Ophélie

que brève, la densité de son œuvre poétique fait d'Arthur Rimbaud une des figures considérables de la littérature française. TRAVAIL SUR 10 POEMES DE RIMBAUD TITRE | Sensations | Les effarés | Roman | Le mal | Ophélie | A la musique | Le dormeur du val | Au cabaret vert | Le buffet | Ma bohéme | FORME POETIQUE | Quatrins , alexandrins | Tercet, octosylabe | Quatrin, alexandrin | Sonnet car 2quatrins+2 tercets, alexandrins

lui fait découvrir beaucoup d’œuvres dont celles de Victor Hugo, auteur qui influencera le jeune poète. Ce dernier prend alors goût au mouvement parnassien et demande à se faire publier dans Le Parnasse Contemporain en joignant trois de ses poèmes: Ophélie, Sensation, Credo in unam. Le chef de file Théophile de Banville va alors lui répondre mais ces poèmes ne paraîtront jamais dans la fameuse revue. Fin août 1870, il va fuguer pour Paris, la capitale de la révolution et de la résistance, dans

Ovide) afin de respecter certains principes, idées et esthétiques tout en les remodelant. Les « poètes du nouveau » ont cependant une volonté de surpasser ces anciens dans le but de « contrer » la tradition, l'exemple de Rimbaud et de son poème « Ophélie » qui dépasse l'exploitation des Parnassiens alors qu'il en est inspiré. On retrouve également Hugo qui se place au dessus d'Aristote en « [montant] la borne Aristote » afin de lancer son discours de révolution.

le consommateur et sa consommation en ameublement Profils interrogés : – Sylvie, 46 ans, responsable grand compte dans une société de crédit, Bac +4, passionnée de runnning, de danse, et de voyages. Cliente Ikea, Alinea, Bo Concept & myfab.com. – Ophélie, 21 ans, en Licence biologie, Bac +2, passionnée par le Tennis, et ses études. Cliente Ikea & Conforama. – Céline, 37 ans, responsable commerciale, Bac +3, passionnée de mode. Cliente des magasins Conforama, Ikea & plus rarement Bo Concept . – Thomas

| | |(contre la guerre et la religion) | | | |« Ophélie » |Thème de la mort (jeune fille). |3 parties : 2 fois quatre quatrains + 1 quatrain. Alexandrins |Présent ; 1re partie à la 3e personne, 2e partie = | |

ETUDE N°1 Date de réalisation : Du mercredi 20 novembre au mercredi 11 décembre 2013 Académie : Nice Etablissement : Lycée Les Palmiers Nom : Ventura Prénom : Ophélie Classe : TBPV Partie du programme concernée par l’étude : Le contexte de l’activité professionnelle Le droit facteur d’organisation et de régulations sociales Les relations sociales dans les organisations La création de richesse L’organisation des échanges La régulation économique dans le cadre d’une

poésie comme la ballade, le sonnet ou le poème narratif. On retrouve dans les cahiers de Douai, la présence d’inspiration des écrivains latins comme Horace ou Virgile dans soleil et chair , de Shakespeare dans « Ophélie », des influences du Parnasse dans Le Buffet et enfin de Baudelaire dans la plupart des poèmes car il le considère comme « un vrai dieu » De plus, Le bal des pendus est inspiré

radice@orange.fr www.rictus-davidbobee.net HAMLET de William Shakespeare Nouvelle traduction de Pascal Collin Adaptation, mise en scène et scénographie de David Bobee Hamlet : Gertrude : Claudius : Rosencrantz : Guildenstern : Osric : Polonius : Ophélie : Laërte : Horatio : Fossoyeur : Roi de comédie : Reine de comédie : Fortinbras : Pierre Cartonnet Murielle Colvez Jérôme Bidaux Clarisse Texier DeLaVallet Bidiefono N’Kouka Mourad Boudaoud Pascal Collin Abigaïl Green James Joint Arnaud Chéron Malone

11). Rimbaud utilise la préposition « dans » chaque fois qu’il montre la situation du soldat mort : il dort « dans le frais cresson bleu », « dans l’herbe », « dans son lit vert », « dans les glaïlleuls », « dans le soleil ». Si l'on reprend Ophélie l'un des nombreux titres du même auteur, on constate que celui-ci traite également du sujet des atrocités de la guerre, sujet de douleur source d'inspiration pour ce poète.

à ses causes qui anéantissent la vie offerte par la Nature ; de l’autre, il offre l’exemple de ce que la violence engendre, et plutôt la perte de la vie et de tous ses bonheurs que l’horreur de la mort, vécue dans le réconfort de la Nature. (cf Ophélie, Soleil et Chair)