Opium

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d’expliquer des phénomènes, mais peut-être pas le type religieux de la réponse apportée. La religion a également été énormément critiquée, notamment par Marx et Freud. Marx a tout d’abord affirmé qu’elle représentait une forme d’aliénation, l’« opium du peuple » : c’est parce que l’homme est enfermé dans la misère matérielle provoquée par le capitalisme qu’il lui paraît essentiel de la compenser par l’affirmation de la possibilité d’un « monde meilleur », riche, juste et libre. Ainsi, la religion

Cela est particulièrement visible avec les « poètes maudits » du XIXe siècle comme Baudelaire, Rimbaud ou Verlaine. Leur souffrance est liée à leur quotidien gris et sans saveur, auquel il tente d’échapper par la poésie, mais aussi par les drogues (opium, absinthe…) qu’ils appellent « paradis artificiels ». Va à la ligne La poésie se transforme donc en forme d’exutoire à la réalité triviale, le moyen de ne plus voir ce qui les entoure et les désespère (le nouveau monde moderne et l’ère industrielle)

pourquoi il y a de la laideur dans la modernité. La génération de 1830 avait de hautes aspirations mais se retrouve mélancolique, sans idéaux. Refuges des romantiques, se retrouvant à mille lieux de la société : * art * religion * alcools, opium, solitude... Comment introduire de la grandeur en art ? Par la laideur, le mal « Je ne crois pas en un type de beauté où il n'y ait du malheur. La vraie beauté est celle de la souffrance, du conflit intérieur, de la souffrance, de la douleur de l'être

les derniers grands meurtres au nom de Dieu : le world trade center en 2001 et Madrid en 2004. Au nom de Dieu, on brûle, on lapide, on extermine, on égorge , on se sacrifie - Dieu serait-il criminel ? 2/ le repli spirituel ou la religion comme « opium du peuple » Rousseau critique la religion lorsqu’elle est réduite à une forme de croyance intérieure qui détache les individus des choses de la terre. Le croyant, qui ne s’occupe que des choses du ciel, ne participe pas, en effet, à la fondation

distribution et l'usage de ces stupéfiants sont sévèrement réglementés et, pour certains d'entre eux totalement interdits. Il y a sur la liste des stupéfiants plus de 170 plantes et substances dont : · les stupéfiants de la convention de 1961 : coca, opium, cannabis et leurs dérivés (morphine, héroïne, méthadone, cocaïne, résine de cannabis, etc ...). · certains psychotropes de la convention de 1971 : hallucinogènes, amphétamines, la MDMA (ecstasy), etc ... · les champignons hallucinogènes et

s'intéresse surtout à la littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Fouché, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve

graisses,dans les huiles fixes, dans les cires ou matières analogues, obtenues par enfleurage ou macération .................................................................................................. – – – oléorésines d'extraction : – – – – opium......................................................................................................... – – – – de réglisse ................................................................................................ – – – – de houblon ....

Flatterie(Médias) Déclin des institutions sociales ( Famille, communauté , etc )  Déracinement et isolement des individus (atomisation) Les médias de masse : Soulagent  Détendent  Font rêver Culture de masse = Industrie culturelle Industrie culturelle(Opium du peuple) Reproduit les pensées dominantes (écran de fumée) Réflexe conditionnel   Effet idéologique Théorie critique : domination idéologique imposée par les des médias Adorno et Horkheimer (1940’s) Critique de la culture de masse ( Industrie

corbeau à la solde de M. Jones, puis de Napoléon. Il tente de convaincre les animaux de l'existence de la Montagne de Sucrecandi, le paradis des animaux, où ils vivraient après la mort. Il représente l'Église orthodoxe, et la religion en général, « opium du peuple » selon Marx. Lubie C'est une jument qui aime les rubans et autres colifichets (représentant le luxe), et qui aime être choyée par les humains. Elle préfère les flatteries et les sucreries à la « liberté » apportée par la révolution, et