appelées « journées » : «L’or du Rhin», «La Walkyrie» «Siegfried» et «Le Crépuscule des Dieux ». Le Roi Louis II de Bavière devient son mécène pour la création en 1865 de « Tristan et Isolde». Mais Wagner rêve d’un théâtre révolutionnaire dans son

beaucoup de chœurs. Le semi opéra King Arthur est désigné par Dryden comme un dramatic opera, c'est-à-dire un drame avec du chant. mais on parle plus volontiers comme genre de semi opera, terme que l’on doit à Roger North, contemporain de Purcell et Dryden, théoricien de la musique. Il n’existe pas encore d’équivalent à la même époque sur le continent (au 18ème siècle, ce sera le singspiel allemand comme la Flûte enchantée de Mozart). On oppose le semi opera à l’opéra où tout est chanté

d'amitié jusqu'à la fin de sa vie. C'est d'ailleurs ce dernier qui créa, pour soutenir son ami, l'opéra-oratorio "Samson et Dalila" à Weimar en 1877, les directeurs des théâtres français se refusant de donner les œuvres de St-Saëns (il a écrit 12 opéras). A cette époque, il avait déjà fondé la "Société Nationale de Musique", qui avait pour but de promouvoir la musique française, par réaction au romantisme allemand et à l'opéra italien très en vogue à ce moment. C'est à l'apogée de son succès, en

l’Opéra Théâtre de Saint-Etienne.(Ex Maison de la culture de Saint-Etienne) 35 Espace situé en contrebas et en avant de la scène, qui la recouvre partiellement et que l’on ouvre pour y accueillir un orchestre lors de la représentation d’un opéra Extrait de Carmen à l’Opéra de Reims Extrait du film Carmen Jones d’Otto Preminger Dossier pédagogique de Carmen à l’Opéra théâtre (lire page 6) Dossier pédagogique de Carmen à l’Opéra théâtre (lire page 17) Article « Tous à l’opéra » sur