Opposition Belle Et Bête

représente un lion mugissant. Ce symbole est donc puissant et montre ainsi la grandeur des tourments. Sonnet XXIX Je hais plus que la mort un jeune casanier,Qui ne sort jamais hors, sinon aux jours de fête,Et craignant plus le jour qu’une sauvage bête,Se fait en sa maison lui-même prisonnier.Mais je ne puis aimer un vieillard voyager,Qui court deçà delà, et jamais ne s’arrête,Ains des pieds moins léger que léger de la tête,Ne séjourne jamais non plus qu’un messager.L’un sans se travailler en sûreté

paragraphe? Réponse attendue: cette contradiction est mise en évidence par l’antithèse: Malade# se porter à merveille Souriait# refusait un liard Homme de lettres # escroc Question: Quel défaut du personnage cette opposition fait elle ressortir? Réponse attendue: Cette opposition renforce l’impression défavorable du portrait de cet homme et montre qu’il est hypocrite, paradoxal, menteur, rempli de « fourberie ». C’est un être double il est donc inquiétant. Question: Relevez la métaphore

jésuites faisaient fréquemment jouer des pièces à leurs élèves. Son goût profond de la liberté vis à vis de toutes les règles théâtrales et la souveraineté de ses personnages sont hérités de la morale moliniste, morale de la volonté individuelle, en opposition au modèle janséniste de la grâce. Cette liberté d'esprit l'oppose aux tenants de la bienséance et le pousse à condamner les menaces rigoristes contre le théâtre d'un Nicole ou d'un Bossuet. Il a des amis libertins mais ne rejoint jamais le cercle

passages reposent-ils ? 6. Repérez les didascalies, relisez-les. Que mettent-elles en lumière ? 7. Lequel des deux personnages refuse la discussion ? (Justifiez) ( Faire le point : En quoi ce texte est-il une scène de conflit ? Une opposition de valeurs [on s’intéresse ici plus au contenu de l’échange dramatique] 1. A quoi Créon a-t-il dit « oui » ? Comment justifie-t-il sa réponse ? (Expliquez) 2. La longue tirade de Créon (La tirade complète vous a été donnée à part). :

-> effet de gigantisme. Il a les cheveux filandreux, sales ; ses yeux sont exorbité, grands ouverts ; il a une grande gueule bien ouverte ; il est nu ; sa cuisse est rouge du sang de l’humain. Il s’associe à la bête qu’il est devenu (nu comme une bête, mange l’homme cru comme une bête). Il écrase le corps d’humain -> image de violence, cruauté & de l’inhumanité. Scène inquiétante -> clair-obscur. Monstre : malgré son apparence humaine il évoque la bestialité. Image violente de l’humanité

fais bouillir et je mange mon cœur,           Par instants brille, et s'allonge, et s'étale      Un spectre fait de grâce et de splendeur.      À sa rêveuse allure orientale,           Quand il atteint sa totale grandeur,      Je reconnais ma belle visiteuse :      C'est elle ! Noire et pourtant lumineuse.          II     Le parfum           Lecteur, as-tu quelquefois respiré      Avec ivresse et lente gourmandise      Ce grain d'encens qui remplit une église,      Ou d'un sachet le

1789 dont l’un des acquis est la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Le romantisme n’est pas né en France c’est un courant artistique qui apparaît en Allemagne et en Angleterre a la fin du XVIIIe siècle. Le romantisme se construit en opposition au classicisme considéré trop rigide. C’est un mouvement qui se veut être le reflet de l'âme. Au sein d’une Europe encore largement conservatrice, la tentation romantique est celle de la liberté de l’expression des sentiments de l'excès et du désir

sens, fou) discours structuré, logique , marqué par la cohérence.   D'ailleurs nombreux connecteurs et passage savamment composé . Les maîtres d’école,eux, n'ont pas  un comportement rationnel . Ce sont des êtres aveugles et inconscients. Donc opposition entre une vraie folie et une folie consciente d’elle même. Se savoir fou est une forme de raison. Les grammairiens sont des fous complets, irrémédiables. Objectif d’Erasme:  montrer que l’humanité est folle et que l’homme doit prendre conscience

Bretonne, cheveux couleur de chanvre. A peine débarquée de son pays, elle est entrée chez les Josserand, des maîtres qui abusent de son ignorance et de sa saleté pour la mal nourrir [32] Adèle est le souffre-douleur des autres bonnes de la maison, la bête sale et gauche sur laquelle tout le monde tape. Ce sont des injures continuelles, à travers. l'étroite cour de service, boyau noir dont la puanteur d'évier mal tenu est comme l'exhalaison même des ordures cachées des familles [136]. Trublot, toujours

GAMIANI. Vous n’y pensez pas, enfant ! ôtez donc tout comme moi. Quel embarras ! on vous dirait devant un homme. Là ! voyez dans la glace… Comme Pâris vous jetterait la pomme ! friponne ! elle sourit de se voir si belle… Vous méritez bien un baiser sur votre front, sur vos lèvres ! Elle est belle partout, partout ! La bouche de la comtesse se promenait lascive ; ardente, sur le corps de Fanny. Interdite, tremblante ; Fanny laissait tout faire et ne comprenait pas. C’était bien un couple délicieux de volupté