Opium

sublimes livres, Vos préjugés qui font vos yeux de brouillards ivres, L’horreur de l’avenir, la haine du progrès ; Et vous faites, sans peur, sans pitié, sans regrets, À la jeunesse, aux cœurs vierges, à l’espérance, Boire dans votre nuit ce vieil opium rance ! Ô fermoirs de la bible humaine ! sacristains De l’art, de la science, et des maîtres lointains, Et de la vérité que l’homme aux cieux épèle, Vous changez ce grand temple en petite chapelle ! Guichetiers de l’esprit, faquins dont le goût

probable et humain; en tout cas Marx ne propose pas un autre système permettant de juger ses croyances avec le plus de vérité possible. De plus, la critique se ressent bien dans cette comparaison car les théologiens restent le symbole d'une religion ''opium du peuple'' c'est à dire une religion assimilé à une drogue, qui entraîne une réelle dépendance et qui, par ses effets hallucinogènes, peut faire croire quelle est le substitut du remède à la douleur en apportant la consolation. C'est un type de religion

caractériser ensuite la démarche de l’artiste, avec alternance singulier-pluriel. Le singulier représente l’œuvre d’un peintre, le pluriel représente le commun des mortels. « un écho – mille labyrinthes » : représente les errements humains. « un divin opium – les cœurs mortels » : cf. Les paradis artificiels « un cri – mille sentinelles » : ceux qui montent la garde du pays du beau « Un ordre – mille porte-voix » : l’artiste donne la direction, les artistes sont des hérauts « un phare – mille citadelles » :

l’opium en Chine « guerre de l’opium » (1839 1942). 3. Découvertes chimiques :la morphine (concentré d’opium) pour les blessés de 14-18. 4. Mais certains pays pauvres ont développés une véritable industrie de la drogue à partir du pavot à opium (le triangle d’or de l’Asie, Birmanie, Thaïlande, Laos, les plateaux de Colombie,(cocaïne) le nord du Maroc, chanvre indien). 5. Les « mafias » désignent aujourd’hui toutes les organisations clandestines mondiales qui par la violence et le crime

l'activité intellectuelle. Dans Thérèse Raquin, Zola prend bien soin de montrer les périls de la lecture des romans sur la sensibilité féminine. Tout en dénigrant un certain type de littérature de grande consommation, assimilable effectivement à un opium, il insiste sur la vulnérabilité particulière des femmes et sur leur propension à rêver, à se laisser bercer par des « contes bleus » : « Elle s'abonna à un cabinet littéraire et se passionna pour tous les héros des contes qui lui passèrent sous les

Charles Baudelaire Dernières photos Aucun élément à afficher Introduction : « Le joujou du pauvre » est un poème en prose écrit par Charles Baudelaire. Il raconte le récit d'une scène que Baudelaire aurait vu à Paris. Baudelaire est un dandy (opium) qui se laisse aller à la mélancolie et au spleen. Le joujou du pauvre est un poème extrait du recueil de poème Le Spleen de Paris. Il met en scène deux enfants, un pauvre et un riche, et un rat. Le riche oublie son jouet et est fasciné par le joujou

dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits (Jeanne Duval la mulâtresse) ou platoniques (Madame Sabatier, sa muse et protectrice), l’expérience douloureuse ou spirituelle de la solitude, les paradis artificiels (vin, opium, haschich), la débauche et les voluptés interdites (homosexualité, plaisirs sadiques). Baudelaire parle encore de ses rapports avec la religion, qu’il exècre, de la tentation qu’il éprouve envers la mort. Toutes ces expériences sont des tentatives

racheter Le prolétaire se soumet à sa misère ! LA RELIGION EST LE SOUPIR DU PROLETAIRE : Car marre de la misère : - ça soulage grâce à 2 argument : paradis, épreuve. Mais ça ne change rien car la misère est toujours là LA RELIGION EST L' OPIUM DU PEUPLE : Fuite car situation de misère Donne un bien-être : arguments paradis, épreuve dépendance car sans ça il ne reste que la misère LA RELIGION ALIENE L'HOMME : Elle rend fou. LA RELIGION EST L'AROME SPIRITUEL DE LA RELIGION :

l’écriture. Parole sans encre que le vent emporte et qui revient sous forme d’hallucination où l’on feint de croire au chef-d’œuvre, à la passion d’une vie, à la beauté d’une confession… Là encore, la religion des pauvres d’esprit. Le roman comme opium du peuple, comme pensée dévaluée d’un spectacle aliénant, comme déballage des affaires personnelles, des potins et des phobies. Ce qui marque l’équivoque d’un discours : entre fiction et réalité, plus vrai que nature. Et qu’importe si c’est vrai puisque

s'intéresse surtout à la littérature. Le 31 août 1828 paraît à Dijon, dans Le Provincial, le journal d'Aloysius Bertrand, Un rêve, ballade signée « ADM ». La même année, il publie L'Anglais mangeur d'opium, version française de Confessions of an English Opium Eater, de Thomas de Quincey (traduction peu fidèle cependant). Grâce à Paul Fouché, beau-frère de Victor Hugo, il fréquente dès l'âge de 17 ans le « Cénacle », salon de Charles Nodier à la Bibliothèque de l'Arsenal. Il sympathise alors avec Sainte-Beuve